| Sarkozy joue à quitte ou double sa réélection de 2012. Une nouvelle fois, comme le constate l'éditorial du Monde, ci-dessous, il sacrifie un pan de son électorat (les catholiques) pour récupérer celui qui a voté FN en 2007. D'ailleurs, plutôt que quitte ou double, peut-être s'agit-il de poker...Le coup de bluff de Grenoble (ce fameux discours digne de Le Pen...)? Espère-t-il gagner sur les 2 tableaux:? Mais pour cela, il faudra qu'il compense auprès des catholiques...Faut-il s'attendre à la résurgence de cette notion ambigüe de "laïcité positive"? Que fera-t-il auprès des 3 autres électorats qui lui sont encore acquis? A savoir les cafetiers/hôtels/restaurants (avec ce "cadeau" de 3 milliards d'euros de baisse de TVA), les agriculteurs (parlons plutôt des gros, les petits étant sacrifiés), les hauts revenus (avec cet insupportable "bouclier fiscal"): pourra-t-il se permettre de continuer à les privilégier, au dépens des autres catégories de Français? Le Monde Editorial du 25/8/2010 C'est peu dire que les catholiques français, et, en premier lieu, les responsables de l'Eglise, sont choqués par la politique sécuritaire du président de la République. Depuis un mois, la volonté affichée par Nicolas Sarkozy de démanteler des centaines de camps de Roms, puis son discours de Grenoble menaçant de déchoir de leur nationalité des Français " d'origine étrangère " qui porteraient atteinte à la vie de policiers ou de gendarmes ont provoqué un malaise qui ne cesse de grandir. Et des coups de crosse épiscopale de plus en plus cinglants. Dès le 28 juillet, Raymond Centène et Claude Schockert, évêques de Vannes et de Belfort, responsables de la pastorale des gens du voyage et de celle des migrants, mettaient en garde contre " une recrudescence de la stigmatisation " contre des " boucs émissaires désignés ". Puis ce fut l'évêque d'Ajaccio, Jean-Luc Brunin, qui déplora " l'amalgame entre insécurité et immigration ".Lors des fêtes de l'Assomption, à la mi-août, André Vingt-Trois, cardinal archevêque de Paris et président de la Conférence épiscopale, évoquait " ceux qui se tournent vers notre pays et qui en attendent la reconnaissance de leur dignité ". " Saurons-nous leur faire une place à notre table ? ", demandait-il, avant de fustiger " les délires d'une surenchère verbale et physique ". " Nul être humain ne peut être déchu de son humanité ", ajoutait Hippolyte Simon, archevêque de Clermont et vice-président de la Conférence épiscopale. Implicitement, enfin, c'est au chef de l'Etat que le pape Benoît XVI a rappelé en français, dimanche 22 août, le devoir de " savoir accueillir les légitimes diversités humaines ". Cette rafale de sermons est évidemment fidèle aux principes chrétiens de tolérance envers les étrangers et de sollicitude envers les déshérités. Mais le malaise est d'autant plus profond que Nicolas Sarkozy avait su convaincre les catholiques français qu'il était des leurs. Rompant avec la discrétion de ses prédécesseurs en la matière, il affirmait sans ambages en 2004, dans son livre La République, les religions, l'espérance : " Je me reconnais comme membre de l'Eglise catholique. " De même, chacun se souvient des phrases chocs du président de la République prononcées devant le pape, le 20 décembre 2007, dans la basilique Saint-Jean-de-Latran : rappel des " racines chrétiennes " de la France, évocation des " souffrances " éprouvées par les catholiques du fait de la loi de 1905 de séparation de l'Eglise et de l'Etat, plaidoyer pour une " laïcité positive ". En septembre 2008, encore, la République avait déployé ses ors et sa pompe pour accueillir Benoît XVI, qui louait, alors, " la généreuse tradition d'accueil et de tolérance de la France ". Après la controverse sur le travail du dimanche, la surenchère sécuritaire a rompu la confiance. Dans son discours du Latran, Nicolas Sarkozy affirmait que, " dans la transmission des valeurs, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le pasteur ou le curé ". Le pape et les évêques lui rappellent aujourd'hui qu'en matière de respect des valeurs, il a quelques progrès à faire. © Le Monde |
France : agression antisémite dans un Intermarché de Toulouse
RépondreSupprimerUne jeune femme juive s'est faite agresser par deux jeunes gens se disant musulmans et voulant par la force faire respecter le ramadan dans un Intermarché de Toulouse, le 17 aout 2010 à 19h30. Les deux jeunes décrits comme d’origine maghrébine lui ont d’abord reproché d’acheter de l’alimentation pendant le ramadan. Comme elle leur disait être juive, ils se sont acharnés sur elle, la traitant de sale juive et la molestant, sous les yeux du vigile du magasin qui n’est pas intervenu car musulman lui-même, il se devait de respecter le ramadan.
