La démarche suivante d'un outil de désignation d'un candidat à la présidentielle m'a séduite parce qu'elle est réellement démocratique : n'importe quel citoyen pourra se porter candidat et les organisateurs ne pourront pas se présenter.
Bien sûr, le programme fera l'objet d'un débat démocratique avec des règles précises d'élaboration.
Je vous convie à soutenir LaPrimaire.org, après, bien entendu, avoir pris connaissance de cette démarche originale et bien construite...
LaPrimaire.org, l’outil démocratique pour renouveler notre classe politique
Alors que durant le mois de janvier 2015, plusieurs appels à organiser des primaires partisanes ont été lancés, il nous semble important d’expliquer pourquoi ces primaires partisanes, qu’elles soient de droite ou de gauche, ne constituent pas une réponse efficace ni pour renouveler notre classe politique, ni pour faire émerger de nouvelles idées.
Droit du sol:mettez un cheval dans une étable,ce n'est pas pour ça qu'il deviendra vache.
RépondreSupprimerMontesquieu.
Rachid né à Béziers est aussi français que ménard né à Oran. Et puis,s'il faut de tout pour faire une ferme, il n'y a qu'une seule race de personnes, la race humaine. Mis à part, peut être, la seule que je connaisse avec Brassens: celle des imbéciles heureux qui sont nés quelque part ( toujours par hasard)!
RépondreSupprimerCeux-là ne savourent pas les images prises haut par les satellites au dessus de notre belle Bleue. Ils seraient effrayés de sa rondeur PARFAITE. Peut être pensent t-ils encore qu'elle est plate...
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RépondreSupprimerNouvel Obs/ Rue 89
RépondreSupprimer"Ciel, un général ! Un vrai. A quatre étoiles. Ancien patron de la Légion étrangère, Christian Piquemal, 75 ans, a été arrêté samedi à Calais, après avoir pris la tête d’une manifestation anti-migrants de la déclinaison française du mouvement islamophobe allemand Pegida, manifestation interdite par le ministère de l’Intérieur.
Un général bravant l’autorité, haranguant les gendarmes, les sommant de rejoindre les vrais patriotes ? Frissons de putsch, pour ceux qui ont quelques notions d’Histoire. Souvenir fugace des généraux putschistes d’Alger et, plus loin, du général Boulanger.
Mais Piquemal, tout ancien commandant de la Légion étrangère qu’il soit, est un glorieux inconnu, général d’état-major et de cabinets ministériels – socialistes ! – auquel on ne connaît pas de faits d’armes éclatants – pas davantage d’ailleurs que d’engagements politiques antérieurs (autres que la tenue d’un blog). La comparaison risque de tourner court.
Pendant ce temps, à Rennes...
Ebullition néanmoins dans la fachosphère. Comment donc ! La République va oser juger un glorieux général en comparution immédiate ! Alors même qu’à Rennes, au même moment, le centre-ville était dégradé par des éléments incontrôlés, en marge d’une manif anti-Notre-Dame-des-Landes, et anti-état d’urgence.
Les réseaux sociaux adorent ces comparaisons, ces compétitions victimaires. Et l’arrestation de Piquemal est certainement appelée à un bel avenir iconique. Voyez comme les nôtres sont persécutés. Voyez l’insupportable mansuétude dont bénéficient ceux d’en face. En quelques heures, le général est devenu la figure centrale de la guerre 2.0.
Christian Piquemal, au mégaphone, le 6 février 2016 à Calais
Christian Piquemal, au mégaphone, le 6 février 2016 à Calais - PHILIPPE HUGUEN/AFP
Tout le week-end, pourtant, les grands médias ont la tête ailleurs : tempête, Corée du Nord : ils sont en régime week-end.
Dans la bouche des Républicains
Il faut attendre le lundi matin, pour que le « deux poids, deux mesures » force leur porte, dans la bouche de Guillaume Peltier, leader de la tendance La Droite forte chez Les Républicains.
Peltier contré, après quelques minutes, par Guy Birenbaum : mais si, il y aura bien des comparutions immédiates à Rennes aussi. « A 6 heures du matin, il n’y avait pas de dépêche », rétorque Peltier, qui n’a manifestement pas lu Le Télégramme de Brest, lequel faisait état dès dimanche soir de trois comparutions immédiates à Rennes (dont deux SDF).
