Beaucoup d'Héninois connaissent la situation des fonctionnaires territoriaux à la mairie. Ces derniers se confient le plus souvent à leurs proches qui ne sont pas toujours avares de confidences... Avant l'élection de 2014 qui vit le FN arriver en mairie, le personnel, comme beaucoup d'habitants, en voulaient au Maire pour son attitude hautaine. Briois, tout souriant, serrant les mains et claquant la bise avait fait penser que tout allait changer. Depuis 3 ans, les masques sont tombés et les langues se délient, difficilement, il est vrai. Suffisamment quand même pour que l'on sente une véritable pétaudière s'enclencher. Quelques appels extérieurs à la grève ont même fleurit, mais en vain.
Contrairement à ce que raconte l'adjoint Bilde, dans l'article ci-dessous, les conséquences électorales commencent à se faire jour : M. Le Pen n'a réalisé que 46,5% au premier tour de la présidentielle, alors que Briois avait réalisé plus de 50% lors des municipales, 3 ans auparavant. Certes, en nombre de voix, c'est différent, mais tout simplement parce que la participation électorale est beaucoup plus importante lors de l'élection majeure. On en aura confirmation dimanche prochain lors du premier tour des législatives, où MLP sera largement sous les 50% dans la ville d'Hénin...
"Humiliations",
"harcèlement", "flicage"... Y a-t-il un malaise chez les
employés municipaux d'Hénin-Beaumont ?
France Télévision Vincent Lenoir 5/6/2017
Le
management de la majorité dirigée par Steeve Briois est la cible de nombreuses
accusations venant d'opposants politiques ou au sein même des murs de l'hôtel
de ville. Un phénomène difficile à mesurer, mais qui semble bien réel.
"Je veux bien vous parler, mais il ne faut pas
dire mon nom." "J'ai tourné la page de cette époque, je préfère ne plus
l'évoquer." Les langues ne se délient pas facilement chez
les anciens de la mairie d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais). Depuis l'arrivée de
la nouvelle majorité municipale Front national dans cette commune de
27 000 habitants, plusieurs des 700 employés ont quitté
leur poste. Un grave malaise entourerait le management de la nouvelle
équipe municipale menée par les cadres du Front national.
Début mars, un livre décrit des "pratiques vraiment
effrayantes" de la part des cadres municipaux à l'égard
des employés. Il est l'œuvre de Marine Tondelier, une élue écologiste
d'opposition qui décrit son expérience depuis la victoire du FN dans la ville
trois ans plus tôt. Pour Nouvelles du front. La vie sous
le Front national, elle raconte avoir interrogé des employés ou
anciens employés qui témoignent de nombreux cas d'humiliation et de pression.
S'il est clair que les cas de harcèlement ont sans doute lieu dans de
nombreuses mairies de France, sous le contrôle de partis politiques divers, le
cas d'Hénin-Beaumont est particulier pour le Front national qui a fait de la
gestion de cette ville du Pas-de-Calais la vitrine de l'action du parti. Steeve Briois, le nouveau maire, est même devenu président par
intérim du FN pendant la campagne d'entre-deux-tours de Marine
Le Pen. Cette dernière a d'ailleurs décidé de se présenter une nouvelle fois
dans la circonscription de la ville pour les élections législatives, après deux
échecs en 2007 et 2012. Franceinfo a donc décidé d'aller voir au sein de cette
municipalité pour vérifier les accusations dont elle est l'objet.
Un management de la
terreur ?
Isabelle*, citée dans le livre de Marine Tondelier, a quitté la mairie il y
a quelques mois. Elle confirme auprès de franceinfo les passages qui la
concernent et expliquent qu'elle ne pouvait plus travailler dans de telles
conditions. Pour elle, après des débuts sans problème, "le vent a tourné" au cours de
l'année 2015. Elle reçoit beaucoup de pression de la part de l'équipe
dirigeante et se plaint de l'incompétence du nouveau directeur à la tête de son
service. Après des échanges de courriers avec Steeve Briois, où elle tentait de
l'avertir des dysfonctionnements, elle reçoit des menaces de sanction du
département des ressources humaines (RH). A la suite des "humiliations" et des situations d'"angoisse" décrites, elle doit arrêter
de travailler une semaine pour un "stress post-traumatique". Les causes
de "harcèlement au travail" étant même inscrites sur le rapport du
médecin. Elle décide finalement de quitter la mairie et travaille aujourd'hui
dans une autre collectivité.