Cette info ne fait l'objet que de 2 références sur Google et encore sur 2 sites juifs...Étonnant que depuis une semaine aucun média ne l'ait reprise!
RépondreSupprimerC'est la justice pénale qui doit être saisie...et non la Halde
Suzanne Degeilh, 97 ans, est décédée des suite d’une agression… C’est honteux que cela puisse arriver avec « tout le paquet » qu’a soi-disant mis le Gouvernement en matière de prévention de la délinquance. On préfère emmerder les Roms, ils courent moins vite…Vous allez voir que si, par hasard, on retrouve ses meurtriers, à cette pauvre dame, ils vont encore s’en tirer grâce à des circonstances aténuantes. Je ne comprends même pas pourquoi, dans de tels cas de figure, on fourni des avocats à ces ordures. Cest honteux de chez honteux!
RépondreSupprimer1- Nous sommes dans un état de droit: un tribunal, des juges et des avocats pour éviter la loi de la jungle...
RépondreSupprimer2- Si l'on se fie aux articles de presse, il n'y a pas de circonstances atténuantes, mais plutôt des circonstances aggravantes
3- le "bruit" fait par Sarkozy ne sert à rien! De plus cela empêche la police de travailler là où il le faut. Quant à la justice, elle manque de moyens pour assumer son rôle
Et,………..nous avons gardé le meilleur pour la fin : L’inénarrable Noël….David pour les intimes, le théoricien du parti,……….celui dont le blog est parfois plus hermétique que les articles spécialisés du journal : LE MONDE.
RépondreSupprimerDevenu leader de la section PC d’Hénin Beaumont, fidèle à la tradition de ceux dont il s’inspire, il a commencé par une grande purge !
Exit Deshayes, trop proche de Dalongeville.
Exit Creuze, même prétexte.
Bien entendu, déjà courageux à l’époque, il a préféré justifier ses décisions par des problèmes internes au PC.
Et aujourd’hui , lui qui a liquidé ses deux ex amis, que fait-il ?
Réponse : La même chose que ce qu’il leur reprochait : Collaborer avec l’HOMME DES 85 %. Creuze et Deshayes ne m’ont guère épargné depuis 7 ans mais je leur reconnais au moins la qualité d’avoir milité de nombreuses années avant d’aller à la soupe.
S'il n'y avait que des jeunes comme cela, la France pourrait dormir tranquille !
La relève est prête.....
On en connait fort heureusement de plus courageux.
Dans VDN de ce jour, David Noël entretient le suspens comme si le monde entier attendait sa décision.
RépondreSupprimer- Premier cas de figure: Il acceptera ce que Gérard Dalongeville lui proposera avec condescendance….
Dans ce cas, il expliquera qu’il a accepté les hautes consignes de l’appareil communiste (discipline oblige) et que face au danger F.N, il convient de se rassembler y compris avec les forces les plus douteuses !
- Deuxième cas de figure: Gérard Dalongeville ne lui fera aucune proposition …..dans ce cas le même David Noël expliquera qu’il a mis ses intimes convictions au dessus de tout.
Dans les deux cas de figures il aura pris les électeurs et notamment ce qui reste de l’électorat communiste pour un collectif (c’est un mot qu’il aime bien) incapable de comprendre quoique ce soit à l’ubuesque situation politique héninoise.
A neuf contre un (pour reprendre l'expression des parieurs), nous parions pour le premier cas de figure.
sur ce blog , qui n'est pas le mien et donc je me propose à la lecture et donc admet sans commentaire aucun que soit supprimé ce message;J'y arrive ; le fn , triste et pitoyable parti s'il en est , s'arroge le droit par cons incultes autorisés par lui , d'insulter , de blamer , de vomir sur ce blog. Ils en deviennent lassants et epuisants , je le comprend s, la scolarité n'a pas été leur fort , mais donc qu'ils se" retournent vers les nombreux ministres de l'éducation nationale et ils sont nombreux , qu'ils s'en prennent à leurs parents incapables de les avoir aidé scolairement au point d'en faire de vrais ploucs , ploucqs qui ne comprenant que peu de chose adhérerent à ce cher parti d'extrême droite oui les militantsq sont si incultes que depuis longtemts les rats ont quitté les locaux faute de livre à grignoter , bonne nuit à vous
RépondreSupprimerje me moque des incultes et bigre , que de fautes ais je commises , honte sur moi , plutot que aussi faire mon malin , devrais me relire et corriger mes aneries , mea beaucoup de fois culpa
RépondreSupprimerEn faite lorsque les médias reprendront l'info de l'agression antisémite, ils transformeront le mot "agresseur" par" déséquilibré mental" c'est ce qui arrive souvent lorsqu'il s'agit d'un musulman.
