Inondations, grèves, Orlando, le couple de policiers assassinés... Tout va mal et chaque jour nous réserve son lot de nouvelles peu réjouissantes. Manquerait plus que la France se fasse battre par l'Albanie !
On ne peut pas tout mettre sur le dos de François Hollande ! Certains penseront, quand même, que la loi travail, il y est pour quelque chose... D'autres lui trouveront bien une certaine responsabilité sur son absence de politique écologique : du style "macadamisation" des sols, "bétonnage" à outrance, "laissez-faire" sur les constructions en zone inondable... Bref, rien ne lui est épargné et le pire est pour les onze prochains mois. Enfin quoi, François ! L'armée française doit être déployée en Syrie et en Irak pour éradiquer les islamistes radicaux de Daech... Pas seulement quelques centaines de soldats, la mobilisation générale doit être décrétée et nous tous devrions aller faire triompher les valeurs occidentales dans ces contrées où la Charia règne. D'ailleurs, François, peut-être que si tu portais haut et fort ce discours, il n'y aurait pas eu d'Orlando. Indirectement, tu en es également responsable ! Plutôt que de raconter que l'homosexualité, cela se "choisit", il aurait mieux valu dire que chacun est libre de gérer sa vie sexuelle. C'est pourtant ainsi que tu la "manage", ta vie d'hétéro assuré... Ben pour les gays et lesbiennes, c'est pareil...
Alors, si ce soir, l'Albanie bat la France, disons même fait match nul et que nos chances de nous qualifier deviennent plus réduites, cela sera également de ta faute, François. Pas suffisant d'aller manger avec les Bleus, il y a quelques jours ! Tu aurais dû enfiler un survêtement et chausser les crampons et participer à l'entraînement ! C'est ce que de Gaulle aurait fait et probablement tes autres prédécesseurs (peut-être pas Chirac, ni Pompidou, mais ils auraient trouver un autre moyen de galvaniser les joueurs...). Éliminée ce soir, la France ? Tu prends 4 points de moins dans les sondages... Match nul : 2 points ! Et tu te fais dépasser par JL Mélenchon...
Bon, ceci rappelé, rien n'est perdu (je ne parle plus de foot, là...) ! Tu dois ANTICIPER les événements et même les prévenir... Par exemple, je vois bien un attentat, ces jours-ci, à l'occasion de l'Euro... Tu dois aller dans les stades et dans les fans-zones pour te faire voir et si attentat il y a et que tu t'en sors ou pas, tu auras payé de ta personne et on ne pourra rien te reprocher !
Compris, François ?
A force d'intervenir tous les 2 ou 3 jours, il est devenu totalement inaudible. Il n'est plus capable de rassurer les français pendant cette période troublée. Il ne sait dire que "nous ne céderons pas". Cette histoire de loi travail est surtout un combat de coqs entre les différentes tendances de la gauche. çà va pas s'améliorer dans les mois qui viennent mais il trouvera toujours un trou de souris pour tenter d'être au second tour alors que la tendance actuelle le situe plutôt à la 4ème place.
RépondreSupprimerSi la france gagne l'euro, il nous refera le coup de la france unie qui gagne.
Le pire pour lui serait que la france perde en finale contre l'angleterre après une victoire du Brexit.
Pire que Sarko, falait le faire quand même. Pire que Lepen, il est en pas loin. François dernier.
SupprimerJamais il n'exprime clairement : demander après 9 manifestations à la CGT d'assurer la sécurité alors que cela n'a pas été le cas avant , cela revient à interdire les manifestations sans le dire ni prononcer le nom de la cgt qui a voté pour lui en 2012.
SupprimerC'est pareil avec L'EI :il dit que nous sommes en guerre sans nommer le terrorisme islamique pour ne pas perdre le vote de ceux qui votent pour lui.
Nous ne sommes pas en guerre! Et vas-y que ça s'indigne pour des vitres cassées. Les agriculteurs et les bonnets rouges ont fait bien pire que ça, sans parler des néonazis russes... mais là, chut...
SupprimerUnanime, la classe politique s'est émue des dégradations commises mardi sur la façade de l'hôpital des enfants malades. Au risque d'en exagérer la nature.
L'hôpital Necker a-t-il vraiment été «dévasté» par les «casseurs» ?
Un hôpital «dévasté» : les mots sont de Manuel Valls, invité ce mercredi matin sur France Inter. Au lendemain d’une manifestation parisienne sous haute tension contre le projet de loi travail, le Premier ministre a dénoncé avec force l’action des «casseurs» au cours du défilé, et notamment les incidents qui se sont déroulés aux abords de l’hôpital Necker pour les enfants malades, dans le XVe arrondissement de la capitale.