Au début, ils m'avaient dit : 'Il y a les chevaux de course et l'abattoir.
Vous êtes les chevaux de course, les autres sont l'abattoir.' Je restais
stoïque, mais ces propos me révoltaient. Puis le vent a tourné, des chevaux de
course, je suis passée à l'abattoir. Isabelle*, ancienne employée dans le livre
"Nouvelles du Front"
Le cas
d'Edouard Blanc met à mal l'explication d'un règlement de comptes entre
opposants politiques. Car s'il est habituel que les équipes municipales
subissent un renouvellement important après un changement de majorité, Edouard
Blanc, lui, est arrivé après l'entrée du FN à l'hôtel de ville. Il se
définit comme "antieuropéiste", "gaulliste" et "patriote" et,
en 2014, le FN lui semblait "être la meilleure possibilité de
renouvellement du politique". Au début, comme Isabelle, il décrit une
ambiance "de cohésion" qui bascule peu à peu dans "une
chasse aux sorcières" qui prend pour cible tous ceux
susceptibles de poser problème avec les décisions de la majorité.
Selon
l'ancien directeur juridique - qui veut aujourd'hui devenir guide de
haute montagne -, son contrat n'a pas été renouvelé car les cadres
frontistes ont vu qu'ils auraient du mal à le contrôler. Edouard Blanc était
d'ailleurs devenu "un des porte-parole..." Il se reprend : "Pas un porte-parole, mais un des psychiatres de tous
ceux qui se sentaient agressés par ce management-là. Donc, j'avais beaucoup de
gens qui me parlaient (...) et j'essayais d'en parler moi à la direction.
(...) J'ai dit à M. Briois que j'avais des trucs à lui dire sur la gestion et
qu'il y avait beaucoup de choses qui me revenaient aux oreilles. Mais il n'a
pas voulu m'accorder de rendez-vous." La mairie réfute
formellement la version de l'ancien directeur juridique : selon la
municipalité, si son contrat n'a pas été renouvelé, c'est tout simplement parce
qu'il n'était "pas assez compétent".
Néanmoins, les exemples d'interventions de la mairie sur le personnel
municipal foisonnent : de l'employée qui reçoit des SMS agressifs à celui
dont le bureau est déplacé "entre les toilettes et le
placard à balais" en passant par cet animateur reclassé à
un poste d'"agent d'entretien", jusqu'aux soupçons de
"flicage". Plusieurs employés contactés ont d'ailleurs refusé
d'échanger par téléphone portable, persuadés d'être surveillés. Certains
sont tellement méfiants qu'ils croient à un piège. En témoigne ce représentant
syndical qui répond "Comment je peux être sûr
que vous êtes bien journaliste ?" et ne donnera pas de suite.
La
menace judiciaire
Les seuls à accepter de parler à visage découvert sont des élus CGT qui ont
tous des problèmes judiciaires avec la mairie. "On
est les seuls à accepter de parler", décrit l'un d'eux, que
franceinfo a rencontré mais ne nommera pas afin de ne pas leur porter préjudice
dans leurs procès respectifs. Ils décrivent un malaise ambiant et une omerta
généralisée chez les employés par peur d'être la prochaine cible. Même si ces
représentants syndicaux ont des difficultés (procès, suspension, retenue de
salaire...), ils relativisent : "Certains employés sont
plus en souffrance que nous. Nous, on arrive à se défendre. Mais quand on
se met à la place d'une femme de ménage ou d'un agent technique qui a du mal à
faire un courrier..."
Parmi les 700 employés, seuls cinq
ou six cas posent problème. Bruno
Bilde, adjoint à la mairie à franceinfo
Steeve Briois étant trop occupé par les législatives, c'est Bruno Bilde,
adjoint aux affaires juridiques, qui répond aux questions de franceinfo.
