J’ai pensé utile de retracer ici mon parcours politique, non par prétention ou narcissisme, mais essentiellement pour 2 raisons :
- tordre le cou aux fausses informations qui commencent à poindre, ici ou là, et dont je pressens l'origine ;
- démontrer que mon combat n’est pas d’assouvir une ambition personnelle, mais bien celui pour la justice sociale, l’amélioration de l’Homme, et la transmission d’une planète en bon état aux générations futures. La stratégie consiste à lutter contre tout ce qui est obstacle : les adeptes du racisme et de l’exclusion, les profiteurs de l’argent-roi, et les pollueurs en tout genre…
Je confirme ici que :
- j’accepterai toutes les critiques ou infirmations, à la condition expresse qu’elles ne soient pas anonymes et comportent des coordonnées personnelles, qui peuvent m’être communiquées séparément, par mail, à l’adresse, ci-dessous.
- Ceux qui ne souhaitent pas communiquer publiquement peuvent prendre contact avec moi à l’adresse suivante : alainalpern@gmail.fr.
1- Les débuts en politique ( 1990-1997)
Mon entrée en politique fut tardive. Pourtant :
- mes études (droit et sciences politiques) m’ont amené, très tôt, à suivre la vie politique
- en mai 68, un peu avant et après, je fus très attiré par toutes les idées alors effervescentes : maoïsme, Althusser, Illitch, Deleuze, Marcuse, Debord, etc…Quelle richesse !
- j’ai adhéré au PS en 1978, pour ne pas être coupé de la vie politique, alors que je partais pour des raisons professionnelles , à l’étranger, et, ce, au moment où se levait l’espoir de 1981 ;
- à partir de 90, je créai la Licra Artois, puis Fraternité 62 (objet : lutter contre l’extrême- droite), et une association de réflexion sur la vie politique béthunoise (cercle Buridan).
1-1 Dès mon retour en France, en 1990, à Béthune, ma ville natale, j’ai repris contact avec Jacques Mellick, ami de la famille. Las, très rapidement, je dus déchanter devant l’attitude peu démocratique de JM. Certes, ce dernier était un formidable développeur, mais les moyens employés pour parvenir à ses fins, les méthodes, plus que douteuses, utilisées, et le mépris pour ceux qui n’étaient pas de son avis, sans parler du culte de la personne, m’ont très rapidement édifié.
1-2 En 1992, je quittai le PS et adhérai à « Génération écologie », parti fondé par Brice Lalonde (où j’y fis connaissance de JF Caron) : je rencontrai l’écologie politique, qui allait bouleverser mes idées sur la société. Las, encore une fois, déception au sujet de cet homme brillant, visionnaire et anti-conventionnel, mais adepte du pouvoir personnel. Nous fûmes nombreux à le quitter, avec Jean-François (seul N.Mamère resta plus longtemps).
1-3 En 1995, lors des élections municipales, je ne rejoignis pas mes amis d’Agir (l’Alliance Républicaine d’HB, avant la lettre), mené par mon ami Bruno Dubout, figure politique béthunoise (avec qui nous étions partis en 1993, en Bosnie, pour « arrêter la guerre », à l’issue d’une épopée inénarrable, ce que nous ne sommes pas parvenus à faire !). Agir perdit, avec honneur, les municipales de 1995 contre les amis de Mellick, inéligible pendant 5 ans (il continuait pourtant à gérer la ville, en sous-main).
2- L’élu béthunois (1997 à 2004)
2-1 En juin 97, les anciens Génération Ecologie du NPDC, sous la houlette de JF Caron, entrèrent chez les Verts (qui venaient de sortir du « ni droite, ni gauche » de Waechter, pour se situer clairement à gauche). En décembre, élections municipales à Béthune (suite à la défusion avec Beuvry) que nous gagnons, avec Bernard Seux, dans une liste de gauche, anti-mellickienne.
2-2 Ayant reçu les délégations de l’environnement, de la démocratie participative et des
relations internationales, dans une équipe constituée d’amis, souvent de longue date, je pris mon pied. Malgré un Maire, ami de jeunesse, mais peu convaincu par les idées écologiques. Je me souviens particulièrement de cette formidable idée de jardins ouvriers qu’il contesta jusqu’au bout et qui pourtant fut une réussite extraordinaire, notamment par le lien social qu’elle sut créer.
Durant cette période j’eus le bonheur de travailler avec Michel Rodrigues, DGS, Maire de Leforest en 2001 (battu en 2008) et Stéphane Saint-André, alors directeur de cabinet de B. Seux et actuel Maire de Béthune.
2-3 Avant les élections de 2001, les choses se gâtèrent un peu avec le Maire, qui
refusant d’entamer des discussions, dès septembre 2000, m’obligea à constituer une liste, et je partis seul, contre Mellick et contre mes colistiers. Résultat : 8%, mais les négociations pour le second tour échouèrent, car mes amis et moi-même souhaitions plus qu’une place symbolique.
Nouvelle élection partielle en 2002, pour annulation de la précédente, avec liste autonome des Verts. Facile victoire de Mellick. Je deviens élu d’opposition, dans une atmosphère irrespirable, le nouveau Maire voulant nous faire payer son purgatoire précédent.
Pour juger de l’ambiance, vous pouvez lire mon violent discours de départ, contre Jacques Mellick en 2004, alors que je venais d’être élu conseiller régional : http://vertsbethune.ouvaton.org/ dernier texte de la partie archives.
