Marcel Gauchet : " Le
fondamentalisme islamique est le signe paradoxal de la sortie du religieux
"
Pour l'historien, la mondialisation
provoque une rupture avec l'organisation religieuse du monde, qui touche de
plein fouet l'islam
Historien de la démocratie, Marcel Gauchet explique
que l'origine de la violence des terroristes n'est pas -sociale ou économique,
mais bien religieuse
Comment penser les attaques du 13 novembre et ce déferlement de
haine ?
Cette violence terroriste nous est impensable parce
qu'elle n'entre pas dans nos grilles de lecture habituelles. Nous savons que
c'est au nom de l'islamisme que les tueurs agissent, mais notre idée de la
religion est tellement éloignée de pareille conduite que nous ne prenons pas
cette motivation au sérieux. Nous allons tout de suite chercher des causes
économiques et sociales. Or celles-ci jouent tout au plus un rôle de
déclencheur. C'est bien à un phénomène religieux que nous avons affaire. Tant
que nous ne regarderons pas ce fait en face, nous ne comprendrons pas ce qui
nous arrive. Il nous demande de reconsidérer complètement ce que nous mettons
sous le mot de religion et ce que représente le fondamentalisme religieux, en
l'occurrence le fondamentalisme islamique. Car, si le fondamentalisme touche
toutes les traditions religieuses, il y a une forte spécificité et une
virulence particulière du fondamentalisme islamique. Si le phénomène nous
échappe, à nous Européens d'aujourd'hui, c'est que nous sommes sortis de
cette religiosité fondamentale. Il nous faut en retrouver le sens.
Les réactivations fondamentalistes de l'islam sont-elles paradoxalement des
soubresauts d'une sortie planétaire de la religion ?
Oui, il est possible de résumer les choses de cette
façon. Il ne faut évidemment pas réduire la sortie de la religion à la
croyance ou à la " décroyance " personnelle des individus. C'est un
phénomène qui engage l'organisation la plus profonde des sociétés. La
religion a organisé la vie des sociétés, et l'originalité moderne est
d'échapper à cette organisation. Or, la sortie de cette organisation
religieuse du monde se diffuse planétairement. D'une certaine manière, on
pourrait dire que c'est le sens dernier de la mondialisation. La
mondialisation est une occidentalisation culturelle du globe sous l'aspect
scientifique, technique et économique, mais ces aspects sont en fait des
produits de la sortie occidentale de la religion. De sorte que leur diffusion
impose à l'ensemble des sociétés une rupture avec l'organisation religieuse
du monde. On ne voit pas immédiatement le lien entre le mode de pensée
économique et scientifique et la sortie de la religion, et pourtant il est
direct. Aussi ne faut-il pas s'étonner que la pénétration de cette modernité
soit vécue dans certains contextes comme une agression culturelle provoquant
une réactivation virulente d'un fonds religieux en train de se désagréger,
mais toujours suffisamment présent pour pouvoir être mobilisé. Mais
attention, fondamentalisme n'est pas ipso facto synonyme de terrorisme. Ce
sont deux choses qui peuvent fonctionner séparément.
Ne pourrait-on pas voir au contraire dans ce fondamentalisme musulman un
réarmement du religieux ?
C'est une hypothèse que l'on peut formuler. Elle me
semble démentie par les faits. Les sociétés européennes sont à la pointe,
pour des raisons historiques, de la sortie de la religion. Ce sont donc elles
qui devraient le plus souffrir de ce manque. Or les Européens peuvent être
tourmentés à titre personnel par des questions d'ordre spirituel et beaucoup
le sont, mais cette recherche ne prend absolument pas la forme d'un mouvement
politique. Bien au contraire. Le spirituel dans les sociétés européennes
relève typiquement de la part la plus intime des individus. Il les éloigne de
la visée d'une action sur la société. Alors que le vrai fondamentalisme est
un projet politique d'inspiration révolutionnaire. Le projet de remettre la
religion au pouvoir dans la vie des sociétés, dans le cadre de l'islam, est
aisément symbolisé par le retour de la charia, loi embrassant tous les
aspects de la vie collective. Le fondamentalisme est un projet radical de
société et c'est là toute la différence. C'est pourquoi certains comparent le
fondamentalisme à un totalitarisme, ce qui ne me paraît pas éclairant. La
religion est autre chose que les idéologies totalitaires qu'on a pu voir à
l'œuvre dans notre histoire.
Il ne faut " pas faire d'amalgame ", ne cesse-t-on de répéter.
