Vous trouverez, avec le lien suivant, des paroles de participants aux manifestations "Nuit debout"
Quelques remarques personnelles :
- On notera la peur de voir émerger, de ces mouvements spontanés, un parti. Pourtant, la démocratie ne peut fonctionner qu'avec la participation de représentants du peuple, réunis par mouvements de pensée, à savoir dans des partis politiques... Mais l'image de ces derniers est telle qu'il faudrait inventer un autre nom, ce que personne au monde n'a su faire... Cela prouverait que ce sont les règles du fonctionnement démocratique qu'il faut changer (limitation du cumul de mandats, fin de la monarchie républicaine, proportionnelle aux élections et dose de tirage au sort, prise en compte de la parole de chacun...).
- L'expression des manifestants reflète un doute sur ce qui peut émerger de ce mouvement... Peur de la récupération ? Indécision sur ce que l'on veut réellement ? "Libérer la parole" dit quelqu'un. Et si, au fond, c'était cela : l'absence de lieu d'expression citoyenne ? Il est étonnant qu'Internet ne soit pas utilisé pour cela : forums publics, conseils municipaux ou autres assemblées, y compris le Parlement, ouverts en temps réel aux citoyens...
- On parle peu de révolution... Est-ce parce que l'on a mesuré que les révolutions sont toujours suivies de régimes autoritaires porteurs de la Vérité (la Terreur, le communisme, Napoléon III...). Mai 68, par contre, fut l'occasion de changements dans les relations parents-enfants, maîtres-élèves, patrons-salariés... Par contre, pas de modification dans les rapports élus-citoyens ! Occasion manquée, mais peut-être qu'aujourd'hui...
- Et si, finalement, un mouvement comme "Nuit debout" était l'opportunité d'une vaste réflexion sur la place du citoyen dans la démocratie française, avec création d'une assemblée constituante, nourrie des débats de la base ?
Vous vous rapprochez du programme de Melenchon . Bravo encore un effort car la conscience sociale et citoyenne est la véritable alternative au FN. Sur les rapports parents..enfants ...Il manque les rapports sociaux que certains appellent lutte de classe. Peut importe,il ne faut pas avoir peur des clichés.Le MEDEF ne se trompe pas de camp.Le mouvement citoyen peut déboucher sur une prise de conscience d'une visée collective des enjeux de la société contre le chacun pour soi .
RépondreSupprimerEuh... Je n'ai pas parlé de programme !
SupprimerIl prend ses rêves pour des réalités eul 16:25.
SupprimerBravo 16H25! Je vous suis à 100 pour cent.
SupprimerLa mauvaise gestion du Poitou Charentes merci l ex president du conseil departemental
RépondreSupprimerConseil régional...16h40
SupprimerDes millions en déficit. 10 ans de gestion royale !
SupprimerOui je voulais dire le conseil regionale
RépondreSupprimer"L’information a été révélée ces derniers jours. Le 22 mars, la Sûreté du Nord et le GIR (groupe d’intervention régional) ont mené un coup de filet visant les activités troubles de Prestige Autos, une société de location de voitures de luxe implantée à Lille-Sud. Quatre personnes ont été mises en examen. Deux ont été libérées, sous contrôle judiciaire. Les deux autres ont été placées en détention provisoire : le directeur de Prestige Autos et sa mère, Fadila Bilem. Celle-ci est conseillère municipale (PS) de Villeneuve-d’Ascq, où elle préside une amicale de locataires de la Confédération nationale du logement. Et elle travaille au CCAS de Tourcoing, comme chef de service.
RépondreSupprimerFadila Bilem est soupçonnée de « blanchiment aggravé », précise le parquet de Lille. Mais on ignore son rôle précis, peu d’éléments ont filtré. D’après nos informations, Prestige Autos était dans le collimateur des enquêteurs pour blanchiment, abus de confiance, banqueroute, faux et usage de faux, et abus de biens sociaux. Créé en 2012, ce loueur de voitures haut de gamme a vite attiré l’attention de la police. « Des véhicules ont été impliqués dans des trafics de stupéfiants, des délits routiers, des violences et une tentative de meurtre », affirme un proche de l’affaire. Une cinquantaine de voitures (Bentley, BMW X 6, Ferrari 458…) auraient été louées par la société. Certaines auraient été revendues. Malgré une liquidation judiciaire en 2015, Prestige Autos aurait continué d’exercer.
Les policiers ont saisi des véhicules, comme une Porsche Macan. Mais aussi des biens immobiliers appartenant aux deux dirigeants, dont l’un est en fuite, à Lens, Roubaix, Wattignies et Hellemmes. Et enfin de l’argent liquide, ainsi que des comptes bancaires. Ces confiscations sont évaluées à 1,8million d’euros.
Embarras du PS local
Didier Manier, conseiller métropolitain et départemental PS, et Victor Burette, secrétaire de la section socialiste villeneuvoise s’avouent eux aussi surpris par la nouvelle. Pour l’instant, la section locale du PS n’envisage pas de mesures particulières à son encontre. Si Didier Manier avait eu vent de démêlés judiciaires en 2002 (ci-dessous), il pensait que c’était une rumeur. Quant à Victor Burette, il prétend n’avoir jamais eu connaissance de cette affaire de corruption active dans le cadre d’attributions de logements HLM."
source La Voix du Nord
Elle risque 10 ans d'inéligibilité si...
SupprimerCitoyens contre le FN
➤Jean-Marie Le Pen, au nom du Père, du fisc, et de l’esprit de famille
"L’intéressé prétend que son entreprise "a investi en toute légalité en Asie" et que "le Front national n'a rien à voir ni de près ni de loin avec cette affaire privée".
L’affirmation mérite d’être vérifiée de près au vu de l’implication de l’ancien leader du GUD ( chatillon) dans l’organisation matérielle et le financement des campagnes électorales du parti d’extrême droite depuis que son amie Marine Le Pen en a pris les rênes en 2011. De l’implantation de sociétés écrans à Hong-Kong ou aux îles Vierges britanniques, en ouverture de comptes off-shore au Panama en passant par la dissimulation d’un magot en Suisse, ces drôles de "patriotes" frontistes cachent mal un penchant certain pour le cosmopolitisme fiscal…"