Dans la classe politique, la condamnation a été unanime. Côté gouvernement, Marisol Touraine, la ministre des Affaires sociales, a parlé d’une «attaque insupportable», assurant, sur France Info, que «personne ne pouvait ignorer que c’était un hôpital auquel on s’en prenait et qu’on attaquait». Et d’ajouter : «Il y a des enfants qui entraient dans les blocs opératoires et certains n’étaient pas encore endormis, ce sont des choses qui sont choquantes.»
Son homologue de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, est allé plus loin, en s’en prenant aux «hordes de manifestants violents» et aux «sauvageons» qui ont brisé les «vitres de l’hôpital Necker» alors «qu’il y a l’enfant des policiers [assassinés lundi à Magnanville, ndlr] qui s’y trouve». Nicolas Sarkozy, sur Twitter, s’est fendu de ce message : «#Necker : je demande que soit engagée la responsabilité civile et financière de la CGT.»
Mercredi matin, Manuel Valls s’est rendu sur place avec Marisol Touraine pour apporter son soutien aux équipes médicales de l’établissement. L’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP), de son côté, a déposé une plainte contre X pour «dégradation de biens publics et mise en danger de la vie d’autrui». Vingt-quatre heures après les faits, Libération fait le point sur un dossier devenu symbolique.
Que s’est-il passé ?
Il est près de 15h30 quand le cortège de tête, constitué notamment de plusieurs centaines de manifestants cagoulés et équipés pour harceler les forces de l’ordre, arrive à l’angle du boulevard du Montparnasse et de la rue de Sèvres, au niveau du métro Duroc. Les affrontements avec les CRS, qui n’ont pas cessé depuis le départ de la manifestation place d’Italie, reprennent de plus belle. Des militants radicaux, tout de noir vêtus, lancent des projectiles en direction de forces de l’ordre situées sur leur gauche, qui répliquent à coups de grenades lacrymogènes.
L’hôpital Necker, juste à côté du cordon des forces de l’ordre, n’est clairement pas la cible de la majorité des manifestants. S’il est tout à fait probable que des pierres ou des canettes de bière aient pu endommager sa façade, c’est surtout les coups de marteau portés par un ou deux manifestants qui ont causé la majorité des dégâts. On le voit sur cette vidéo tournée par un journaliste du Monde (à partir de 4’20"). A noter, par ailleurs, l’intervention d’un homme qui tente d’arrêter l’individu en lui disant : «Hé, c’est un hôpital de gosses.»
Les échauffourées au milieu du carrefour durent assez longtemps, peut-être une vingtaine de minutes. Sur cette vidéo, on voit même des «casseurs» détacher des plaques entières de bitume à coups de marteau, pour s’en servir ensuite de projectiles. Il faut l’intervention du canon à eau de la préfecture de police, qui scinde le cortège en deux, pour repousser la tête de manifestation plus en avant, vers le boulevard des Invalides.
Quels sont les dégâts ?
Les principaux dégâts concernent des bris de vitres, au niveau du rez-de-chaussée de l’établissement. Une quinzaine de parois, côté rue, ont ainsi été fracturées, sans par ailleurs céder. Mais «personne n’est entré dans l’hôpital, il n’y a pas de dégâts à l’intérieur», explique le professeur Noël Garabédian, présent sur place mardi. Il souligne en outre que les patients et les équipes médicales ont été «extrêmement choqués par cet épisode traumatisant».
SupprimerPeople walk on June 15, 2016 passed the Hopital Necker in Paris, damaged during a demonstration against labour reforms on June 14. / AFP PHOTO / Jacques DEMARTHONDevant l'hôpital Necker ce mercredi. (Photo Jacques Demarthon. AFP)
Aussi gratuits et stupides qu’ils puissent être, ces actes sont donc loin d’avoir laissé derrière eux un bâtiment «dévasté», comme l’a dit Manuel Valls. Ce qui fut en revanche le cas de nombreux commerces sur le parcours de la manifestation. Quant aux «enfants qui entraient dans les blocs opératoires et certains n’étaient pas encore endormis», comme le souligne Marisol Touraine, difficile de savoir s’ils ont entendu précisément les coups de marteau, au milieu d’une ambiance où se mêlaient cris des manifestants, jets de grenades lacrymogènes et surtout tirs de grenades assourdissantes, au volume sonore bien plus important.
Propagande UMPS 07H19.
SupprimerPropagande du facho de service à 10H41; iil se croit sur la page du pseudo maire eul 10H41. Qu'il aille chercher ses cacahuètes, sa tranche de cochon ngrillé , ses confettis et qu'il la ferme!
SupprimerDehors les nazis, raus, au bagne! Poutine les incite à casser, à agresser et terroriser. Qu'ils continuent à faire ça chez eux . Sinon...
RépondreSupprimer"L'ultranationaliste et président des supporters russes parmi les interpellés dans le bus à Mandelieu
Parmi les supporters russes interpellés ce mardi à Mandelieu, figure Alexandre Chpryguin, président de l'association des supporters russes. Un personnage au profil particulièrement inquiétant, ancien hooligan du Dynamo de Moscou.