Or ces actes -perpétrés au cri d'" Allahou akbar " - ont-ils tout
de même à voir avec l'islam et le moment historique qu'il traverse ?
Evidemment. Pas d'amalgame signifie qu'il ne faut
pas incriminer de façon indifférenciée l'islam et accuser tous les musulmans
de participer à ce phénomène. Mais, dans l'autre sens, on ne peut pas dire
que l'islam n'a rien à voir là-dedans. Je répète que le fondamentalisme n'est
pas propre à l'islam, il se manifeste dans toutes les traditions religieuses
du monde, sous des formes plus ou moins activistes. Toutefois, on est bien
obligé de constater que le fondamentalisme islamique est particulièrement
prégnant et vigoureux. Il faut donc s'interroger sur ce lien entre l'islam et
ses expressions fondamentalistes. C'est quelque chose que l'on ne peut pas
séparer de l'état des sociétés musulmanes et de leur situation particulière,
notamment dans la région moyen-orientale.
Pourquoi l'islamisme prend-il cette forme si radicale aujourd'hui ?
Le premier point dont il faut se souvenir pour
comprendre l'islamisme, c'est la proximité de l'islam avec nos propres
traditions religieuses, juive et chrétienne. Vu d'Orient, du bouddhisme et du
confucianisme, l'Occident est très exotique, il est très loin, ce sont deux
mondes différents. Vu de l'islam, il est religieusement proche, et la
proximité est plus dangereuse que la distance. Dans la proximité, il y a de
la rivalité et de la concurrence. Or le tronc monothéiste sur lequel se
greffe l'islam le met dans une position très particulière. Il est le dernier
venu des monothéismes et se pense comme la clôture de l'invention
monothéiste. Il réfléchit les religions qui l'ont précédé et prétend mettre
un terme à ce qu'a été le parcours de cette révélation. Cette proximité le
met dans une situation spontanément agonistique vis-à-vis des religions
d'Occident. Il existe un ressentiment dans la conscience musulmane par
rapport à une situation qui lui est incompréhensible. La religion la
meilleure est en même temps celle d'une population qui a été dominée par les
Occidentaux à travers le colonialisme et qui le reste économiquement. Cette
position ne colle pas avec la conscience religieuse que les musulmans ont de
leur propre place dans cette histoire sacrée. Il y a une conflictualité
spécifique de la relation entre l'islam et les religions occidentales.
Pourquoi ce fondamentalisme fascine-t-il tant une partie des jeunes des
cités européennes paupérisées ?
Le message fondamentaliste prend un autre sens une
fois recyclé dans la situation de nos jeunes de banlieues. Il entre en
résonance avec les difficultés de l'acculturation de cette jeunesse immigrée
à une culture individualiste en rupture totale avec ses repères, y compris
communautaires, qui viennent de sa tradition religieuse. Une culture
individualiste, qui à la fois fascine les plus ébranlés et leur fait horreur,
et je pense que c'est le cœur du processus mental qui fabrique le djihadiste
occidental. C'est un converti, qui s'approprie la religion de l'extérieur et
qui reste souvent très ignorant de la religion qu'il prétend s'approprier.
Son aspiration par ce premier geste de rupture est de devenir un individu au
sens occidental du mot, en commençant par ce geste fondateur qu'est la foi
personnelle. Dans une religion traditionnelle, la foi personnelle compte
moins que les rites observés et ce ritualisme est essentiel dans l'islam
coutumier. C'est avec ce cadre que brise l'adhésion intensément personnelle
du fondamentaliste. En même temps, cette adhésion très individuelle est un
moyen de se nier comme individu, puisque l'on va se mettre au service d'une
cause pour laquelle on donne sa vie. Cette contradiction exprime une
souffrance très particulière, liée à une situation sociale et historique très
spécifique. C'est dans cette zone que se détermine la trajectoire de ces
jeunes gens qui nous sont si incompréhensibles.
Dans ces quartiers si spécifiques des 10e et 11e arrondissements de Paris,
il y avait deux jeunesses qui se faisaient face…
Oui, un premier individualisme parfaitement
tranquille, sans questions et qui se vit dans une hyper socialisation, et un
second qui est vécu par une jeunesse très contradictoire, à la fois très au
fait de cette réalité et complètement déstabilisée par elle. Le choix des
cibles est très peu politique, mais très révélateur de ce qui constitue
l'enjeu existentiel de ces jeunes. Ils ont tiré sur ce qu'ils connaissent,
sur ce à quoi ils aspirent tout en le refusant radicalement. Ils se
détruisent de ne pas pouvoir assumer le désir qu'ils en ont.