Pour ce proche des cadres du parti, parfois considéré comme le "maire
bis" d'Hénin-Beaumont, ces accusations sont le fait d'une petite minorité.
Il réfute la présence d'un malaise généralisé, prenant à témoin la
popularité de la nouvelle majorité municipale : "Les
agents municipaux sont à 90% des habitants d'Hénin-Beaumont, avec leur famille
cela signifierait que potentiellement 2 000 Héninois seraient en
conflit avec la mairie." Une situation qu'il juge
incompatible avec les scores obtenus par le parti de Marine Le Pen à la présidentielle (46,5% au premier tour, 61,56% au second).
Parmi ces "cas", celui de René Gobert, secrétaire général de la
CGT d'Hénin-Beaumont, en procès avec la mairie. En arrêt de travail depuis le
30 juin 2016 pour "syndrome dépressif" dont "l'affection est directement causée par le travail habituel
de l'agent", il est également mis en examen pour des menaces
qu'il a proférées sur Facebook. Des cadres de la mairie qui se sont sentis
visés ont porté plainte. Il a, depuis, été révoqué explique La Voix du Nord. Auparavant, il avait
été reclassé au pôle animation au poste d'"agent d'entretien des
locaux". La mairie ayant cessé de lui payer ses salaires et ne lui
ayant pas accordé la protection fonctionnelle juridique, il subvient aux
frais de ses trois avocats grâce à la caisse de la CGT. Bruno Bilde assure
néanmoins que la protection lui aurait été accordée si René Gobert
avait fourni les pièces administratives réclamées par le maire.
Une situation
sanitaire qui inquiète
Obligatoires depuis 2014, les comités d'hygiène et de sécurité des
conditions de travail (CHSCT) sont compétents pour gérer ce type de conflits.
Mais la mairie n'en est toujours pas pourvue. Bruno Bilde assure que sa
mise en place est "imminente" et
devrait voir le jour cet été : "On est parti de
rien", assure l'adjoint. Il indique que le taux global
d'absentéisme est en légère hausse (de 11,3% en 2011, sous majorité socialiste,
à 11,8%), mais que cela est dû à un changement de méthode de calcul. Plusieurs
sources estiment que l'absentéisme tourne plutôt autour des 20%. Le nombre
d'agents en arrêt maladie de longue durée est, lui, passé de 22 à 26 en cinq
ans.
Il y a dix cas graves de
harcèlement moral. Un cadre de la mairie à franceinfo
Plusieurs cas de contrôles d'alcoolémie inopinés sont également rapportés.
Si ces contrôles sont légaux, leur recours est encadré par la loi et doit faire
l'objet d'un suivi auprès de la médecine du travail. Un cadre a assuré à
franceinfo avoir fait l'objet d'un contrôle simplement parce qu'il avait
eu une altercation avec un responsable. Il a néanmoins refusé de s'y
plier, mais décrit une situation humiliante. La mairie reconnaît un recours à
des contrôles pour lutter contre l'alcoolisme au travail ("On a une petite dizaine de cas", décompte
Bruno Bilde), mais assure que les procédures sont respectées et que ces
contrôles sont rares.
La mairie a engagé une société pour vérifier le bien-fondé des motifs
d'incapacité temporaire de travail (ITT) et s'assurer qu'il ne s'agisse pas de
diagnostics de complaisance. Bruno Bilde confirme le recours à une société
privée. Il explique que c'est le cas pour de nombreuses collectivités et qu'il
s'agirait d'ailleurs d'une "recommandation de la
chambre régionale des comptes". La CRC des Hauts-de-France
réfute néanmoins donner ce type de conseil aux collectivités.
Franceinfo a souhaité demander aux médecins proches des employés s'ils
constataient un malaise particulier. Tous ont esquivé les questions : l'un
argumentant qu'il n'avait "aucun intérêt personnel à
s'exprimer", un autre qui a vu un de ses arrêts de travail
contesté par la mairie minimise l'épisode et assure que "tout est rentré dans l'ordre" depuis.
