Dans le cadre de la régression continue des droits fondamentaux dénoncée régulièrement sous cette rubrique, je souhaiterais brosser rapidement le projet que nous concocte le Président de la République, et dont les différentes phases vont se dérouler sous nos yeux effarés, entre 2009 et 2014, devant le Parlement, grâce à des députés « godillots », qui ne mâchent pas leurs mots contre cette réforme, en privé, mais voteront comme un seul homme, le moment venu !
Nous reviendrons en détail sur chacun des points au fur et à mesure des débats devant le Sénat et l’Assemblée Nationale. Mais sachez que cette réforme a un double objectif :
- recentraliser les pouvoirs aux mains de l’Etat
- éliminer les bastions locaux tenus par la gauche.
Qu’on en juge, la manœuvre étant tellement claire !
1- La création de conseillers territoriaux
Le projet est en ce moment en discussion parce qu’il faut absolument réaliser la réforme avant les élections régionales de mars pour qu’elle soit applicable en 2014 (les prochains conseillers régionaux verront ainsi leur mandat écourté de 2 ans).
L’objectif est de fondre les conseillers régionaux et généraux en un seul statut : les conseillers territoriaux, qui exerceront chacun les compétences des 2 assemblées.
Raisons invoquées : clarification aux yeux des citoyens et réduction du montant des indemnités. Voyons cela :
- clarification : si elle est nécessaire, cette soi-disante clarification sera pourtant gage d’inefficacité. Qu’on en juge : chaque conseiller territorial (CT) aura les 2 casquettes, celle du Conseil général (CG) et celle du Conseil régional (CR). Comme on divise leur nombre par 2, ils auront un territoire multiplié par 2 : on ne peut pas dire que l’on rapprochera l’élu du citoyen (motif invoqué)! De plus, si le conseiller général, aujourd'hui, est un élu de proximité, le conseiller régional est un élu du territoire régional, ce qui permet un regard plus large et de mieux appréhender la réalité régionale, face à un Préfet de Région omnipotent; donc 2 visions différentes, dont la seconde va disparaître. Ce nouveau conseiller territorial aura ainsi une double casquette et l’on peut difficilement imaginer que sur un territoire 2 fois plus grand, ses compétences soient également doublées ! D’autant plus qu’il ne dispose d’aucun secrétariat ! Tout cela est assez irréel…
- réduction du montant des indemnités versées aux CT. Aujourd’hui, en NPDC, les simples conseillers perçoivent environ 2200 euros nets par mois, pour une activité correspondant à un temps partiel: ils ont donc conservé une activité professionnelle à côté, qui résout le problème de la couverture sociale (l’assiette de cotisations est élargie aux indemnités). Il faut rappeler que le montant total des indemnités s’élève à moins de 1% des budgets des collectivités.
La réforme prévoit, puisque l’activité des CT sera accrue et correspondra à un temps plein, une augmentation des indemnités de 30%. Mais je ne suis pas sûr que d’une part, il y aura beaucoup de vocations citoyennes pour une fonction qui requiert une présence, non seulement à plein temps dans la journée, mais également le soir (réunions) et les week-ends (représentations toute la journée du samedi, et une grande partie du dimanche), pour une indemnisation de moins de 3000 euros. D’autre part, fonction à plein temps signifie une adhésion volontaire à la Sécurité S,ociale qui coûte entre 600 et 800 euros par mois !. Non seulement cette soit-disante réduction du nombre de conseillers sera insignifiante, mais elle risque de poser un problème de vocation à la fonction !
