Les sites du MJS et du Nouvel Elan ont été victimes de piratages informatiques avérés.
Bien entendu, j'exprime ici toute ma solidarité avec Pierre Ferrari et ses amis.
Il est inadmissible que de telles atteintes à la liberté d'expression puissent encore proliférer. C'est le moment de se souvenir que cette liberté fut le résultat d'un long combat contre l'obscurantisme et le despotisme. On le voit bien, elle est également difficile à maintenir.
Nul doute que les auteurs de ces actes seront retrouvés afin que l'on sache que l'on ne puisse agir impunément en matière d'atteinte aux fondements de la démocratie!
Le Site Internet de l’association citoyenne « Un Nouvel Elan pour Hénin-Beaumont », www.pourheninbeaumont.fr, ainsi que le blog politique du « MJS Hénin », www.mjshenin.fr, ont été les cibles d’attaques informatiques simultanées le mardi 17 janvier.
RépondreSupprimerSelon notre hébergeur, ces attaques coordonnées ont été minutieusement préparées et ne peuvent être que le travail de professionnels de piratage disposant d’outils dévolus spécialement à cette opération de sabotage qui a ciblé nos deux sites internet. Une plainte sera bien évidemment déposée dans les jours qui viennent à l’encontre des auteurs de cet acte criminel.
Ces pratiques nauséabondes et les énormes ressources déployées pour s’en prendre à une association citoyenne comme la nôtre prouvent à quel point nous dérangeons et combien notre combat politique est juste. Nos articles et autres analyses provoquent la panique chez certains, qui, conscients que le vent est en train de tourner en leur défaveur, tentent désespérément de faire taire les voix libres de leurs opposants.
Nous remercions tous les internautes pour leur patience et leurs encouragements ainsi que l’équipe technique qui a travaillé sans relâche au cours de cette semaine pour rétablir l’accès à nos sites.
Plus que jamais, nous ne lâcherons rien !
Je ne veux guère faire de conclusions plus que hâtives quant aux coupables dans cette affaire.
RépondreSupprimerToujours est-il que j'ai vécu (et que je vis) une sale affaire dans une collectivité socialiste (Département du Nord)à cause de preuves informatiques.
Il m'a notamment été reproché d'avoir édicté des tracts satiriques.
Je ne suis pas fou (même si on veut me le faire croire). Je sais bien que je n'ai rien à voir dans cette affaire et que l'on s'est servi à mon insu de mon poste informatique de travail.
Mais résultat: J'ai été révoqué. Je suis au chômage depuis un an (merci la politique sociale du PS)
La justice administrative ne me donne pas raison, même au bénéfice du doute ,malgré un grand nombre d'indices allant dans mon sens (faits commis un week end notamment)
Je ne parle même pas des observations d'un enquêteur spécialisé (engagé par mes soins) sur l'enquête légère et orientée du Département.
Et cette affaire pose aussi la question de la Justice dans notre pays, qui ne s'est pas fortement réformée depuis Outreau.
Surtout que la hauteur de la sanction ne correspond pas à la jurisprudence.
Et le plus marrant, c'est que l'on me reproche des liens (imaginaires) avec M. ALPERN alors que l'affaire se passe dans le Nord (59).
Votre histoire est bien étrange et si elle est vraie alors vous avez été très mal défendu car de nombreuses jurisprudences sont venus porter des estocades contre le "droit de réserve des fonctionnaires" "ou la liberté d'opinion des fonctionnaires"
RépondreSupprimerTout repose sur une mauvaise interprétation des textes de loi. Le principe même est reconnu par Anicet Le Pors Ancien Ministre de la Fonction Publique, principal cofondateur des lois édités entre 1981 et 1984. Il s'est exprimé dans de nombreuses publications sur le fait que l'on avait détourné l'article 26 du statut général des fonctionnaires qui traite du secret professionnel et du droit de réserve.
Pour vérité vraie l'article 6 de la loi du 13 juillet 1983 indique que la liberté d'opinion est garantie aux fonctionnaires.
Des jurisprudences ont fait état que le fonctionnaire n'est pas gratifié d'un pouvoir quelconque de part ses fonctions et qu'il est bien un citoyen à part entière avec la liberté d'opinion et d'expression.
il est évident qu'il faut un bon avocat et vous auriez pu invoquer l'article 19 de la déclaration universelle des droits de l'homme durant votre TA :
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.
A cela il faut comprendre qu'un fonctionnaire n'est pas un sous-citoyen au devant de la Loi et de ses droits ni un être supérieur ! Juste un citoyen à part entière ni plus ni moins...
le tribunal administratif ne pouvait ignorer de tels faits en votre faveur et le bénéfice du doute aurait du vous être accordé... votre histoire est particulière sur le fond...
A la première lecture je voyais une mise en garde ""déguisée"" pour les personnes s'exprimant sur le site de Monsieur ALPERN comme le fait de laisser sous-entendre que s'approcher de Monsieur ALPERN est dangereux...
Bien entendu cela n'engage que moi