A suivre
- tordre le cou aux fausses informations qui commencent à poindre, ici ou là, et dont je pressens l'origine ;
- démontrer que mon combat n’est pas d’assouvir une ambition personnelle, mais bien celui pour la justice sociale, l’amélioration de l’Homme, et la transmission d’une planète en bon état aux générations futures. La stratégie consiste à lutter contre tout ce qui est obstacle : les adeptes du racisme et de l’exclusion, les profiteurs de l’argent-roi, et les pollueurs en tout genre…
Je confirme ici que :
- j’accepterai toutes les critiques ou infirmations, à la condition expresse qu’elles ne soient pas anonymes et comportent des coordonnées personnelles, qui peuvent m’être communiquées séparément, par mail, à l’adresse, ci-dessous.
- Ceux qui ne souhaitent pas communiquer publiquement peuvent prendre contact avec moi à l’adresse suivante : alainalpern@gmail.fr.
1- Les débuts en politique ( 1990-1997)
Mon entrée en politique fut tardive. Pourtant :
- mes études (droit et sciences politiques) m’ont amené, très tôt, à suivre la vie politique
- en mai 68, un peu avant et après, je fus très attiré par toutes les idées alors effervescentes : maoïsme, Althusser, Illitch, Deleuze, Marcuse, Debord, etc…Quelle richesse !
- j’ai adhéré au PS en 1978, pour ne pas être coupé de la vie politique, alors que je partais pour des raisons professionnelles , à l’étranger, et, ce, au moment où se levait l’espoir de 1981 ;
- à partir de 90, je créai la Licra Artois, puis Fraternité 62 (objet : lutter contre l’extrême- droite), et une association de réflexion sur la vie politique béthunoise (cercle Buridan).
1-1 Dès mon retour en France, en 1990, à Béthune, ma ville natale, j’ai repris contact avec Jacques Mellick, ami de la famille. Las, très rapidement, je dus déchanter devant l’attitude peu démocratique de JM. Certes, ce dernier était un formidable développeur, mais les moyens employés pour parvenir à ses fins, les méthodes, plus que douteuses, utilisées, et le mépris pour ceux qui n’étaient pas de son avis, sans parler du culte de la personne, m’ont très rapidement édifié.
1-2 En 1992, je quittai le PS et adhérai à « Génération écologie », parti fondé par Brice Lalonde (où j’y fis connaissance de JF Caron) : je rencontrai l’écologie politique, qui allait bouleverser mes idées sur la société. Las, encore une fois, déception au sujet de cet homme brillant, visionnaire et anti-conventionnel, mais adepte du pouvoir personnel. Nous fûmes nombreux à le quitter, avec Jean-François (seul N.Mamère resta plus longtemps).
1-3 En 1995, lors des élections municipales, je ne rejoignis pas mes amis d’Agir (l’Alliance Républicaine d’HB, avant la lettre), mené par mon ami Bruno Dubout, figure politique béthunoise (avec qui nous étions partis en 1993, en Bosnie, pour « arrêter la guerre », à l’issue d’une épopée inénarrable, ce que nous ne sommes pas parvenus à faire !). Agir perdit, avec honneur, les municipales de 1995 contre les amis de Mellick, inéligible pendant 5 ans (il continuait pourtant à gérer la ville, en sous-main).
2- L’élu béthunois (1997 à 2004)
2-1 En juin 97, les anciens Génération Ecologie du NPDC, sous la houlette de JF Caron, entrèrent chez les Verts (qui venaient de sortir du « ni droite, ni gauche » de Waechter, pour se situer clairement à gauche). En décembre, élections municipales à Béthune (suite à la défusion avec Beuvry) que nous gagnons, avec Bernard Seux, dans une liste de gauche, anti-mellickienne.
2-2 Ayant reçu les délégations de l’environnement, de la démocratie participative et des
relations internationales, dans une équipe constituée d’amis, souvent de longue date, je pris mon pied. Malgré un Maire, ami de jeunesse, mais peu convaincu par les idées écologiques. Je me souviens particulièrement de cette formidable idée de jardins ouvriers qu’il contesta jusqu’au bout et qui pourtant fut une réussite extraordinaire, notamment par le lien social qu’elle sut créer.
Durant cette période j’eus le bonheur de travailler avec Michel Rodrigues, DGS, Maire de Leforest en 2001 (battu en 2008) et Stéphane Saint-André, alors directeur de cabinet de B. Seux et actuel Maire de Béthune.
2-3 Avant les élections de 2001, les choses se gâtèrent un peu avec le Maire, qui
refusant d’entamer des discussions, dès septembre 2000, m’obligea à constituer une liste, et je partis seul, contre Mellick et contre mes colistiers. Résultat : 8%, mais les négociations pour le second tour échouèrent, car mes amis et moi-même souhaitions plus qu’une place symbolique.
Nouvelle élection partielle en 2002, pour annulation de la précédente, avec liste autonome des Verts. Facile victoire de Mellick. Je deviens élu d’opposition, dans une atmosphère irrespirable, le nouveau Maire voulant nous faire payer son purgatoire précédent.
Pour juger de l’ambiance, vous pouvez lire mon violent discours de départ, contre Jacques Mellick en 2004, alors que je venais d’être élu conseiller régional : http://vertsbethune.ouvaton.org/ dernier texte de la partie archives.
A suivre
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