On pourrait en avoir fini ce jour avec le feuilleton Fillon !
2 scénarios possibles :
1) Il retire sa candidature.
On a remarqué qu'hier soir sur France 2, sous la pression de Laurent Delahousse, il n'a jamais dit qu'il irait "jusqu'au bout". Quand on relira ses réponses, on notera qu'il s'est laissé une porte de sortie. "Je ne suis pas autiste" a-t-il répété, car "j'entends ce qu'on me dit". Quand il annoncera qu'il renonce, il confirmera qu'il a entendu et qu'il n'est pas "borné" comme l'insinuaient certains. Après tout, en 2022, il n'aura que 68 ans...
Il a également insisté, à plusieurs reprises, sur "le peuple français" (sic) venu au Trocadéro pour le soutenir. Ils étaient 200 000 a-t-il répété à plusieurs reprises alors que le lieu ne pourrait accueillir que 50 000 personnes... Combien de militants de "Sens commun", l'organisation politique de "La Manif pour tous" ? Gageons qu'ils étaient nombreux... Ce soutien a (ré)conforté FF : il est aimé par les Français et son renoncement est d'autant plus grand. Vous vous rendez compte, j'espère, que cet homme s'en va en pleine gloire, adulé par le peuple français...
S'il retire sa candidature, quel candidat peut le remplacer ? Nonobstant sa gloire personnelle, il faudrait un candidat de notoriété égale, prêt à endosser son programme de "droite toute" et capable de faire revenir l'électorat centriste de l'UDI. Pour être démocratique, le choix du parti devrait porter sur un des candidats "de la droite et du centre", dans l'ordre d'arrivée du premier tour de la consultation. Rappelons que derrière F. Fillon arrivaient Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, les autres ayant du mal à dépasser les 2%. Pour Alain Juppé, certes, il peut rattraper les voix des centristes, mais il n'endossera pas le programme de FF et n'aura pas le soutien de la droite de la droite... Une seule solution donc : Sarko ! Autant dire que Macron sera l'adversaire de M. Le Pen au second tour...
Dans ce cas-là, Juppé annoncera ce matin qu'il n'est pas candidat.
2) Il ne retire pas sa candidature.
Malgré l'évidence du sort électoral qui lui sera réservé, la direction politique du parti "Les Républicains" ne parvient pas à le convaincre de retourner dans son château de la Sarthe. Fillon est persuadé du soutien du peuple de France, à défaut de celui de la "droite et du centre", du centre quand même malgré la défection de l'UDI.
Devant cette défaite annoncée, Nicolas Sarkozy and Co, tente une dernière manœuvre : demander à Alain Juppé d'annoncer sa candidature, ce matin, pour jouer le coup de force ou le coup de bluff (des joueurs de poker). En espérant que F. Fillon comprenne que, même s'il se maintient, il ne pourra terminer deuxième du premier tour de la présidentielle. Bien sûr, cela en est fini de la carrière d'Alain Juppé (mais quel sacrifice pour la France et un bon point pour lui pour les municipales de 2020), mais également pour FF. Quant à Sarko qui pouvait espérer un come-back de dernière minute, il devra continuer à soutenir la carrière de Carla...
Dans les deux scénarios évoqués ci-dessus, un seul gagnant : Emmanuel Macron ! A moins qu'on lui trouve, dans les prochains jours, une petite affaire qui vienne perturber sa "marche" vers la victoire. Dans ce cas, devinez qui pourrait profiter de cette situation malgré les lourdes affaires qui pèsent sur elle ? Vous me direz, resteront alors à l'affût Benoit Hamon et Jean-Luc Mélenchon... Mais ceci est une autre histoire que je vous conterez en temps et en heure...
comme bien souvent dans ses commentaires , notre pseudo maire ment , même effrontément .Dernier mensonge , l'arrestation de voleurs par la police municipale alors que ce sont des habitants du quartier qui sont intervenus ! Bien sur , il y a eu délinquance , bien sur et tant mieux les voleurs ont été arrêté , mais pas besoin de mentir pauvre monsieur !
RépondreSupprimerL'enquête pour agression sexuelle et harcèlement contre le député Denis Baupin a été classée sans suite car les faits sont prescrits. Elle est pas belle la vie? Allez, à la revoyure, les gauchos!
RépondreSupprimerLa racaille fasciste en tôle! Que ceux qui profèrent ou laissent proférer des injures racistes payent.