RépondreSupprimerIl faut être sacrément hypocrite de dire que les catholiques sont contre Sarkozy depuis l'affaire des roms, bien que le pape soit le chef de toutes les églises ce n'est pas pour autant que tous les catholiques pensent la même chose que lui, c'est comme lorsque le président de la république s'exprime au nom des français , ce n'est pas pour autant que nous sommes d'accord avec ses propos.
RépondreSupprimerLes roms sont un coup polico-médiatique mais en réalité aucun ne se soucient de leur sort mis à part les faux culs qui ont besoin d'eux comme d'un tremplin!
vu sur le net :
RépondreSupprimer"après avoir profané une dizaine d'églises, 5 mosquées, 3 synagogues et montré leurs culs à quelques bourgeois, une bande de rom dont le plus âgée avait 10 ans, viole tous les pensionnaires d'une maison de retraite avant d'avoir sauvagement massacré les enfants d'un quartier d'une grande ville dont nous tairons le nom"
merci l'europe, au moins avant on se massacrait gentiment sur les champs de batailles
t et m
Aux 2 (?) Anonymes critiquant David Noël, je le laisserai, s'il le juge utile, de se défendre et nous pu noter qu'il savait très bien le faire.
RépondreSupprimerPourtant je suis obligé de dire que je ne comprends grand chose à ce qui a été écrit ou le peu que j'ai pu discerner n'avait ni queue, ni tête. Ou alors c'est trop hermétique pour moi...
Anonyme 19H48
RépondreSupprimerC'est vrai, je reconnais aux Catholiques de ne pas être d'accord avec le Pape, les cardinaux, archevêques, évêques et curés ou prêtres français quand ils s'expriment sur l'expulsion des Roms. C'est même bien de ne pas suivre comme des moutons.
Ce serait encore mieux si certains d'entre eux faisaient savoir qu'ils sont d'accord avec la politique du gouvernement sur le sujet.
Peut-être êtes-vous mieux informé?
Les deux commentaires en question sont des articles de Georges Bouquillon sur le blog de l'AR de janvier 2008, en pleine campagne des municipales.
RépondreSupprimerJe ne vois pas trop l'intérêt de les reposter.
Tout le monde sait qu'en 2008, j'étais partisan d'une liste Club des 5/AR avec Alain Alpern et Marie-Noëlle Lienemann et que pour mettre toutes les chances de notre côté, le "club des cinq" voulait faire porter la responsabilité de la division de la gauche à Dalongeville tout en s'assurant du soutien du PS.
Je suis le premier à regretter que nous ayons été contraints de choisir entre la peste FN et le choléra Dalongeville, mais il faut le dire au PS qui, sur la foi d'un sondage, a décidé de soutenir Dalongeville.
Avec le recul, je suis convaincu que nous aurions tout de même perdu face à Dalongeville et son clientélisme, alors, en passant pour des diviseurs et sans le soutien du PS, il n'y avait aucune chance, ce que le score très limité de l'AR a amplement montré : 18 %...
Comme je l'ai dit aux Questions qui fâchent, c'était un mauvais choix, mais c'était, dans le contexte de l'époque ce qui nous est apparu comme le moins mauvais des choix possibles pour ce qui était notre priorité numéro 1 : battre le FN.
Pour ce qui était de la priorité numéro 2 : démasquer Dalongeville et le battre, ça a toujours été mon objectif, je n'en ai jamais dévié, tout le monde le sait. J'ai combattu Dalongeville avant les élections de 2008, pendant la campagne en distribuant un programme différent du sien et en disant tout le mal que je pensais de lui, et après avoir été élu.
J'ai d'ailleurs été interdit d'entrée en bureau municipal pour opposition en septembre 2008, à peine six mois après les élections avant d'être définitivement viré six mois plus tard.
Georges Bouquillon le sait pertinemment et en 2008, lorsqu'il écrivait ces articles, il ne pouvait pas ne pas connaître nos véritables sentiments et notre stratégie que nous lui avions exposée lors d'une rencontre à leur local quelques semaines plus tôt. Ses articles de l'époque étaient déjà de mauvaise foi. Là-dessus, il n'a pas changé...
ce qui était notre priorité numéro 1 : battre le FN.
RépondreSupprimerIls ne pouvaient pas faire pire de ce que vous avez fait avec vos collègues, m'sieur Noël !
48% paient votre "bévue" et cela pendant plusieurs années.
vendu le ri^poux plicain une manif anti fn mdr vous allez vous battre contre la moitié de la population
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