Mais, bien entendu, cette proposition est entièrement démagogique et permet de mieux faire passer le reste de la réforme, autrement dangereuse…
2- le mode d’élection des CT
Aujourd’hui dans tous les scrutins, au 1er tour, la droite fait le plein des voix (de Villiers et son MPF, et les chasseurs venant de rejoindre la majorité présidentielle), ne pouvant compter, au second tour, que sur les voix des électeurs du famélique FN. Généralement, la droite est donc en tête au 1er tour, puisque la gauche se présente en ordre dispersé, pour se rassembler éventuellement au second tour. Si l’on organisait donc des élections à un tour, la droite l’emporterait dans la majorité des cas. (bien sûr, la gauche pourrait se rassembler au 1er tour mais, outre que c’est difficile, cela nuirait à la diversité des opinions). Et bien figurez-vous que c’est le système qui est prévu (avec un zeste de proportionnelle pour sauver les apparences) : une élection à un tour! Sans vergogne, c’est la façon dont Sarkozy prévoit de récupérer électoralement la majorité des régions, départements et grandes villes, aujourd’hui à gauche ! C’est pire que d’avoir voulu imposer Jean fils à la tête de l’EPAD. Je n’hésite pas à dire qu’il s’agit là d’une tentative de putsch civil !
A suivre
Nous reviendrons en détail sur chacun des points au fur et à mesure des débats devant le Sénat et l’Assemblée Nationale. Mais sachez que cette réforme a un double objectif :
- recentraliser les pouvoirs aux mains de l’Etat
- éliminer les bastions locaux tenus par la gauche.
Qu’on en juge, la manœuvre étant tellement claire !
1- La création de conseillers territoriaux
Le projet est en ce moment en discussion parce qu’il faut absolument réaliser la réforme avant les élections régionales de mars pour qu’elle soit applicable en 2014 (les prochains conseillers régionaux verront ainsi leur mandat écourté de 2 ans).
L’objectif est de fondre les conseillers régionaux et généraux en un seul statut : les conseillers territoriaux, qui exerceront chacun les compétences des 2 assemblées.
Raisons invoquées : clarification aux yeux des citoyens et réduction du montant des indemnités. Voyons cela :
- clarification : si elle est nécessaire, cette soi-disante clarification sera pourtant gage d’inefficacité. Qu’on en juge : chaque conseiller territorial (CT) aura les 2 casquettes, celle du Conseil général (CG) et celle du Conseil régional (CR). Comme on divise leur nombre par 2, ils auront un territoire multiplié par 2 : on ne peut pas dire que l’on rapprochera l’élu du citoyen (motif invoqué)! De plus, si le conseiller général, aujourd'hui, est un élu de proximité, le conseiller régional est un élu du territoire régional, ce qui permet un regard plus large et de mieux appréhender la réalité régionale, face à un Préfet de Région omnipotent; donc 2 visions différentes, dont la seconde va disparaître. Ce nouveau conseiller territorial aura ainsi une double casquette et l’on peut difficilement imaginer que sur un territoire 2 fois plus grand, ses compétences soient également doublées ! D’autant plus qu’il ne dispose d’aucun secrétariat ! Tout cela est assez irréel…
- réduction du montant des indemnités versées aux CT. Aujourd’hui, en NPDC, les simples conseillers perçoivent environ 2200 euros nets par mois, pour une activité correspondant à un temps partiel: ils ont donc conservé une activité professionnelle à côté, qui résout le problème de la couverture sociale (l’assiette de cotisations est élargie aux indemnités). Il faut rappeler que le montant total des indemnités s’élève à moins de 1% des budgets des collectivités.
La réforme prévoit, puisque l’activité des CT sera accrue et correspondra à un temps plein, une augmentation des indemnités de 30%. Mais je ne suis pas sûr que d’une part, il y aura beaucoup de vocations citoyennes pour une fonction qui requiert une présence, non seulement à plein temps dans la journée, mais également le soir (réunions) et les week-ends (représentations toute la journée du samedi, et une grande partie du dimanche), pour une indemnisation de moins de 3000 euros. D’autre part, fonction à plein temps signifie une adhésion volontaire à la Sécurité S,ociale qui coûte entre 600 et 800 euros par mois !. Non seulement cette soit-disante réduction du nombre de conseillers sera insignifiante, mais elle risque de poser un problème de vocation à la fonction !