RépondreSupprimerMidi Libre" Saluts nazis, insultes racistes : 6 mois ferme pour le militant d'extrême droite
Saluts nazis, insultes racistes : 6 mois ferme pour le militant d'extrême droite
Membre de la Ligue du Midi, Olivier Roudier avait dérapé après une soirée à la fête votive de Saint-Nazaire-de-Pézan.
Pour commencer, au moment d'entrer dans la salle d'audience, un tutoiement et une insulte - "ordure" - lancée au journaliste. Et une fois face à la présidente du tribunal, une attitude arrogante. "Vous avez 37 ans, vous travaillez dans une exploitation agricole à Sumène, dans le Gard. Y'a pas trop d'Arabes là-bas ?", attaque la magistrate.
"Non, ça va, on respire", répond Olivier Roudier, très sérieusement. "Évidemment, je ne partage pas votre point de vue mais c'est le sujet du jour, précise la présidente. Vous avez sept condamnations à votre casier, on voit que la violence fait partie de votre chemin."
Ce membre de la Ligue du Midi, parti d'ultra-droite, ex-candidat aux cantonales de Montpellier comparaît avec son copain Julien pour avoir sérieusement dérapé lors de la fête votive de Saint-Nazaire-de-Pézan, l'été dernier. Comme les deux années précédentes, où il avait déjà semé du grabuge.
Ce 30 juillet 2011, les deux acolytes l'ont passé à boire du pastis avant de se rendre en bande dans le village. Leur but : s'en prendre aux Arabes associés à des dealers. Ils crient : "Les melons, vendeurs de drogue, on va tous vous tuer. Vous n'êtes pas ici chez vous." Le tout accompagné de saluts nazis.
L'un des gendarmes est d'origine maghrébine. Il est lui aussi copieusement insulté
Le maire de la commune tente bien de les calmer, sans y parvenir. "Je suis venu chasser les Arabes", lance à l'élu Roudier, béret sur la tête, tee-shirt Ligue du Midi. Et lorsque des gendarmes arrivent, les insultes redoublent, l'un des militaires ayant le malheur d'être d'origine maghrébine : "Raton, bicot, collabos des melons, fils de p... de gendarme, je vais te n..."
Pour couronner le tout, le fils du responsable départemental de la Ligue du Midi s'est rebellé et a été trouvé porteur d'un poing américain.
- "Vous propagez des idées néonazies et d'extrême droite selon l'enquête menée par les gendarmes", assène la présidente.
- "C'est pas un parti d'exrême droite, c'est un parti régionaliste", se défend l'agriculteur, contestant mollement avoir fait des saluts nazis et affirmant que le maire lui aurait désigné les dealers à leur arrivée.
Le tribunal lui fait remarquer que son ami Julien a rencontré des problèmes de drogue et qu'il n'est pas étranger...
"Lui, c'est une victime des dealers. Il est un toxicomane", répond le trentenaire au comble de la mauvaise foi. "C'est un charivari au pastis, il est dur et partisan, son engagement, une fois dans la fête et l'alcool, s'est manifesté dans des proportions qui l'ont dépassé", l'excuse son avocat, Me Fuminal.
"On a passé la ligne rouge à cause de l'alcool, je suis navré pour les gendarmes", finit par dire Olivier Roudier..."
Bête, sale, méchant, violent. La France ne peut accueillir cette racaille d'extrême droite qui terrorise et casse . Dehors!
La police municipale est arrivée parce qu'appelée pendant le vol;vdn a l'art de transformer les faits comme vous le perroquet de service!Consulter les habitants concernés vous verrez que ce n'est pas la même histoire que celle racontée par vdn.
RépondreSupprimer09h49. Ne soyez pas dupe! Eul trollolo pas rigolo et ses tranches de copiés collés de 12 mètres d'épaisseur est employé par la pseudo gauche, trahissante et dépassée. Ps: il vous dira que je suis du fn, car ça l'arrange. Il n'a pas à parler de son bilan comme ça (fn en mairie et ailleurs) ni de son programme. De toute façon ce MOI JE local ennemi de la finance ne comptait pas l'appliquer.
SupprimerAh bon , les militants ou élus fn lisent La Voix Du Nord ?
SupprimerBen ouais, il parait qu'ils lisent. Y a que les hautains de la pseudo gauche qui regardent les autres avec suffisance qui affirment le contraire.
SupprimerMilitants fn ou militant soit-disant de gauche, du pareil au même in fine.