"Seize ans
d'un régime ultranationaliste, sacralisant la souveraineté nationale, célébrant
le protectionnisme économique, pratiquant un antiaméricanisme culturel
obsidional, ayant tout promis à coups de recettes magiques et se reconnaissant
volontiers dans l'autocratie politique à la Vladimir Poutine, sont donc venus à
bout d'un des pays les plus riches du continent. Et puis, l'opposition s'est
enfin réunie autour de quelques valeurs communes, de bon sens. Elle vient de
remporter les élections, sans promettre le paradis. Entre-temps, le populisme
le plus débridé a fait des ravages. Il a fallu seize ans pour dissiper
l'illusion…
Un Etat totalement failli : inflation à 200 %,
pénurie de tous les biens de consommation, récession profonde (sans doute une
baisse de plus de 10 % du produit intérieur brut cette année), finances
publiques en déroute.
Ce sombre tableau s'affiche sur fond de corruption généralisée
au sommet de l'Etat, d'explosion de la criminalité – en dépit d'un discours
ultrasécuritaire, bien sûr – et de régression constante de la démocratie. Une
bonne partie de l'électorat du parti, d'autant plus déçue qu'on lui avait juré
de raser gratis, a voté pour l'opposition.
Les semaines à venir seront décisives. Le régime est de type
présidentiel. Il a mis une partie de l'appareil de l'Etat sous sa coupe,
notamment le ministère de la justice. L'opposition peut s'efforcer de pousser
le président à la démission, ouvrir une procédure de destitution ou provoquer
un référendum constitutionnel.
Parce que les recettes trop simplistes, débouchent toujours sur
des débâcles."
On se croirait 16 ans après une élection présidentielle en 2017 en France. Eh bien non ! Il s'agit, certes, d'un éditorial du Monde, mais du 9 décembre 2015 et concernant la fin du Chavisme qui " a puisé dans une tradition
latino-américaine populiste, qui n'a pas connu que des échecs, loin de là. Mais
la version mise en œuvre à Caracas par le lieutenant-colonel Hugo Chavez, élu
pour la première fois en 1999 et mort en 2013, se solde par un
désastre, pour la démocratie et pour l'économie du pays."
Toute ressemblance avec des faits à venir en France ne serait que pure coïncidence...
Mr le maire,comme je sais que vous lisez quotidiennement ce blog,pouvez vous demander à l'entreprise qui vide les poubelles dans la ville ,de les remettre à leur place tout en fermant les couvercles .
RépondreSupprimerUne demande typique d'un assisté chronique.
SupprimerD'un con..stipé chronique dirais-je !
SupprimerA 12h 51 Le ramassage des déchets est une compétences de la cahc et non pas de la mairie.
SupprimerA 14h53 réponse typique d un imbecile
Pourtant, feneux, vous n'avez pas cessé de le titiller sans cesse l'ancien maire sur la question des poubelles! En mentant alors. Le fn , le mensonge et l'imposture!
SupprimerAh le mot assisté chez les fachos! C'est t'y vrai qu'une conseillère feneuse aurait fraudé le RSA....
Feneux, vos vomis, c'est pas ici, c'est bien sur la page du "maire".
SupprimerElle s'énerve la 6 heures et quelques ,perd ses moyens (limités),part à la dérive ,les neuroleptiques ne suffisent plus .
SupprimerTu as renouvelé ton Viaprozac 12H54?
SupprimerAu connard de 12h51,je ne suis pas le maire mais je t'apporte une précision utile pour ta comprenette ;les poubelles dépendent de la CAHC ;tu peux t'adresser à Corbisez s'il daigne t'écouter ,ça m'étonnerait parce que dans sa tour d'ivoire ?
RépondreSupprimerTu peux par la même occasion t'envoyer aux ordures ,ça fera un connard de moins sur ce blog !
Les élus municipaux, cela ne sert à rien alors ? Qui est donc vraiment le "connard" ?
SupprimerEt prière de laver les dites poubelles avant de les rendre, d'y mettre un bouquet de roses et un billet de 100 pour l'entre 2 tours. Merci.
SupprimerLe connard de 13H37, qui défend la politique poubelle de son "maire" , son "maire" et ses poubelles et qui sous binaisse devait l'accuser de mal faire ramasser les pouybelles!!! On parie?
SupprimerBen vous AA pour dire des conneries pareilles ,autant qu'il s'adresse à l'opposition par exemple à Filipovitch,habitué de ses insultes ordurières !
SupprimerPourquoi accepteZzvous les feneux sur ce blog. Le 13H27 c'est un des décérébrés de la page de bribri bikini... mais là bas, il se paluche aussi: oh ouiiiii stteevviiieeeee, t'es le plus fooooorrrrrt!
Supprimercahc service déchets. l'autre,il en a rien à foutre il est injoignable.complètement déconnecté celui-la disque dur hs.
SupprimerC QUI CORBISEZ qu'a t'il fait pour le territoire ?
SupprimerBou qu il est desagreable et méprisant ce 13h 27. Il doit avoir un qi de bulot. Il a pas compris que le fn ne devait pas montrer son vrai visage mais être dans la séduction
SupprimerLes poubelles c'est à la CAHC !
