Je n'ai pas envie, aujourd'hui, de faire de l'humour sur le sujet des attentats de Bruxelles. Pourtant, il en faudrait, ne serait-ce que pour ne pas avoir à succomber à ce que souhaitent nous inoculer les djihadistes : la peur...
Je ne reprendrai pas non plus les lieux communs que nous pouvons lire et entendre. Non pas que je ne compatis pas au drame, bien au contraire, mais je n'arrive pas à trouver les mots pour marquer mon effarement devant l'impuissance dans laquelle nous nous trouvons.
A n'en pas douter, nous ne sommes qu'au début de la vague d'attentats qui nous terrorisent (!). Sans vouloir aider cette "armée de l'ombre", je suis obligé de dire que si les grandes villes sont aujourd'hui menacées, il reste des milliers de communes en France, Belgique, Allemagne, Espagne, Italie... qui peuvent être une cible pour des attentats. Les lieux de rencontres sportives (songez à l'Euro de foot !), les cinémas, les discothèques... sont fréquentées par de potentielles victimes, telles que vous ou moi... Mettre fin à ces carnages, passés et à venir, passe certainement par une action militaire d'envergure là où se concentrent les djihadistes, là où ils massacrent et violentent les populations, là où ils forment leurs commandos de la mort.
Mais cela ne passe pas par les débats politicards en cours sur la déchéance de nationalité, l'arrêt de l'immigration ou le rétablissement des contrôles aux frontières, insultes à l'intelligence humaine...
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