La présidente :
- en entrant dans la salle et mettant les choses au point de suite :"M. Chartier, on m’a dit que vous étiez très énervé..."
- au même : "Vous vous calmez ! Pas de gros mots ici..."
- au même encore (suite à une intervention de l'avocat de GD, le soutenant) : "Vous avez maintenant 2 avocats..."
- à G. Mollet : "Est-ce que vous dites n'importe quoi ?"
- à l'avocat de GD : "Vous êtes fatigué aujourd'hui, Me Terquem" (il est peu intervenu durant cette audience, contrairement à son habitude).
- "Dès qu'on rencontre quelqu'un d'Hénin-Beaumont, on lui demande s'il connaît Guy Mollet !"
Henri (dit Mario) Chartier :
- parce qu'on lui reproche, sur le bail, une adresse erronée et la mention de F2 alors qu’il s’agit de chambres : "C’est une erreur de celui qui a fait le bail, pas de Chartier".
- "Monsieur le procureur, vous faîtes fausse route".
- toujours au même : "M. le procureur, je ne sais pas pourquoi vous me cherchez des poux !"
- Messieurs Dalongeville et Chopin et moi-même avions le même docteur ! C'est une coïncidence, vous ne trouvez pas ? Voilà pourquoi on a pu dire qu'on se rencontrait souvent"
- répondant à une question précise de la présidente : "Je ne vais pas dire oui ou non. Je ne suis pas menteur !"
- au procureur : "Si vous dites que j'ai fait des faux, alors vous êtes plus calé que moi".
- à la présidente : 'Vous avez fait des gardes à vue, vous ? Non ? Heureusement pour vous !"
Voici comment La Voix du Nord dépeint ce personnage : " De son sud-ouest natal, Henri Chartier a conservé l’accent roulant et la
faconde intarissable, chaque phrase pouvant à tout moment se prolonger
en palabre labyrinthique et interminable. L’homme a un passé qu’il
recompose volontiers [...] Et
n’hésite pas à hausser le ton et dire les mots tels qu’il les pense [...] Le verbe est haut et le ton menaçant… [...]
Regard d’aigle et poings serrés, Mario Chartier entre dans la salle de
tribunal avec ses propres codes." Par ailleurs, E. Dussart le décrit ainsi : "C'est un homme au regard de jais, à l'accent rocailleux du sud, un homme qu'on trouve si on cherche. Et même si on ne le cherche pas. Il fait face au tribunal, l’œil mauvais."
D'autres :
- G. Dalongeville : "Tout le monde ment et M. Chopin dit la vérité depuis le début !"
- Me Terquem, sur la crudité du verbe de Mario C : " On ne peut pas lui reprocher de jurer comme un... charretier !"
- Le même avocat (GD ressassant que les chambres étaient louées pour des femmes battues et la présidente faisant remarquer que l'on n'y voyait pratiquement que des hommes) : "Une femme battue sur trois est un homme !"
Les chiens ne font pas des chats...hein.
RépondreSupprimerPour comprendre suffit de cliquer sur ANONYME.
Sommes-nous responsables de nos ascendants et descendants ? Cela me semble une généralisation douteuse...
SupprimerSommes-nous responsables de nos ascendants et descendants ?
SupprimerOui et non, tout dépend du cas aussi au PS des cas de fraudes ça ne manque pas..hein, forcément ça marque les esprits et parfois le sang.
Dans la famille Dalongeville je demande le père,
mais vous verrez dans quelques années on parlera du fils,
retenez bien ce que je vous ..prédis !
Moi , je crains le trio :"Au nom du père , de la fille et du saint d'esprit ", bah!! aussi " le borgne , la brute et le gnan gnan ".
Supprimerc'est vrai qu'il suffit d'observer pour comprendre une culture familiale: Jacques Mellick, père et fils par exemple; Kucheida, son fils et sa fille.... Etre enfant "de" aide souvent à s'affranchir de certaines règles, non ?
SupprimerLes chiens ne font pas des chats...hein. On s4en fout de tes liens.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerJe ne fais pas la propagande du FN !
Supprimerfait attention Alain soit attentif en cliquant sur le titre du commentaire de 08H55...c'est de la propagande pour le FN...
Supprimer