SupprimerNon, la poubelle c'est hénin sous le fn!
SupprimerQuand je vous vois 06h06 je vous assure que vous n'êtes pas la "poubelle" ,triste à chier ouais !
SupprimerViiiiiiiiiiiiii ma bichette de 12H57, va prendre ton yogourt et ta tisane! C'est bien! Tu vois tu es contente!
SupprimerMais en 2033 plus personne ne lira Le Monde. Fn ou pas Fn. Ils sont de moins en moins : il aura fallu du temps pour mettre fin à cette illusion de journalisme.
RépondreSupprimerCe ne sera quand même pas Minute ou Valeurs Actuelles ! Moi je préfère le Monde...
SupprimerRemarquez que la date de 2033 n'est pas naïve. Elle fait référence à 1933. Dans leur refus de voir bouger les lignes, les bobos font référence à la peur.
SupprimerC'est votre "monde" !
Supprimer"Le monde". Rien que le titre doit gêner le 14h 32....
SupprimerUne ouverture sur les autres
Une approche globale des choses
Une découverte d idées de concept
Comme dans le meilleur des monde notre 14h32 doit attendre avec impatience la novlangue pour manipuler les foules à partir d un langage appauvri
Le monde, journal de référence. Les feneux enragent, ils n'arrivent pas à lire les titres!
SupprimerEul 22H06? Lui il lit minute et peut être valeurs actuelles. C'est plus facile à comprendu! C'est binaire. Onéchénou / C'estnouqu'onpaye !
SupprimerVous êtes un lecteur assidu de ses titres 06h20; l'attirance pour le FN est morbide chez vous .
SupprimerJe faisais juste remarquer que les ventes ne cessent pas de décroître alors du calme ! De plus les contre vérités y sont nombreuses.
Supprimer2033 ,cela fait 2000 ans que jésus est mort sur la croix; je comprend pourquoi il a quitté la terre et qu'il ne reviendra pas faire un état des lieux .
SupprimerDieu n'a jamais existé. Jésus ? Un mythe fondateur raconté pour endormir le peuple et le mater!
SupprimerEt toi tu existe 20h33 ;si tu crois en rien et bien tu crois !
SupprimerIl n’y a pas de différence entre communisme et socialisme, si ce n'est dans la façon d’atteindre le même but ultime : le communisme propose l'esclavage par la force, le socialisme par le vote. La différence est la même qu’entre le meurtre et le suicide.
RépondreSupprimer( Ayn Rand )
Mais oui, allez va te coucher 18H03; tu l'as fait ton rototo, au dodo!
SupprimerNouvelles révélations sur la machine à cash du FN
SupprimerLaurent FarguesPar Laurent Fargues / Challenges
Publié le 10-12-2015 à 18h04Mis à jour à 18h17A+A-
EXCLUSIF Challenges dévoile de nouveaux éléments sur les rouages financiers du Front national et du micro-parti Jeanne qui font l’objet d’une enquête pénale.
Marine Le Pen a refusé de s'expliquer devant les juges. (c) AFPMarine Le Pen a refusé de s'expliquer devant les juges. (c) AFP
Une accusation « fantaisiste et diffamatoire ». Le 11 novembre, Marine Le Pen a tiré à boulets rouges sur la poignée d’élus frontistes qui dénoncent les tarifs surélevés des fameux « kits de campagne » (affiches, tracts, sites internet, etc.) fournis par le parti aux candidats. Deux jours plus tôt, elle avait refusé pour la deuxième fois de s’expliquer devant les juges Renaud Van Ruymbeke et Aude Buresi sur les étranges montages financiers du FN.
En pleine campagne des régionales, pas question de se laisser éclabousser par une affaire où plusieurs officiels du Front ont déjà été inquiétés. A commencer par les mises en examen de Wallerand de Saint-Just, trésorier du FN et tête de liste en Île-de-France, et Jean-François Jalkh, député européen. Le maire d’Hénin-Beaumont et vice-président du FN Steeve Briois va lui-même être convoqué prochainement au pôle financier.
La présidente du Front national a toutes les raisons d’être sur la défensive. Au fil d’une enquête de plusieurs mois, la brigade financière a mis à jour ce qui ressemble fort à un vaste système d’escroquerie et d’abus de biens sociaux. Une formidable machine à cash qui aurait tourné à plein régime sur le dos des contribuables pendant des années. Le soupçon des enquêteurs : cette machine aurait pour but de gonfler les frais de campagne des candidats afin de toucher un remboursement maximum de l’Etat et empocher la différence avec la complicité d’un prestataire.
Le 1er décembre, des élus FN du Nord en rébellion ont fait de nouvelles révélations sur les dépenses liées aux élections départementales 2015. « Le kit obligatoire incluait 1.400 euros de frais d’expert-comptable des comptes de campagne alors qu’un comptable local me le faisait pour 600 euros », relève Jean-Luc François Laurent, conseiller municipal à Valenciennes. « Le parti m’a obligé à acheter 200 affiches alors que je n’en ai utilisé qu’une soixantaine », renchérit Francis Boudrenghien, élu à Anzin.
