- fournir des informations nouvelles sur ces 10 dernières années de descente aux enfers;
- rappeler que sous GD un régime "maffieux" s'est mis en place et que les fanfaronnades de l'ex- maire, aujourd'hui sorti de 7 mois de détention provisoire (!) sont surréalistes;
- précise bien la situation de GD: certes il est présumé innocent tant qu'il n'est pas jugé, mais cela ne signifie pas qu'il ne soit pas coupable, comme on essaye de nous le faire croire!
- évoque, bien que ce ne soit pas tout à fait le sujet, la carence (inaction aggravée par une absence totale et désespérante de communication) et la connivence stupéfiante avec le FN...
J'ai sélectionné 2 commentaires, le 1er de moi-même sur la difficulté du journalisme (local et régional) à travers des exemples que j'ai vécus, le second de Cimares sur la difficulté pour un DGS honnête de faire son travail dans la région.
Il y a plusieurs années l'édition d'HB ne lésinait pas sur les errements de Dalongeville et les visées du FN. Des interventions auprès de la Direction du journal ont rappelé à cette dernière que la plupart des annonces légales provenaient du Conseil Régional...Le changement fut immédiat...La liberté d'opinion (et de la presse) succombaient face aux pressions économiques.
C'est pour cela qu'il convient de se réjouir des articles remarquables de P.Wallart. Il a donc utilisé ce qu'il savait déjà depuis longtemps, en plus des informations recueillies dans les milieux judiciaires et autres.
J'ai connu la même histoire, concernant un journaliste à l'agence de Béthune, qui connaissait parfaitement le dossier Mellick et qui fut déplacé par sa direction, pour avoir utilisé au maximum sa liberté de ton....
Je vous suggère de manifester auprès de la Direction lilloise de la VDN votre satisfaction sur la qualité de ces articles, afin que le journaliste de l'agence d'HB ne soit pas brimé, ni tous ceux qui l'ont conforté, car il s'agissait quand même de 2 pages "Régionales", et la hiérarchie a manifestement donné son accord.
Il ne s'agit donc pas de rétention d'informations, mais bien d'un acte de courage de la part d'une rédaction, qu'elle soit lilloise ou héninoise, qui mérite tout notre appui...
C'est pour cela qu'il convient de se réjouir des articles remarquables de P.Wallart. Il a donc utilisé ce qu'il savait déjà depuis longtemps, en plus des informations recueillies dans les milieux judiciaires et autres.
J'ai connu la même histoire, concernant un journaliste à l'agence de Béthune, qui connaissait parfaitement le dossier Mellick et qui fut déplacé par sa direction, pour avoir utilisé au maximum sa liberté de ton....
Je vous suggère de manifester auprès de la Direction lilloise de la VDN votre satisfaction sur la qualité de ces articles, afin que le journaliste de l'agence d'HB ne soit pas brimé, ni tous ceux qui l'ont conforté, car il s'agissait quand même de 2 pages "Régionales", et la hiérarchie a manifestement donné son accord.
Il ne s'agit donc pas de rétention d'informations, mais bien d'un acte de courage de la part d'une rédaction, qu'elle soit lilloise ou héninoise, qui mérite tout notre appui...
cimares
Quels excellents articles, à mettre au crédit de M. Wallart.
Le contenu m'amène à constater une fois de plus que les "métiers" de l'administration municipale n'ont pas été à la hauteur des enjeux.
Je ne cesserai de clamer l'obligation de disposer de professionnels à tous les échelons d'une administration territoriale. Le pivot que représente le DGS est important car c'est lui qui assure l'interface avec le pouvoir politique. Ce qui signifie qu'il doit disposer de l'autorité administrative indispensable et avoir la possibilité de rappeler au politique les règles élémentaires du droit, des marchés publics, et financières sans se trouver menacé parce qu'il ne serait pas en phase avec son élu...
Mais est-ce possible sous les cieux du Pas de Calais où la confusion des genres est permanente?
le DGS, rappelant des règles élémentaires, est aussitôt placardisé et se trouve être mis sous la tutelle du directeur de cabinet. Il ne lui reste plus qu'à chercher sous d'autres cieux un emploi correspondant à ses missions.
Et comme le réseau politique est puissant et unitaire, il ne dispose d'aucune chance de retrouver un emploi sur le territoire régional qui n'a aucun contre pouvoir, même pas celui qu'on pourrait attendre des organisations représentatives des personnels.
Le contenu m'amène à constater une fois de plus que les "métiers" de l'administration municipale n'ont pas été à la hauteur des enjeux.
Je ne cesserai de clamer l'obligation de disposer de professionnels à tous les échelons d'une administration territoriale. Le pivot que représente le DGS est important car c'est lui qui assure l'interface avec le pouvoir politique. Ce qui signifie qu'il doit disposer de l'autorité administrative indispensable et avoir la possibilité de rappeler au politique les règles élémentaires du droit, des marchés publics, et financières sans se trouver menacé parce qu'il ne serait pas en phase avec son élu...