C'est pour cette raison que vous écrivez que " le fondamentalisme est
en dépit de tout et malgré lui une voie d'entrée à reculons dans la modernité
" ?
Il ne constitue pas pour moi une menace capable de
remettre en question la manière d'être de nos sociétés. Bien sûr, il peut
tuer beaucoup de gens, faire des dégâts épouvantables et créer des situations
atroces, mais il ne représente pas une alternative en mesure de nous
submerger. Affrontons-le pour ce qu'il est, sans lui prêter une puissance
qu'il n'a pas.
Propos recueillis
par Nicolas Truong
© Le Monde
22/11/2015
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Le maquis se precise pour les " résistants " de ce blog Mdr 20 Minutes ce jour
RépondreSupprimer"EXCLUSIF - Le Front national est la première force électorale du 1er tour des régionales, selon un sondage exclusif Harris interactive pour «20 Minutes»...
La campagne pour les élections régionales reprend peu à peu après les attentats qui ont ensanglanté Paris le 13 novembre. Les attaques terroristes perpétrées par Daesh n'apparaissent pas, une semaine après les massacres, comme un élément primordial dans les intentions de votes des Français au 1er tour des élections des 6 et 13 décembre
Selon une enquête exclusive* de Harris Interactive pour 20 Minutes, moins d'un Français sur deux (43 %) affirmant voter au 1er tour estime que les attentats vont jouer sur leur choix. Et seul un sondé sur quatre estime que cela jouera « beaucoup » (26 %). « Il n'y a pas aujourd'hui, quand on interroge les Français, d'articulation immédiate entre cette situation de tensions et un comportement électoral », souligne Jean-Daniel Lévy, directeur du département « Politique et Opinion » d'Harris Interactive.
Une droite « en étau »
En effet, les enjeux locaux, les projets des candidats et les étiquettes pèsent aujourd'hui le plus dans le choix des Français. Et selon cette enquête, le Front national rassemble 27 % des intentions de vote. Il devance d'un cheveu le Parti socialiste-Parti radical de gauche (26 %), lui-même au coude-à-coude avec Les Républicains-UDI-MoDem (25 %). Arrivent ensuite les listes d'Europe-Ecologie-Les Verts (7 %) le Front de Gauche-Parti communiste (5 %) à égalité avec le parti souverainiste Debout la France."
Bientôt ce sera l'exil, puis la reconquête. Mais pour cela, faudrait déjà se regarder dans la glace, la gauche. Vous avez trahis le peuple.
SupprimerOn passe de 34 pour cent d'intentions de vote pour l'extrême droite à 27 pour cent. Cette baisse est importante mais pas suffisante. Elle n'aura jamais la région mais l'idéal serait qu'elle soit éliminée au premier.
RépondreSupprimerDémocrates, républicains, unissez vous pour l'éliminer dès le premier tour et c'est possible.
Pas de ça dans notre région!
La gauche sera éliminé dès le premier tour 14h04 rendez vous le 6 decembre au soir pour fêter la défaite des socialotes
SupprimerLes incantations de 14:04 ne suffiront pas à masquer la réalité. Comme son baratin, le PS c'est du vent et il va s'estomper le 06 décembre prochain.
Supprimerle pen n'aura jamais la région et tant mieux!
SupprimerPour vous rassurer 14h04 le point
Supprimer"La région Paca pourrait tomber entre les mains du Front national. C'est ce que révèle, dimanche, un sondage Ipsos/Sopra Steria. Le FN remporterait le scrutin avec 40 % des voix au premier tour et 41 % au second devant la liste Les Républicains-UDI-MoDem (30 % au 1er tour, 34 % au second) et la gauche (25 % au second tour), selon un sondage publié dimanche.
Dans ce sondage réalisé du 19 au 21 novembre, six jours après les attentats de Paris et Saint-Denis, la liste FN conduite par Marion Maréchal-Le Pen gagne trois points au second tour par rapport à une enquête précédente d'Ipsos, réalisée du 10 au 13 novembre, qui n'a pas été publiée et qui donnait 38 % au FN.