Une marge très confortable
Les tarifs surélevés et les prestations surdimensionnées sont deux des techniques dans le viseur de la justice. Selon nos informations, l'enquête a progressé: lors de sa campagne présidentielle de 2012, Marine Le Pen a acheté les documents de sa propagande officielle – affiches, professions de foi, bulletins de vote - pour quelque 2,43 millions d’euros à la société de communication Riwal. Or, celle-ci a ensuite sous-traité la réalisation effective des documents pour un coût de seulement… 630 000 euros. Soit une marge de 1,8 million d’euros !
Mais quiqui c'était le mandataire financier à l'époque... devinez...
SupprimerFN pourri!
''Contacté le 8 décembre, l’avocat de la société Riwal assure que la facture n’incluait toutefois pas l’achat du papier effectué directement par l’agence, mais reconnaît que la marge avoisinait les 50 %. « C’est peut-être légal mais c’est une forme d’arnaque à l’article R-39 du code électoral qui encadre les subventions publiques, grince un des imprimeurs. D’habitude, les candidats flèchent directement les remboursements de l’Etat vers les imprimeurs sans permettre à un intermédiaire d’engranger de juteux profits. »
Une société au coeur du système
Mais pour Marine Le Pen, la société Riwal n’est pas exactement un prestataire comme les autres. Dirigée par un de ses proches, l’ancien leader du GUD Frédéric Chatillon, cette agence de communication a mis en 2012 des locaux et certains de ses salariés à la disposition du micro-parti Jeanne, l’association qui récolte depuis 2010 des fonds pour la présidente du FN. Certaines années, Riwal a même payé les experts chargés de la comptabilité de Jeanne. Une confusion des moyens entre une entreprise et un parti formellement interdite par l’article 11-4 de la loi de 1988 sur le financement de la vie politique.
Mieux, en 2012, l’agence de communication a accordé 8,6 millions d’euros de crédits fournisseurs au micro-parti Jeanne pour l’aider à financer la campagne de quelque 520 candidats FN aux élections législatives. Avec une mécanique bien huilée. Chaque candidat achetait un kit de campagne pour 16.650 euros (affiches, tracts, sites internet, etc.) et souscrivait dans la foulée un emprunt à 6,5 % auprès du micro-parti Jeanne pour le financer. Sur le papier, Jeanne jouait les banquiers auprès des candidats. Dans les faits, c’est Riwal qui fournissait le kit et accordait un crédit fournisseur à Jeanne…
Des photocopieurs non facturés
Après l’élection, au moment de toucher les remboursements de l’Etat, tout le monde y gagnait. En gonflant ses tarifs – ceux des sites internet ont bondi de 125 % entre les élections cantonales et législatives ! -, la société Riwal dégageait de confortables marges. Quant au micro-parti Jeanne, il touchait les intérêts pour des prêts dont il n’avait pas réellement assumé la charge dans ses comptes. Une manne de 360 000 euros en 2012 sur les 556 000 euros réclamés à l’Etat. « Une première dans l’histoire des affaires de financement politique, pointe un habitué du contrôle des comptes de campagne. On reproche habituellement aux partis de masquer les aides aux candidats plutôt que de récupérer de l’argent sur leurs frais de campagne. »
Mis en examen en tant que parti pour complicité d’escroquerie en septembre, le Front national est soupçonné d’avoir aussi profité du système. En 2013, la prospère société Riwal a financé l’achat et la livraison de 44 duplicopieurs et 2 photocopieurs pour les fédérations locales du FN et les bureaux de Marine Le Pen. Et ce sans réclamer de paiement… Ce n’est qu’en 2015 lorsque les enquêteurs ont mis leur nez dans les comptes qu’une facture de 192 000 euros a été ressortie des tiroirs au nom de Gwenloc. Une société intermédiaire de location créée en 2014 et gérée par Gorete Varandas, actuelle candidate FN dans le Val-de-Marne…
Dans une étonnante inversion des rôles, le Front national s’est aussi transformé ponctuellement en sous-traitant de l’agence Riwal. Le parti a perçu 412 000 euros pour l’impression d’une série spécifique de tracts destinés aux candidats aux législatives de 2012. Un travail ultra-rémunérateur puisque la réalisation n’aurait en réalité coûté que… 83 000 euros au Front. Autant d’opérations qui font planer de lourds soupçons sur les finances du FN et de sa présidente. Contactés, les responsables du Front national et du micro-parti Jeanne ont renvoyé Challenges vers l’avocat de la société Riwal.''
Oui eul 18H03, on sait, t'es en ditature socialisse! Oh ces feneux quand même. Si on les mettait en orbite, ils s'arrêteraient pas de tourner. Il en pense quoi eul 18H03 du fascisme, du nazisme et de l'extrême droite? En matière de liberté... Ahahahahahahah !
SupprimerLa fofolle des six heures fait encore des siennes ,n'arrive plus à écrire ,ah l'alcool !
SupprimerMa chérie de 13H02!!! Va regarder une série brésilienne à la téloche...
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