Sollicitée à de nombreuses reprises ces dernières semaines, la responsable de
la médecine du travail chargée des employés municipaux n'a jamais souhaité
répondre à nos appels.
Un
"malaise" qui sert l'équipe municipale ?
Mais pourquoi ce silence si une telle ambiance règne ? "Parce que vous avez des gens qui sont en état de dépendance
professionnelle, répond Edouard Blanc. Pour leur
promotion, pour leur avancement, dans leur vie de tous les jours, parce que c'est
un petit monde clos, Hénin-Beaumont." Une explication qui résonne
avec les propos d'un ancien employé, resté anonyme par crainte de perdre son
logement social.
Il faut avoir une vision politique pour les comprendre. Ils nous prennent
pour des militants de gauche. Donc pour eux, on est dangereux. Un employé de la
mairie à franceinfo
Certains employés, ouvertement en conflit avec la mairie, expliquent que
l'équipe de Steeve Briois mène cette "chasse aux sorcières"
pour faire d'Hénin-Beaumont une place forte du Front national. Ils
prennent également en exemple, comme Marine Tondelier dans son livre, le
comportement de la mairie vis-à-vis des associations auxquelles elle demanderait "allégeance" ou le traitement des journalistes de La Voix du Nord par
les cadres de la mairie.
Mais Bruno Bilde préfère relativiser : "Il y a un tel
décalage entre ce qu'on dit de nous et ce que les agents municipaux vivent, que
cette mauvaise publicité est contre-productive pour nos adversaires." Ce
proche de Marine Le Pen annonce à franceinfo avoir
porté plainte pour "diffamation" contre l'opposante écologiste
après son livre. Selon lui, les agents "connaissent les 5-6 individus qui depuis longtemps polluent
la mairie". Il estime même que la situation bénéficie
électoralement à son parti. Et s'il est difficile de mesurer l'ampleur de ce
malaise qui semble bien réel pour un certain nombre d'employés, les urnes,
elles, montrent qu'une majorité d'Héninois font effectivement confiance au
parti qui dirige leur ville depuis trois ans.
* Le prénom a été changé
Quand cette ville sortira-t-elle de ces ignobles methodes qui ne sont pas arrivees d'un coup avec l'extreme droite. Les ferments et la culture de la denonciation calomnieuse sont presents et exploites depuis bien trop longtemps dans cet environnement qui refuse toute autre analyse que celle du chef.
RépondreSupprimerbriois et bilde sont les spécialistes de la haine et des divisions, et c'est 90 pour cent de leur politique avec les pots de fleurs, la propagande et les barbecues.
RépondreSupprimerLes personnels doivent se rassembler et dénoncer collectivement le harcèlement, les humiliations et la terreur.
Il ne faut pas qu'un seul vote aille à marion le pen dite marine. Absente au Conseil Régional où elle ne se préoccupe et ne s'est jamais préoccupée des dossiers à défendre pour le territoire, la reine des selfies et de l'enfumage vient ici uniquement chercher une immunité parlementaire pour échapper à la justice. Hénin Beaumont, elle n'en à rien à f.... .
Lâche ou consciente, enfin, de sa nullité, elle a fui les deux débats où sans connaissance des dossiers, elle aurait , comme pendant le débat présidentiel, montré à quel point elle n'a aucune compétence pour quoique ce soit, à part ses obsessions racistes et sa capacité à pourrir un débat entre républicains responsables.
Il faut dimanche la remettre dans le train Arras,pour la troisième fois, ce qui affaiblira la paire de caudillos locaux et permettra plus facilement aux personnels de se révolter.
Le FN dehors, maintenant ça suffit.
Le briois se plaint que la VDN ne couvre pas l'actualité de la fuhrie de Montretout! On croit rêver!Il veut la VDN ou il en veut pas ce clown? Bravo la VDN! Aucun micro, aucun article pour cette clique. Que les autres journaux en fassent de même.
90% des agents municipaux sont d'Hénin-Beaumont, cela me semble un chiffre fort élevé, à vérifier.