Mais, bien entendu, cette proposition est entièrement démagogique et permet de mieux faire passer le reste de la réforme, autrement dangereuse…
2- le mode d’élection des CT
Aujourd’hui dans tous les scrutins, au 1er tour, la droite fait le plein des voix (de Villiers et son MPF, et les chasseurs venant de rejoindre la majorité présidentielle), ne pouvant compter, au second tour, que sur les voix des électeurs du famélique FN. Généralement, la droite est donc en tête au 1er tour, puisque la gauche se présente en ordre dispersé, pour se rassembler éventuellement au second tour. Si l’on organisait donc des élections à un tour, la droite l’emporterait dans la majorité des cas. (bien sûr, la gauche pourrait se rassembler au 1er tour mais, outre que c’est difficile, cela nuirait à la diversité des opinions). Et bien figurez-vous que c’est le système qui est prévu (avec un zeste de proportionnelle pour sauver les apparences) : une élection à un tour! Sans vergogne, c’est la façon dont Sarkozy prévoit de récupérer électoralement la majorité des régions, départements et grandes villes, aujourd’hui à gauche ! C’est pire que d’avoir voulu imposer Jean fils à la tête de l’EPAD. Je n’hésite pas à dire qu’il s’agit là d’une tentative de putsch civil !
A suivre
Dans le fond, c'est vrai que cet avatar de nouveaux conseillers ne sert à rien! Cela va coûter aussi cher (voir votre démonstration), ce ne sera pas lisible, et ce sera surtout inefficace (les CT n'auront pas le temps de tout faire) et il risque de ne pas y avoir beaucoup de candidats pour 80 heures par semaine indemnisées moins de 3000 euros!
RépondreSupprimerS'il faut bien une réforme, il y a des pistes de bon sens:
RépondreSupprimer- il faut regrouper les communes et leur donner les compétences en matière sociale des actuels départements
- il faut supprimer les départements
- donner toutes les compétences des départements aux Régions. Ces dernières exerçant de plus la coordination des politiques sociales intercommunales
- augmenter le nombre de conseillers régionaux, et passer de 113 à 170 environ.
Sirius
Vous êtes sûrs qu'il faut changer?
RépondreSupprimerDans tous les cas, il devait y avoir une réforme. vous écrivez qu'un simple conseiller perçoit 2 200 euros net / mois pour l'équivalent d'un mi-temps. Ceci pouvant très souvent se cumuler avec une activité professionnelle, voire avec d'autres mandats. Quel privilège quand on voit la situation de nombreux salariés à temps plein.... En réalité, de très nombreux citoyens ne connaissent même pas le nom des conseillers régionaux. on ne sait rien de leur action, de leur investissement, de leur charge de travail. Quand on voit le nombre de sièges non occupés en séance plénière ... C'est édifiant. L'élection régionale se profile. Le citoyen aujourd'hui se sent peu concerné. Il suffit de mesurer d'élection en élection le taux de participation. On ne peut pas dire que l'échelon régional ou intercommunal ait amélioré la démocratie. Loin de là ... Le cumul, le carriérisme des élus confisque le pouvoir aux citoyens. Donc que l'Etat "recentralise" sournoisement n'est pas étonnant. En France, on naviguera sans cesse entre le centralisme et la décentralisation. Un jour il faudra trancher. En attendant, chacun défend son "pré carré".
RépondreSupprimerIl faudrait embaucher un Détective pour mettre la main sur le Webmaster de Hénin Plus.Pff ! quelques pressions et hop Porté Disparu !.Il faudrait demander à la LDH de prendre le dossier en main pour voir si la loi a été respectée.....Sinon on peut toujours demander au Juriste embauché à la ville qui de part sa formation et son expérience a une veille juridique permanente.
RépondreSupprimerVive la Liberté d'Expression sur Hénin Plus, oups pardon, Hénin Beaumont.
Olivier.
Il faut insister sur l'étranglement, la mort de la démocratie plurale:
RépondreSupprimer- un scrutin à un tour pour les conseillers territoriaux va engendrer soit la domination de la droite, si la gauche veut rester diversifiée, soit un bipartisme, étranger à la tradition française.
