Marion Maréchal Le Pen : Je n'ai rien contre l'avortement s'il concerne des Musulmans
Du haut de ses 26 ans, Marion Maréchal Le Pen a un caractère bien trempé. La députée frontiste du Vaucluse s’est en effet illustrée dernièrement par ses idées concernant les Centres de Protection Maternelle et Infantile (PMI) et sur les Interruptions Volontaires de Grossesse (IVG), qui selon elle, ne devraient plus être remboursées. Elle affirmait alors avec tout le tact qui la caractérise : « Les traînées vont payer ».
Mais Marion Maréchal Le Pen va plus loin. Elle a affirmé hier lors d’un meeting à Orange, sa conception de l’avortement: « L’avortement est un acte très grave qui doit être étudié au cas par cas. Idéalement, pour chaque demande d’IVG, il faudrait qu’une décision d’une commission non mixte soit prise. Cette commission, composée uniquement de personnes qui aiment bien juger les comportements d’autrui, décidera si la personne pourra ou non disposer et agir sur son corps».
L’exception musulmane
La députée frontiste a néanmoins ajouté certaines exceptions: « En revanche, je n’ai rien contre l’avortement s’il concerne des musulmans. Il faut encadrer leur fécondité, ils se multiplient trop vite, il y en a partout. Si des mesures ne sont pas prises très vite, on ne pourra plus en venir à bout». La foule venue l’écouter à accueilli cette phrase avec un tonnerre d’applaudissements.
Seul Bachir, le technicien de surface présent lors du meeting a confié plus tard dans la soirée que ce message lui avait “fait de la peine” et que Marion Maréchal Le Pen ne serait “pas aussi sympa qu’on le dit…”. Ces propos n’engagent évidemment que lui, et Le Gorafi se dégage de toute responsabilité quant à ces propos à la limite de l’injure.
Le Gorafi 10/12/2015
On pourrait appeler ça le "Dé Grand Remplacement". LOL.
RépondreSupprimerQuand on cite on indique ses sources ,vidéos ,radios ,etc....
RépondreSupprimerAvec un soupçon de vérité vous en faites une tonne AA !
1) J'ai cité la source !
Supprimer2) Le Gorafi est un journal satirique... bien connu!
Vous avez perdu une occasion de vous taire !
Alain, le 17H15 est probablement un élu fn qui vient pour polluer votre blog. Les pages récupérées par le maire ne lui suffisent pas pour tenter de propagander. Il vient troller ici. Affolé, il ne supporte plus rien. En effet, sa marina n'aura pas la région!
SupprimerLe Gorafi, quelle référence. On tombe bien bas.
SupprimerSans commentaire !
SupprimerSi c'était vrai votre combat contre le fascisme serait justifié. Ce n'est pas vrai et il ne l'est pas.
RépondreSupprimerLa gauche est triste et en deuil je pense : Hitler est mort en 1945 et pourtant elle n'a de cesse de le voir partout et tout le temps. L'anti-facsme est devenu le seul programme du PS. A tel point que Bartolone en vient à racialiser la campagne régionale. C'est désespérant.
Le fn est fascisant! La cagole du sud se compromets avec des amis néo nazis et la cagole du nord dansait en 2012 ( 3ans à peine) avec des amateurs du Reich hitlérien. En phase de dédiabolisation... Mais si le mensonge fn prend l'ascenseur, la vérité prend les escaliers mais finit toujours par éclater...
SupprimerQue les cagoles , celle du sud et celle du nord, se consacre à leur future entretien avec... les juges...
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RépondreSupprimer18h41 : diffamatoire à plusieurs titres !
SupprimerPlus de nouvelles de Tondelier ,peut-être demain en CM !
RépondreSupprimerOu bien commence t-elle à faire des économies pour rembourser en partie le prêt contacté pour les élections .
Ah les bobos,vraiment des têtes en l'air ;ne pas prévoir de ne pas arriver aux 5% fatidiques !
Ou bien s'est-elle mise au vert avec Cosse,Duflot,Rousseau, avec en vue l'élection présidentielle de 2017;ah la stratégie !
Nous reconnaissons les visages de la haine
RépondreSupprimerLe Monde | 11.12.2015 à 12h02
Florian Philippot et Marine Le Pen en meeting à Hayange (Moselle), le 25 novembre 2015.
Anciens résistants et déportés, nous avons appris durement à reconnaître les masques et les visages de la haine, et nous les reconnaissons bien aujourd’hui.
Nous, anciens résistants et déportés, cofondateurs du site mémorial du Camp des Milles, avons connu, subi et combattu le régime de Vichy et sa politique d’extrême droite, autoritaire, nationaliste, xénophobe et antisémite. Cette politique de collaboration avec le nazisme a divisé puis persécuté, torturé, massacré.
Nous avons voulu ce lieu de mémoire et d’éducation afin que l’histoire ne soit pas enfouie, et parce que nous sommes convaincus que cette histoire nous parle aussi des dangers qui menacent encore et toujours notre fragile humanité.
Malheureusement, nous voyons aujourd’hui monter en France et en Europe la xénophobie, le nationalisme, les racismes et l’antisémitisme, encouragés par des personnalités et des partis extrémistes comme le Front national. Avec leurs grossièretés ou leurs ambiguïtés sur la page la plus sombre de notre histoire. Avec leur cortège de stigmatisations (contre les musulmans, mais aussi les Roms, les protestants, les juifs, les francs-maçons, les homosexuels, refrain vichyste connu…). Avec leurs menaces contre la paix civile entre Français.
Insupportable
C’est...
Il n'y a pas qu'Hénon dont toute la France se fout. Il y a le Luxembourg qui se moque des feneux!
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Frontaliers : Philippot et le pass pour la zone libre [billet]
Dans Grande région, Lorraine 11/12/2015 0
Avec Florian Phlippot à la tête du Grand Est, il faudrait un Ausweis pour pouvoir passer la frontière... (illustration Jean-Claude Ernst)
Avec Florian Phlippot à la tête du Grand Est, il faudrait un Ausweis pour pouvoir passer la frontière... (illustration Jean-Claude Ernst)
Le candidat Front national Florian Philippot a encore eu une merveilleuse idée ! Il a annoncé que tous les frontaliers vivant dans la future région Grand-Est devront obtenir un «pass» délivré par ses services pour traverser la frontière.
Cet Ausweis, ce «laissez-passer» pour rentrer en zone libre, devrait résoudre les problèmes de passage à la frontière. Seuls ceux qui auront demandé l’autorisation à Florian Philippot, et qui auront justifié cette autorisation par un contrat de travail, pourront quitter le territoire national sans subir les contrôles poussés des sbires du conseil régional.
Il est vrai que celui qui quitte la France pour aller à l’étranger est suspect : il doit donc être fiché, connu afin de voir si l’ «étranger» ne le contamine pas avec ses idées subversives.
Et à l’inverse, quand le Front national sera au pouvoir de l’autre côté de la frontière, ceux qui voudraient aller en Lorraine faire leurs courses devront-ils aller à l’ambassade de France à Luxembourg pour prendre un visa ?
Laurent Duraisin