Le FN améliore le score d'un précédent sondage
La liste LR-UDI-MoDem de Christian Estrosi (LR) perd deux points au second tour (à 34 % contre 36 %) et la liste de gauche (PS-PRG-EELV-Front de gauche) conduite par Christophe Castaner perd un point (à 25 % contre 26 %). Le FN obtiendrait 40 % des voix dès le premier tour, soit trois points de mieux que lors du sondage précédent (37 %). La liste LR-UDI-MoDem obtiendrait 30 % des voix au premier tour, contre 32 % dans le sondage précédent. La liste PS-PRG réaliserait le même score, à 16 %, comme la liste EELV-FG, créditée de 8 % des voix. La deuxième liste d'extrême droite, conduite par Jacques Bompard, stagne à 0,5 %. 72 % des personnes interrogées indiquent que leur choix est définitif, tandis que 28 % estiment qu'il peut encore changer."
Au socialo-communiste, alias Madame Irma. "le pen n'aura jamais la région et tant mieux!" T'en sais rien du tout, rigolo. C'est pas parce que tu le dis que cela va être ainsi. Surtout quand on voit ton bilan, tes promesses, tes trahisons. Ta responsabilité, ton résultat.
SupprimerElle n'aura jamais la région. Va te palucher ailleurs!
SupprimerToi tu aimes jouer avec le feu, 18:05. Mais attention, ça brûle.
SupprimerOui et l'eau ça mouille. PDR, pauvre 21H16!
SupprimerEn 2012 on a accouché d'un président né sous X ,on l'a appelé Hollande François.
RépondreSupprimerHollande parce qu'il est destiné à brasser du vent comme les moulins néerlandais et François en espérant qu'il ne sera que le premier (bien qu'un François deux ait eu
un règne bref).
Les moulins utilisent le vent pour faire de la farine. En revanche certains ici brassent beaucoup de conneries
Supprimer+10, 17H. 14H06, no comment.... du vent!
Supprimer17h00, 06h03 (même personne). Votre socialisme est mort. Pour une simple raison qu'il n'est pas socialiste.
SupprimerVotre fn va mourir, on va s'en occuper. Pour la bonne raison qu'il est fasciste.
SupprimerAutant c'est pas mon fn, autant ta réponse montre bien que c'est ton ps.
SupprimerDont l'unique bilan est celui-ci : le fn aux commandes.
Honte à toi 18:04 et aux tiens qui ont favorisé et installé l'extrême droite dans ce pays.
Mais oui, mais oui. Arrête de te palucher toute la journée. Sors un peu!
SupprimerLa gauche panique au siège heninois
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerLa gauche ds la region ne sera pas présente au second. Tour Que va faire tonton noël
RépondreSupprimerIl va proposer ses services au plus offrant. Comme toujours.
SupprimerCela s appelle faire la. P
SupprimerLa poute à Poutine? Comme elle? Vous croyez vraiment?
SupprimerPour JL Melenchon sur fr3 aujourd'hui, il n y aura pas d appel au front republicain pour les régionales. Il maintiendra ses listes aux deuxième tour et prendra acte des resultats. C est pas gagné 14h04. Ne vous rejouissez pas trop vite, 27 % sur l ensemble national , ça fait bien plus de 34% dans la region et ne vous en déplaise 55 à 60 dans notre ville.
RépondreSupprimerFaudrait-il encore qu'il fasse plus de 10%. Même associé à EELV, il y a peu d'endroits où cela sera possible
SupprimerMélenchon.... Se maintenir au second tour mdr.
SupprimerMet le son ,à part ça !
SupprimerOh non il gueule assez comme ça
SupprimerIl est aussi insupportable que lepen a ce niveau la
RépondreSupprimerLa présidente du Front national relance sa campagne ce lundi à Amiens. Les sondages, réalisés avant les attentats, donnent le FN vainqueur en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.
« Marine présidente ! » L’accueil réservé à Marine Le Pen, en meeting ce soir à Amiens, par les militants du Front national, s’annonce chaleureux. Après le temps du deuil national, le parti frontiste a choisi Amiens pour reprendre la campagne des élections régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Les sondages, réalisés avant les attentats, donnent le FN vainqueur. Au premier tour, Marine Le Pen recueillerait plus de 35 % des voix, 9 points de plus que l’ancien ministre du Travail Xavier Bertrand, tête de liste pour Les Républicains. Le candidat socialiste, Pierre de Saintignon, ne parviendrait pas à franchir la barre des 20 %. Marine Le Pen juge ces intentions de vote « encourageantes ». Elle y voit un signe du « maintien de la confiance » des électeurs après les scores historiques enregistrés par le parti frontiste lors des dernières élections départementales et municipales. En mars 2014, le FN était parvenu à emporter la mairie de Hénin-Beaumont, dans le Pas-de-Calais, et celle de Villers-Cotterêts, dans l’Aisne.