RépondreSupprimerAucune importance x. Bien à vous....
RépondreSupprimerSi vous parlez des autres candidats il y en a douze à 5 jours!!!!! Mr AA
RépondreSupprimer"Difficile à mesurer, mais qui semble bien réel". Merci, j'ai bien ri. En fait, ici on fait dire ce que l'on veut, et si cela ne colle pas, on fait en sorte que cela colle avec l'idée de départ, pour ne pas dire l'idéologie.
RépondreSupprimerQuant au troll et à ses 90%, laissez-nous rire. Vous êtes pitoyables. Vous n'allez pas battre le fn avec un niveau aussi faible. D'ailleurs, un tel niveau a fait qu'il a pris le pouvoir à Hénin. En résumé, continuez, vous avez le résultat que vous méritez les cocos. Et c'est pas prêt de changer.
eul briois est foutu. Continue à rire bêtasse fachiotte de 18H37, ton parti pourri va disparaitre. La le pen n'est même pas capable de venir débattre avec les autres candidats! Elle commence à déguerpir . C'est à mourir de rire! Elle est pitoyable. On va la remettre dans l'train pour Montretout sauf sa fortune au fisc , puis le cabinet du juge. Pas d'immunité parlementaire... PTDR. Et si tu n'es pas content "d'ici", tu déguerpis! Tiens, lis!
Supprimer"Législatives - Front national : des candidats pas si présentables...
Une enquête de BuzzFeed dans les comptes des candidats frontistes sur les réseaux sociaux met à mal la dédiabolisation vantée par Marine Le Pen.
Par Le Point.fr / 6 juin 2017
Une centaine des 573 candidats FN aux législatives ont été épinglés par BuzzFeed.
Ce candidat ne dit pas « étranger », mais préfère le terme « banania ». Certains « likent » des propos antisémites sur Facebook ou Twitter. Un autre – enseignant et « spécialiste Education » du parti frontiste – rigole avec un ami en lui disant qu'il devrait « essayer la zoophilie » avec Christiane Taubira. Sur les 573 investis par le Front national aux élections législatives du dimanche 11 juin, pas moins d'une centaine ont été épinglés par le site BuzzFeed pour leurs propos racistes, homophobes ou encore islamophobes.
En effet, si le parti avait mis en avant sa volonté d'écarter les brebis galeuses et les candidats à la députation au profil sulfureux, force est de constater que l'opération « nettoyage » a échoué. En 2015 déjà, lors des élections départementales, Le Point révélait que 90 candidats étaient loin de la nouvelle ligne « respectable » prônée par Marine Le Pen. Un an plus tard, le parti chargeait Jean-Lin Lacapelle de faire le ménage. « Si le candidat est impeccable, on lance une procédure de validation par la commission d'investiture. S'il y a des doutes, le dossier est étudié plus sérieusement et le candidat est convoqué pour un entretien. Ceux qui doivent être écartés le sont », déclarait-il alors au Figaro.
Insultes en tout genre
Cela n'empêche pas Agnès Marion, candidate dans la 10e circonscription de la métropole de Lyon et conseillère régionale en Auvergne-Rhône-Alpes, de « liker » un tweet en juin 2015 déclarant que le ramadan est « ce moment de l'année où les dealers ne sont pas disponibles avant 22 heures ». Grégory Stich, candidat dans la 2e circonscription du Haut-Rhin, a partagé un visuel homophobe sur lequel figure le drapeau français avec un plug anal et un logo détourné du Parti socialiste. Et une nouvelle devise : « LGBT, Genderité, Va te faire enculer. » Son camarade candidat dans le Finistère, Patrick Le Fur, assure que les migrants sont « des lâches » et que leurs « traditions » sont de « mettre le feu et violer une interprète »..."
FN pourri! DEHORS!
ça leur fait une belle jambe, hé, eul rigolo de 06h59.
Supprimerbriois est foutu... la presse nationale parle de plus en plus de ce qu'il fait à Hénin. Les communaux vont se révolter bientôt. Il est temps!