- un redécoupage des circonscriptions législatives en faveur de l'UMP. Il faudra, suivant des projections, presque 52% pour la gauche pour avoir la majorité à l'assemblée (50% suffisent à la droite).
- Certains (Raffarin) poussent Sarko à changer le système électoral des législatives pour là aussi en faire une élection à un tour! Ben voyons, faut pas se gêner...
- Tout cela mène à la fin de la parité, que peut assurer le scrutin de liste, comme aux régionales et municipales actuellement (seules institutions dans lesquelles les femmes sont à peu près à nombre égal). De même d'ailleurs pour la représentation des minorités...
Démocratie fortement dégradée (monarchie autocrate?), fiscalité favorisant les riches au détriment des autres (ploutocratie en gestation), népotisme, irresponsabilité absolue du Président(Clearstream),concentration des pouvoirs entre les mains du Président, au détriment du Parlement et du 1er Ministre...
On parle beaucoup d'élections en Tunisie, ce dimanche. Vous ne trouvez pas qu'il y a quelques ressemblances...mise à part l'économie florissante de l'ex-protectorat français...
je te trouve plutôt catégorique sirius.
RépondreSupprimerLes départements exercent de multiples compétences qui améliorent la vie des habitants : social, route, batiments et personnels non enseignants des collèges etc etc
quid par ailleurs du monde rural si le cg disparaissait?
l'intercommunalité a montré ses limites, il suffit de voir la Cahc pour le savoir. si tu leur transferes ces compétences, des communes seront beaucoup mieux servie que d'autres....
La région en ce qui la concerne n'a à ce jour aucun service territorialisé, c'est à dire proche de la poupulation.
nous serions alors gérés par des services installés sur lille....
t et m
Je suis d'accord avec Sirius, il faut supprimer les départements. Il suffit juste de transférer les compétences. Les conseillers généraux peuvent trembler, ils vont perdre leurs indemnités.
RépondreSupprimerj'epère mon bon 8h53
RépondreSupprimerque tu n'as pas d'enfants
que tes parents ne sont pas agées et ne benéficient pas de l'APA ou ne doivent pas aller en strucutures
que tu n'es pas handicapé ou que tu n'as pas de personnes handicapés parmi tes proches
que tu ne perçois pas le RSA
que tu n'empruntes pas la plupart des routes du département etc
que tu n'habite pas dans petite commune ou une commune rurale
il faudra pas venir pleurer ensuite....
Les premiers à pleurer seront les conseillers généraux et leurs courtisans.
RépondreSupprimerA t et m.
RépondreSupprimerC'est vrai qu'il faut tout repenser, et profiter des infrastructures et compétences mises en place par le CG.
Il s'agit de gérer un véritable pouvoir régional, avec des représentants élus et administratifs qui coordonnent.
C'est difficile à mettre en place, mais profitable pour tous et en premier lieu pour les citoyens.
C'est vrai qu'entre la France du XIX àme siècle et aujourd'hui, il s'est passé beaucoup de choses: décentralisation, urbanisation à outrance, pouvoirs économiques et culturelles dans les régions, mouvement associatif important, Europe (Eurorégion et Europe des Régions), développement durable...vivons avec notre temps.
Ne restons pas sur des schémas anciens!
Sirius
Quel débat passionnant!
Pour reparler de cette monarchie autocratique qui se met en place, un bon rempart, c'est Internet : voyez comment 100 000internautes se sont mobilisés contre l'avénement de Jean 1er.
RépondreSupprimerAlors évidemment comme la langue d'Esope, cela peut être la meilleure et la pire des choses.
Mais, quand même...