Epilogue de l’argument des « deux poids, deux mesures ». Provisoire, certainement.
Initialement publié sur Arretsurimages.net"
Et pour terminer ce tour de Calais de la bêtise, le "riverain excédé", lâchement "agressé" par des réfugiés et antifas, était là , bien là avec ses copains néonazis. Il s'est vite remis ce glorieux!
21H10 est un menteur. Mais le fn en appelle bien à Jaurès, Moulin ou Blum sans vergogne, ces trois grandes personnalités qui n'ont eu de cesse de combattre l'extrême droite, le nazisme et la réaction!
RépondreSupprimer21H10 est donc un menteur doublé d'un inculte. Cette phrase n'est pas de Montesquieu mais devinez de qui...? Par un spécialiste, lui, de Montesquieu, vous allez donc lire ce qui suit et ne manquera pas de vous "éclairer"!
Retenez bien ceci, 21H10: On ne fait pas d'un âne, un cheval de course! Ce que dit aussi ce chercheur, spécialiste de Montesquieu: " Montesquieu n’avait pas écrit cela, tout simplement parce qu’il lui était impossible de le penser."
Blog Montesquieu, Etudes du CNRS
"Non, bien sûr, un cheval n’est pas une vache, fût-il né dans une étable ; et Montesquieu n’est pas Le Pen !
Dans le loisir d’une longue retraite bien onéreuse à notre République je ruminais vaguement d’autres évidences de cette sorte quand je fus invité à m’exprimer sur un événement littéraire dont j’ignore comment l’importance capitale avait pu m’échapper.
En août 2013 – m’était-il rapporté – une députée UMP des Bouches-du-Rhône (tendance « Droite populaire »), lancée dans une diatribe contre le « droit du sol », enrichissait ce thème obsessionnel d’une citation qu’elle attribuait à Montesquieu :
« Le droit du sol est l’absurdité qui consiste à dire qu’un cheval est une vache parce qu’il est né dans une étable »
Il n’a pas manqué de lecteurs érudits pour s’étonner de l’attribution et rétorquer, via Internet, ce que chacun peut vérifier : rien de tel dans L’Esprit des lois. En toute justice, ajoutent certains, la phrase citée doit être rendue à son véritable auteur, Jean-Marie Le Pen (La Baule, septembre 2012).
Sensible à ce respect scrupuleux des sources, j’avoue pour ma part ne pas l’avoir poussé jusqu’à contrôler l’inexistence de la prétendue citation de Montesquieu dans ses autres écrits : même pas dans les treize volumes parus à ce jour de ses Œuvres complètes en cours de publication (Oxford, The Voltaire Foundation, puis Paris, Classiques Garnier). Car je savais cette recherche inutile : Montesquieu n’avait pas écrit cela, tout simplement parce qu’il lui était impossible de le penser.
Le droit du sol aujourd’hui contesté, ouvertement ou non, par beaucoup de nos politiciens est selon ses partisans une composante de notre pacte républicain. J’ajouterais qu’il est en réalité encore plus ancien en France que la république."
Non à l'extrême droite et à la droite extrême!
Ils deviennent répétitifs ces copier-coller 11h31;faites preuve d'originalité.
Supprimer22h31 : vous n'avez pas dû tout lire car c'est intéressant. Et pourquoi ne pas reprendre des choses intéressantes dites ou écrites par ailleurs ? Regardez la pauvreté de votre commentaire ! Je préfère celui de 11h31 et de loin...
SupprimerToute cette tartine pour dire ces quelques mots finaux.
RépondreSupprimerTypiquement du bobo-gaucho ressassé et pénible!
21h54 : de quoi parlez-vous ? Incompréhensible votre commentaire...
SupprimerSouvenez vous... le but, un minimum de vocabulaire.
SupprimerIl y a le blabla et l'action;11h31 n'a pas intérêt à tomber en panne de salive!
SupprimerEn parlant de "blablabla", adressez vous à briois et le pen... maitres en la matière!
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