Selon le Guardian, il est l'un des pionniers du mouvement néo nazi dans les stades. Un provocateur de premier ordre, qui n'a pas hésité à live tweeter son interpellation à Mandelieu, et a même posté une photo depuis son fourgon cellulaire qui l'emmenait à Marseille...
>> LIRE AUSSI. AUDIO. Hooligans russes interpellés à Mandelieu : "Ils voulaient en découdre avec les Anglais"
Alexandre Chpryguin est l'assistant le plus proche d'Igor Lebedev, député, porte-parole adjoint de la Douma et membre du comité exécutif de l'Union du football russe.
Lebedev qui s'est ostensiblement déclaré pro hooligans après les événements de Marseille, déclarant sur Twitter: "Les gars ont défendu l'honneur de la patrie, et n'ont pas laissé les Britanniques défier notre pays. Je ne vois rien de mal aux combats de supporters. Au contraire, bien joué les gars et tenez bon!"
Selon le journal suisse Neue Zürcher Zeitung qui cite l'association antiraciste Fare, les supporters russes ont pu voyager gratuitement en France dans des vols charters spécialement affrétés pour eux.
Les relations de Alexander Chpryguin au plus haut niveau de l'Etat russe ont joué. Chpryguin se fait régulièrement photographier aux côtés de Vladimir Poutine et entretient des relations de grande proximité avec avec le ministre des Sports russe.
Dans son live tweet, depuis Mandelieu, Chpryguin raconte quasiment minute par minute son interpellation. Depuis le moment où le car est encerclé par les forces de l'ordre devant l'hôtel Ibis.
Puis il envoie même des vidéos des gendarmes montant dans le bus
Alexander Chpryguin est l'auteur d'un salut nazi, en 2001, lors d'un concert du groupe de metal Korrozia Metalla.
Groupe qui a défrayé la chronique en Russie, certaines de ses chansons étant interdites par le Kremlin car jugées trop extrémistes."
Sinon... rien. Comme toujours avec les mous de gauche.
SupprimerA bas les fachos, à bas le FN! Dehors et vite!
SupprimerSignez
RépondreSupprimerPétition pour dissoudre l’Action Française et les autres groupuscules d’extrême droite
Aix Solidarité, ATTAC, UL CGT Aix, Ensemble ! , EELV, FSU 13, Mouvement des Jeunes Socialistes 13, LDH, Osez Le Féminisme 13 ! , Partit Occitan, PCF, PS, Resister, Union des Démocrates et des Écologistes, Syndicat de la magistrature PACA
Les populations d’Aix-en-Provence, Pays d’Aix, Marseille sont, depuis maintenant plusieurs mois, victimes d’agissements de factions d’extrême droite radicales et violentes. Stimulés par le poids électoral du FN ces groupuscules décomplexés n’hésitent plus à faire le coup de poing, ni à hurler des injures racistes, xénophobes, antisémites… sur nos places et dans nos rues. Un bref rappel de ces trop nombreuses exactions :
· En 2014, un commando fait irruption dans le local du PCF aixois. Dégradations, agression de militants. Une tentative d’incendie avait eu lieu quelques mois plus tôt
· Des fanatiques rompent, à plusieurs reprises, le Cercle de Silence aixois.
· En Décembre 2015, des activistes font irruption dans une conférence du PS, sur la montée de l'extrême droite à l’IEP d’Aix.
· Des extrémistes provoquent une bagarre lors des vœux du député Jean David Ciot, qui a demandé en Décembre 2015 la dissolution «d’Action Française ». Dégradation de l’entrée du théâtre, blessures et menaces de mort à l’adresse du député.
· A Marseille, les locaux de l’Action Française sont sources de nombreuses provocations, de multiples incidents et d’une gêne manifeste pour les habitants.
L’Action Française, ligue de triste mémoire, a, de tout temps, employé des méthodes de tension permanente. Leur but avoué est de supprimer les libertés républicaines au nom desquelles nous nous exprimons et qui sont le fondement de notre vivre ensemble. Face à leur violence haineuse nous opposons une voix humaniste, pacifiste et déterminée à combattre tous les totalitarismes.
Les formations démocratiques qui ont organisé la riposte citoyenne, en rassemblant un millier de personnes, le 19 Mars 2016 disent « NON AUX VIOLENCES DE L’EXTREME DROITE ». Elles s’adressent aujourd’hui à l’Etat pour demander :
· De dissoudre l’Action Française et de veiller à l’efficience de cette mesure dont nous serons tous garants.
· D’identifier les autres groupuscules identitaires qui harcèlent la vie démocratique aixoise et de leur appliquer la même mesure de dissolution.
Avec elles, exigez cette interdiction !