Voyez d'ailleurs, dans un autre registre, les discussions enrichissantes que nous avons (surtout sur ce blog!)
sirius
RépondreSupprimerles communes importantes n'ont rien à craindre de la disparition des cg, la métropolisation va probablement répondre à tes préoccupations
mais penses tu que les communes rurales dans cette dynamique ne soient les grandes perdantes?
le débat est en effet passionnant si on l'élève à des considérations autres que financières. l'économie engendrée par cette réforme est peanuts voire nulle :
-le salaire des conseiller généraux représentent 0,5 % des dépenses des CG
-les conseillers territoriaux seront mieux payés
- on sait déjà qu'il y aura un alignement à la hausse des prestations, services en cas de métropolisation
certains devraient plutôt s'intéresser au "paquet fiscal",aux cadeaux fiscaux au MEDEF, aux restaurateurs, pour y trouver de vraies sources d'économie
t et m
et bien pour répondre à ton argument sur les compétences du conseil général, celles ci seront redistribuées. Pour le rsa on s'adresse à la caf ou à la mairie (ccas). Du moins quand on est allocataire ! On ne va au guichet du conseil général. et les personnels non enseignants des collèges signent des contrats avec les principaux des collèges pas avec un représentant du département.
RépondreSupprimeret pour les routes; si c'est pour voir Urbaniak sur une photo pour marquer la pose des panneaux 70 km et 50 sur une départementale, c'est bon... Lui ou un autre (un conseiller territorial) franchement, il faut arrêter !
RépondreSupprimerla caf est l'organisme payeur, par ailleurs dis moi où tu t'adresses sur le territoire?.
RépondreSupprimeril n'y a pas de ccas dans toutes les mairie
pour les handicapés tu réinstalles la CDES ou les Cotorep? a l'époque les notifications arrivaient parfois après les décès des bénéficiaires
les compétences sociales des cg vont va bien au délà de tes connaissances : PMI (consultations prénatales et consultations d'nefants, indispensables sur notre territoire au vu du déficit de personnel médical...)
l'aide sociale à l'enfance, l'APA etc etc
pour les routes, va au delà de la voix du nord , regarde les mecs qui sont sur les routes, tu ne dois pas en faire partie....
Quel bouleversement ! Les types qui travaillent sur les routes vont changer d'employeur. Je vais les regarder d'un autre oeil maintenant les pauvres. Ou on va peut être trouver des gens qui vont nous dire qu'ils vont être virés ?
RépondreSupprimerEt quand il n'y a pas de ccass et q'on ne peut pas se déplacer les types de la caf font le déplacement ! Vendredi dernier, ils avaient rdv à Palluel par ex chez une personne qui ne pouvait pas se déplacer jusqu'à Arras (pas de moyen de transport et 3 enfants à charge). Et c'était pas des fonctionnaires du département.etc etc (pour reprendre ton argument) etc.
Au sujet des économies réalisées avec la suppression des conseillers généraux (le salaire des conseiller généraux représentent 0,5 % des dépenses des CG) , je ne paye pas mes courses avec des pourcentages mais des euros. ça fait combien 0,5 % des dépenses du Conseil Général ?
RépondreSupprimerla caf règle les problèmes de la caf a savoir les problème liés au prestation caf, c'est très limité au regard de la réalité médico social
RépondreSupprimerc'est un peu comme si je te disais que la seul épicerie de village fermait et que tu me répondais
"il n'y a pas de problèmes puisqu'il y a le boulanger qui passe"
et 0,5% de toutes les dépenses de tous les conseils généraux, ça fait combien ça en euros ?
RépondreSupprimerLe transfert des services ne veut pas dire qu'ils vont disparaître. Et encore une fois, on ne va jamais au conseil général (ni pour l'apa, ni pour le rsa...). L'usine à gaz peut donc fermer.
RépondreSupprimermon bon 18h45, manifestement tu ne connais rien au dossier. Comme je pressens un peu de mauvaise foi, je ne me fatiguerais pas
RépondreSupprimerva faire un tour sur le site du CG
n'oublie pas, google est ton ami
Mon bon 18H49, tu ne connais rien au terrain. Ta méconnaissance de la réalité est consternante. Comme je pressens un peu de suffisance, je te laisse à ton étude des dossiers et à ton surf.
RépondreSupprimer