Je me sens tellement proche de tous ces Français qui aiment leur travail, qui aiment leurs entreprises, je veux les aider et tenter de répondre à leurs souffrances. Je n'y arriverai pas toujours mais je vous le promets solennellement, j'essaierai de toutes mes forces car je ne veux pas mentir aux Français. Il faut travailler plus pour rembourser nos dettes. Je pense que le peuple me comprend. C'est vrai qu'il faut s'accrocher au travail aujourd'hui parce qu'il n'y en a plus beaucoup et ce n'est pas à cause de moi: c'est la crise mondiale et, nous, nous avons mieux résisté que les autres: regardez la Grèce, l'Espagne, l'Irlande, l'Italie...Je suis trop modeste pour dire que c'est grâce à moi, mais, enfin, j'étais le Président au moment où c'est arrivé! Les socialistes, eux, sont pour l'assistanat et s'ils avaient été aux commandes en 2008, ils auraient ouvert grand les vannes d'emplois soutenus, d'allocations x ou y, sans tenir compte de la rigueur nécessaire. Au lieu d'un double AA, c'est un simple A que les agences de notation nous auraient décerné. Moi, je crois en la valeur travail, celle à qui les Français ont tant donné et crient encore souhaitable. Mes chers compatriotes, le plus fameux de nos fabulistes disaient déjà, il y a près de 5 siècles: "Travaillez, prenez de la peine..." Vous voyez, la France reste la France, même si aujourd'hui, l'ouvrier a remplacé le laboureur.
Carla et moi essayons, dès maintenant, d'inculquer cette valeur à notre fille. A l'âge de 6 mois, elle doit comprendre que c'est inhérent à la vie. Je me bats pour que le peuple français ait du travail, l'aime et sache qu'il faut voter pour moi s'il veut que cela perdure...
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