Comme je le pressentais (http://alpernalain.blogspot.com/2011/08/la-regle-dor.html), le gouvernement a préféré presser fiscalement les classes moyennes et défavorisées, que de faire payer les riches. Nous verrons, demain, ce qu'il faut penser des mesures présentées hier par le Premier Ministre, Fillon, pour diminuer le déficit budgétaire creusé par lui-même depuis 2007.
Je reprendrai, ci-dessous, les termes d'un journaliste du Monde, Gérard Courtois, dans une rubrique intitulée, fort à propos, " Les Rois de l'esbroufe ":
" Il faut à la majorité actuelle un culot exceptionnel pour jouer, subitement, les professeurs de vertu budgétaire. Les chiffres sont impitoyables. En 2007, la dette de la France représentait 63,8 % du PIB ; elle dépassera 86 % en 2011. Soit pas loin de 500 milliards d'euros supplémentaires en quarante-huit mois, et une dette globale dont la seule charge des intérêts absorbe la quasi-totalité de l'impôt sur le revenu. "
Inutile d'en rajouter en rappelant que cet accroissement de l'endettement était la conséquence de ces cadeaux faits aux riches: paquet fiscal, suppression d'une partie des droits de succession et de donation, déductibilité des intérêts d'emprunt immobilier, etc.
un micro de la ville et du personnel municipal pour une manifestation politique privée??? les bras m'en tombent !!!
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