Mais est-ce possible sous les cieux du Pas de Calais où la confusion des genres est permanente?
le DGS, rappelant des règles élémentaires, est aussitôt placardisé et se trouve être mis sous la tutelle du directeur de cabinet. Il ne lui reste plus qu'à chercher sous d'autres cieux un emploi correspondant à ses missions.
Et comme le réseau politique est puissant et unitaire, il ne dispose d'aucune chance de retrouver un emploi sur le territoire régional qui n'a aucun contre pouvoir, même pas celui qu'on pourrait attendre des organisations représentatives des personnels.
A la ville d'Hénin non seulement le DGS a mis le maire sous tutelle mais également une partie des élus.
RépondreSupprimerles conneries du jour ,tirées du livre “ le dictionnaire de Laurent Baffie “,ne pas confondre avec les binaissades quotidiennes.
RépondreSupprimerA CAPELLA :formule musicale qui permet d'économiser un orchestre.
ACCOUCHEMENT : frisée aux lardons.
LE JEU EST DE SÉLECTIONNER LES MOTS CORRESPONDANTS AUX PS6259, LE GAGNANT SERA NOMME DGS DANS LA 6EME VILLE DU PAS DE CALAIS: gueux (nominal)
RépondreSupprimeraffligé, bélître, besogneux, chemineau, claque-faim, claque-pain, clochard, clodo, cloporte, coquin, crève-la-faim, disetteux, fripon, galvaudeux, gueusaille, gueusard, indigent, jacques, malandrin, malheureux, mendiant, mendigot, meurt-de-faim, misérable, miséreux, miteux, nécessiteux, paria, pauvre, pouilleux, sabouleux, sans-le-sou, traîne-misère, trimardeur, truand, vagabond, va-nu-pieds. RÉSULTATS EN 2014 signé rAPTORSKI.
Manuel vals fait un boulot remarquable en plaçant le pays sous haute surveillance pour cette nuit de réveillon.
RépondreSupprimerHéninoises , Héninois , soyez rassuré notre Manuel Vals local et aussi adjoint à la sécurité sera également sur le pont durant toute la nuit pour veiller a votre tranquillité
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerEn démocratie, le contre pouvoir est (en principe) le Journalisme. Que ce soit au niveau des États, ou, plus humblement, à celui d'une agglomération, d'une commune.
RépondreSupprimerOr, force est de constater que ce contre pouvoir a été totalement défaillant ici.
Nous sommes à des années lumières du Journalisme et de ses lettres de noblesse, à la "Watergate" ; celui des enquêtes menées sur des événements en cours, sur les personnes concernées, celui qui met en lumière toutes les dérives (sans exceptions), questionnant ceux qui préfèrent (tu m'étonnes) la langue de bois et le silence...
Connivence ?
Les élus du peuple ont des responsabilités vis-à-vis de chacun. Un devoir de transparence, celui de répondre aux questions de la population sur tel ou tel sujet. Ils ne le font pas. Jouant sur la culture de la soumission bien présente sur le secteur.
Pourquoi ?
Car ils savent très bien qu'en face, il y a des "envoyés spéciaux" qui se mettent EUX-MÊMES le baillon. Pour nous ressortir, tiens tiens, des mois, voire des années après les faits, LE scoop sur l'affaire. Trop facile.
L'information se fait après coup. Mais il y a des limites.
Honte à vous !
Tom Jericho.
à tom jericho de 11h48 :
RépondreSupprimerpp/cc sortez de ce tom
Vous plaisantez, j'espère ?
RépondreSupprimerTom Jericho.
en parlant du pouvoir de la presse et de la justice.ou en est-on du procés PASQUA et SANTINI.plus de 20 ans après, pour le premier nommé,sans oublier celui du juge bichoff (demarquilly,dalongeville,bouche,mollet,etc ).on attend que l'ancien représentant ricard creve ,ce fumier de droite ,car les dossiers qu'il détient sont des vrais bombes atomiques pour des élus de droite et de gauche ,actuellement encore au pouvoir.dossiers collectés lorsqu'il était ministre de l'intérieur. .pourriture quand tu nous tiens ,ou solidarité énarchique....
RépondreSupprimerpost scriptum : que deviens le dépot de plainte de l'agression nocturne de notre faux enfant du pays.lesquin n'est pas hénin,min tiot kinkin.et les mineurs de lesquin étote moins nombreux que ceux de liévin .hein kouche.ti téna ein rut couche,gran krapul ed'soialist.
12H54/ Pasqua n'est pas énarque.
RépondreSupprimerIl vaut mieux qu'il ne meurt pas vu les dossiers qu'il connait!
Le dossier Pichoff est entre les mains du juge d'instruction qui travaille également sur le dossier Karachi et accorde une plus grande importance à ce dernier...