2- LES OBJECTIFS
Ils ont, tout simplement, comme finalité, le bonheur de l'Homme et de l'Humanité, en général.
A : au niveau social
La réduction des inégalités sociales. La fiscalité permet la redistribution des revenus Cela suppose des seuils et plafonds fixant des revenus minimums et des ressources maximums. tout en tenant compte du cadre contraignant de l'économie et des règles internationales.
Une activité pour tous, des conditions de vie décentes, des possibilités de formation, des soins de qualité accessibles à tous...tout le monde est d'accord là-dessus, mais encore faut-il y mettre les moyens. Et c'est à cette aune que sera jugé un parti politique arrivant au pouvoir: cela est valable à tous les niveaux de compétence territoriale. A titre d'exemple, cela signifie au niveau local, moins maitre de ses ressources fiscales: actions sur l'habitat insalubre, mixité sociale, rôle du CCAS, lien social à travers les associations, ceci en direct; mais le maire a d'autres pouvoirs indirects en faisant intervenir les autres collectivités ou l'État dans des projets à finalité sociale
- la justice sociale : par la régulation des effets du libéralisme économique et l’accès à l’égalité des chances. C'est cette contradiction qu'il faut surmonter: on sait combien les excès du libéralisme entraînent des conséquences négatives et notamment au niveau de l'emploi: chômage et précarité. Vouloir le bonheur de l'homme, c'est lui donner les moyens de vivre décemment, mais c'est aussi la possibilité pour chacun de trouver sa place dans la société, quelle que soit son origine. Cela passe, bien entendu, par la formation, mais aussi par tout ce qui peut favoriser l'épanouissement: des conditions favorables lors de l'entrée dans la vie, la possibilité d'avoir accès à l'art, aux sports, mais aussi de compenser, tout au long de la vie, des handicaps dus aux vicissitudes de la vie.
B : au niveau écologique
- la prise en compte de la finitude des ressources non renouvelables. Nous n'échapperons pas au réexamen de la façon dont nous vivons. Réduire la gabegie due à nos modes de vie, revoir nos priorités, investir dans l'avenir doit être entrepris le plus tôt possible, pour que cela soit moins douloureux, dans le futur. 2 obstacles à lever pour que cela soit possible: il ne faut rien cacher aux habitants et donc communiquer, d'une part, et, d'autre part, favoriser une action au niveau planétaire, même si une grande partie de notre avenir se construit localement. Plutôt qu'une contrainte, cette démarche de progrès doit être vécue comme un choix de vie différent, contributeur au bonheur de l'ensemble des hommes;
- le devoir de préserver la biodiversité. 150 ans après avoir commencé à malmener la nature, l'Homme se rend compte que celle-ci lui rend une multitude de services qui commencent à être quantifiés. Arrêter la dégradation de la biodiversité est le premier pas avant de pouvoir parler de préservation: encore une fois, même si nous devons nous mobiliser pour l'Amazonie, il importe que l'homme se préoccupe, localement, de conserver, voire créer, les conditions pour que faune et flore puissent se développer. Nous devons pouvoir manger sainement, respirer un air pur et sauver notre eau pour vivre dans des conditions optimums.
C : la lutte contre les idées extrémistes
C'est en effet un objectif que de vivre en harmonie avec les hommes quelles que soient leurs origines ou leurs croyances. Tout ce qui vise à dynamiter cette harmonie est dangereux: les slogans racistes et xénophobes quels que soit leur habillage, les fausses bonnes idées, le refus des valeurs précédentes (par le silence sur elles, leur négation ou leur définition faussant leur sens) ne sont que l'expression d'une volonté de créer une société inégalitaire et violente vivant en marge du reste de l'humanité. Ce n'est pas notre définition du bonheur universel.
C'est en effet un objectif que de vivre en harmonie avec les hommes quelles que soient leurs origines ou leurs croyances. Tout ce qui vise à dynamiter cette harmonie est dangereux: les slogans racistes et xénophobes quels que soit leur habillage, les fausses bonnes idées, le refus des valeurs précédentes (par le silence sur elles, leur négation ou leur définition faussant leur sens) ne sont que l'expression d'une volonté de créer une société inégalitaire et violente vivant en marge du reste de l'humanité. Ce n'est pas notre définition du bonheur universel.
Nous devons combattre ces illusions par l'éducation, l'information et la démonstration de leurs effets désastreux.
Pourquoi Mr le député Kemel ne reçoit-il pas en mairie? Le mag de la mairie page 30,la permanence des élus, tous les noms d'élus y figurent,même les conseillers généraux (Picque et Urbaniak)sauf le sien.La consultation se fait dans quel endroit?Il est quand même député de la 11ème.
RépondreSupprimercomme tous les politiques une fois qu'ils sont élus le reste ne compte plus mr Kémel ne va pas faire autrement.
RépondreSupprimerTous pareils, "je me sers" point barre. On le voit tous les jours!
RépondreSupprimergerme pressenti pour secretaire ps
RépondreSupprimerà 10h08
RépondreSupprimermoi ch'ui la calasse et mon copin s' est les biteul's
coluche
Le jour où Pilippe 1er le Beau s'intéressera à autre chose qu'à son slip royale, faites-nous signe.
RépondreSupprimerNous sommes des centaines de gueux à vouloir assister à ça.
Ahhhh, l'utopie...
Tom Jericho.
Germe pressenti ? ouf,on est sauvé !
RépondreSupprimer15h39
RépondreSupprimerC'est vous qui le dit
A 18:14
RépondreSupprimerLoupé...
Bescherelles en promo à Aldi.