RépondreSupprimermdrrr, il y a 95% du personnel communal qui n'a aucun problème avec cette municipalité. Les autres 5% sont des agents qui avaient déjà des problèmes avec les autres dirigeants de l'ancienne municipalité. Bien sûr, quand on a profité du système pendant de nombreuses années, cela ne leur plait pas que les élus veuillent les remettre au travail. Les syndicats municipaux de la CGT et de FO en ont bien profité, beaucoup de personnes de leur famille ont eu un emploi à la mairie. Ils veulent le beurre et l'argent du beurre, et pourquoi pas la crémière. Maintenant que la municipalité n'est plus de leur côté,ils dénoncent des choses qui sont inexactes. Ils peuvent lancer une grève, la majorité des agents communaux ne les suivront pas. Ils n'ont pas la mémoire courte. Les élections législatives à Hénin-Beaumont confirmeront la main mise de la ville d'Hénin-Beaumont par le front national, et cela pour encore plusieurs années. Aucun candidat ou suppléant à ces législatives n'a la compétence et la crédibilité. Ce ne sont que des girouettes, un coup au PS, un coup au PC, un coup avec Mélenchon (n'es ce pas M.NOËL, M. GODILLOT et Melle TONDELIER) vous êtes pitoyables.
Supprimer"Aucun candidat ou suppléant à ces législatives n'a la compétence et la crédibilité." Vous avez raison pour la candidate du FN, mais certains autres candidats sont des "gens bien". Vous me semblez un peu déboussolé...
SupprimerVu que les personnes citées sont un coup par ci, un coup par là, il y a bien de quoi être déboussolé... Sinon, pour la gamelle, il y a des locaux qui sont un coup partout. Ils ont même été dans tous les coups ...pour offrir la ville au fn. C'est ballot!
SupprimerEul 14H57, un feneux radicalisé ou un collabo perdu! Irradié à la propagande fasciste! Le facho ment, le facho ment, le facho ment énormément! Les plaintes pour harcèlement se préparent et dans quatre ans on les vire! Peut être même avant...
SupprimerCette situation n'est pas propre aux collectivités dirigées par le FN.
RépondreSupprimerEn 2013, la Voix du Nord révélait ce même type de pratiques et d'ambiance au sein des services de la Communauté d'Agglomération Hénin-Carvin alors présidée par Jean-Pierre Corbisez, socialiste. Les tordus sont partout. Bonne lecture : http://www.lavoixdunord.fr/archive/recup%3A%252Fregion%252Fle-constat-implacable-d-une-psychologue-sur-la-souffrance-ia34b0n1500739
Ce qui rejoint mon intervention du 6 juin à 9:49... Quand sortirons nous de cet environnement oppressif et totalitaire ? Il faudrait un décrassage généralisé des esprits et un changement culturel, ce qui n'est pas pour demain vu les dégats provoqués par ceux qui drivent les affaires du Pas de Calais depuis 70 ans. Le sillon culturel a été durablement marqué et s'en débarrasser signifie d'en tracer un autre susceptible d'estomper le précédent !
SupprimerTu regardes trop de série. Vas t'aérer petit.
SupprimerLe clientélisme. Il y a les employés d'avant Briois et ceux d'après.Il faut les tenir....
RépondreSupprimerallez voir dans sa mairie, c'est pas mieux.là-bas, y a deux tordus.
RépondreSupprimerQuand on pisse AA,il faut pisser droit et dru !
RépondreSupprimerMerci du compliment :
Supprimer"Le Beaujolais Pisse-Dru, un nom évocateur : c'est une très ancienne expression utilisée par les viticulteurs du Beaujolais au moment de la vendange. Le raisin "pisse dru" lorsque le grain arrivé à maturité libère son jus en abondance.
Pisse-Dru, cette marque est à l'image des beaujolais : simple, plaisante, sympathique et conviviale."
Les prochaines années vont être terribles pour les agents de la ville....surtout au niveau des droits acquis !! Jubilatoire pour les élus
RépondreSupprimerNon c'est impossible 21h45 pas un socialiste voyons? Un fhaineux oui.
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