Droite et gauche désarmées
Pour l’heure, rien ne semble pouvoir enrayer cette progression. « La dynamique est du côté de Le Pen. Sur le terrain, la sauce ne prend pas », confie discrètement un candidat de la liste Notre région au travail conduite par Xavier Bertrand. Même sentiment à gauche, où la campagne conduite par Pierre de Saintignon ne parvient pas non plus à décoller. « Notre ennemi, c’est l’abstention ! Il est pour moi inimaginable que Marine Le Pen gagne avec seulement 15 % des voix de l’électorat global », enrage quant à lui Claude Gewerc, le président actuel du Conseil régional de Picardie. Dans les deux régions qui fusionnent, les initiatives se multiplient pourtant pour tenter d’empêcher une victoire du FN. Reprenant le slogan polémique des supporters parisiens, un collectif baptisé « Alcooliques, chômeurs, consanguins… mais pas lepénistes » a, ainsi en quelques semaines, recueilli plus de 16.000 membres sur Facebook.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/elections/regionales/regionales-2015/021499966529-regionales-marine-le-pen-repart-de-lavant-1177365.php?ku49kCZ5srQHlrHM.99
Melenchon n'a jamais dit qu'il maintiendrait ses listes.Il a répondu a une question sur la fusion au second tour et dit qu'il n'est pas question que le FDG fusionne avec la droite.Comme quoi certains entendent ce qu'ils veulent bien entendre.
RépondreSupprimerRassurez vs le fdg va s allier pour avoir. Des postes
SupprimerNe soyez pas rassuré, la le pen n'en a rien à cirer de la région...
SupprimerLe FDG, se Fout De ta Gueule.
SupprimerLe FN se fout des niais!
Supprimer(L’immense majorité des Français approuve les mesures contre le terrorisme décidées par le gouvernement après les attentats de Paris, selon un sondage IFOP à paraître dans Dimanche Ouest France, dimanche 22 novembre.
RépondreSupprimerLa prolongation de trois mois de l’état d’urgence est notamment approuvée par 91 % des personnes interrogées, le rétablissement des contrôles aux frontières par 94 %, et la déchéance de la nationalité pour les citoyens français en cas d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ou d’acte terroriste « atteint 95 % d’avis favorable ».
« Alors que, traditionnellement, toutes les annonces faites par François Hollande bénéficient d’abord du soutien des sympathisants socialistes et sont largement décriées à droite et au Front national, c’est à droite de l’échiquier politique que ces mesures sécuritaires sont le plus massivement plébiscitées », relève l’IFOP, notant cependant qu’au regard des chiffres obtenus François Hollande est également « largement » soutenu par les électeurs socialistes.
Le sondage a été réalisé en ligne, du 18 au 20 novembre, auprès d’un échantillon de 1 018 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus selon la méthode des quotas.)
Voila un début de réponse à ceux qui vont se prendre la tête dans les mains le 13 décembre et se demander: Mais pourquoi ?
Avec les évènements de ces derniers jours, nous en avons oublié l'anniversaire de l'ex député maire "socialiste" de Courrières, si prompt il n'y a pas si longtemps à vanter les mérites de l'extrême-droite et de son leader FN d'Hénin-Beaumont... Eh oui, il est né le 11 novembre 1943 à Vichy . Tout n'est que symbole et il n'y a que la Fédération du PS62 pour ne pas s'en être aperçue. Son travail quelques décennies durant a payé...
RépondreSupprimerA 23h43 je ne suis pas un fan de FACON mais je ne vois pas en quoi, le fait de naître à Vichy, y compris en 1943 puisse être considéré comme une quelconque forme d’allégeance à l’extrême droite. C'est vraiment n'importe quoi. Pour ce qui est de vanter les mérites de Briois, il serait peut-être intéressant de replacer ce que Facon a dite dans son contexte.
RépondreSupprimerJ'ai parlé de Symbole et ce coté anecdotique serait resté inconnu si l'intéressé n'avait joué au petit nazillon durant sa carrière politique non seulement peu exemplaire mais sûrement peu recommandable. Rappelons simplement que la caractéristique du nazi se différencie de celle du fasciste avec ce "petit" plus raciste que chacun a pu facilement déceler en son temps, a moins qu'il n'ait été sourd et aveugle.
SupprimerIl est peut être né à Vichy mais il ne soutient pas pétain et les nazis, comme certains à l'extrême droite mon pauvre 18H16, il ne valse pâs pas avec des waffen SS... SOMBRE ABRUTI ce 18H16...
RépondreSupprimerApprenez à lire 19h38. C'est exactement ce que je disais.
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