Tout paraît donc simple (!) : on élimine un par un, en 5 ans, tout le personnel politique "de gauche" en place, on présente un candidat consensuel à l'élection présidentielle (que l'on sait qu'on ne gagnera pas...) et, le plus important, on bâtit le projet pour remplacer la droite (Juppé...) en 2022 et éliminer progressivement le FN. Nous avons donc 5 ans pour encaisser les premiers succès et entre 5 et 10 ans pour bâtir une France fraternelle ! Utopie, me direz-vous ? Peut-être, surtout si on ne fait rien et que l'on regarde les trains passer...
Schématiquement, voici les grandes lignes de ce plan, à mettre en place... demain ! 2 étapes : la première concerne 2016/2017, la suivante 2017/2022.
Première étape (2016/2017) :
- tous ceux qui auront signé un engagement à démissionner de leurs mandats à leur échéance pourront participer à la campagne du candidat consensuel désigné. Des comités locaux coordonnés au national (parlementaires), en lien avec le candidat piloteront l'organisation et le programme. Le projet porté par le candidat (qui n'a pas vocation à devenir le leader pour la suite) servira de base pour les échéances électorales suivantes (et notamment pour les législatives qui auront lieu dès juin 2017). Bien sûr les comités locaux auront la charge de constituer un vivier de nouveaux militants pour les élections postérieures (notamment les municipales de 2022).
- concernant le candidat "consensuel", je pense que si N. Hulot est sollicité, il ne pourra refuser pour la double raison suivante : le projet de rénovation lui plaira, d'une part, et d'autre part, il saura qu'il n'a aucune chance d'être élu, mais que, par contre, c'est un processus qui démarre "ex nihilo". On peut imaginer que les présidents de groupes dits de gauche des 2 assemblées parlementaires fassent la démarche. Je n'ergoterai pas sur la question de savoir qui pousse ces parlementaires... Je l'ai déjà dit, il y va de leur responsabilité...
A suivre (pour le dernier épisode !)
Les médias font l'impasse totale sur la législative partielle qui s'est déroulée dimanche dans la 5 eme circonscription des Alpes Maritimes suite à la démission de Estrosi. Ont-ils eu les consignes de Matignon ? a croire vus les résultats:
RépondreSupprimerLR 47,44% (44,23 en 2012) FN 30,75% (21,42) le PS 6,49% (25,18 en 2012) le parti de gouvernement et même dépassé par le PCF 7,51% (3,94 en 2012).Le 1er parti évidemment c'est l'abstention massive.
Faux ! Il suffit de regarder sur Google et demain tous les médias en parleront...
SupprimerPar contre, vous, vous n'auriez pas fait l'impasse sur la victoire du candidat PS à Strasbourg ?
Dehors la gauche
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