mardi 6 novembre 2012

Bloc-notes


6 novembre aux USA

Les Français ont des raisons d'être interpellés par les élections US. Ne serait-ce que par les 700 millions d'euros dépensés pour la campagne par chacun des 2 principaux candidats).
En dehors de Obama et Romney, beaucoup d'autres candidats se présentent et on n'en parle que très, très peu...Ils représentent des partis (libertarien,Verts, socialiste...) ou sont indépendants.
Le mode de scrutin intrigue: on vote pour des délégués (nombre fixé en fonction de la population) dans chaque état et le candidat en tête rafle tous les délégués (sauf dans deux), d'où l'importance de certains états (Ohio) où la partie est serrée.
Ce 6 novembre, on vote, non seulement pour les délégués qui éliront le Président, mais aussi pour une partie du Sénat, la Chambre des représentants, des postes de gouverneur, des assemblées locales... Nombre de référendums sont prévus (mariage gay, légalisation ou dépénalisation du haschich...).
S'agissant d'un Etat fédéral, tout n'est pas transposable chez nous, mais 2 idées semblent intéressantes:
- des élections à date fixe (mais je suis pour un jour de semaine: le 3ème mardi de mars, par exemple). 
- plusieurs scrutins un même jour: présidentielles et législatives ou encore: cantonales, régionales, municipales et intercommunales...

19 commentaires:

  1. Sur votre blog il y a toujours des attaques contre les personnes qui écrivent sous le principe de l'anonymat...
    Ce n'est pas de la lacheté mais une forme de résistance comme le monde en a déjà connu quand il y a dangers permanents et de l'oppression.
    Est-ce que les résistants de seconde mondiale étaient des lâches ? Pourtant tout se faisait en réseau ? Qui peut imaginer voir un résistant donner son identité à ce qui peut être identifié comme un ennemi potentiel.
    Derrière vous, Monsieur Alpern, je ne vois qu'une population entrant en résistance et pas de lâches anonymes comme on le pense parfois. Tout est une question de camp et de position, de pouvoir et de lutte.... bien souvent les personnes parlant de lâcheté qravitent autour du pouvoir héninois comme c'est étrange ?

    RépondreSupprimer
  2. Je suis assez d'accord avec vous, d'autant plus l'on note chez les fonctionnaires qui écrivent ici, une peur face, non seulement à la hiérarchie, mais également et surtout face au politique: alors soit ils résistent anonymement, soit ils collaborent sans vergogne...

    RépondreSupprimer
  3. Qu'est devenue Caton ? Son blog était bien parti et puis pschittt... quelqu'un sait ce qui s'est passé ?

    RépondreSupprimer
  4. Je viens d'apprendre que depuis un mois il y a un grave problème électrique à la résidence des personnes âgées au Foyer PASTEUR.Les services techniques et
    La société SATELEC sont intervenus sans trouver la panne (le compteur disjoncte tout le temps)ils ont signalés à la direction que l'installation électrique n'était plus aux normes et vétuste.
    On attend quoi? qu'il y ai un incendie, comment évacuer des personnes impotentes des étages ci l'ascenseur ne fonctionne plus.
    Monsieur le maire et les adjoints, prenez vos responsabilités ou vous faîtent remettre aux normes ou vous fermez la résidence.
    On ne joue pas avec la vie des résidents du foyer pasteur.

    RépondreSupprimer
  5. champoinne pour faire baisser notre pouvoir d achat6 novembre 2012 à 17:50

    la tva sociale revient passant de 19 à 20 et cellede 5 à 7 merci la gauche pour notre pouvoir d achat

    RépondreSupprimer
  6. 17H50: Sarko avait prévu beaucoup, beaucoup plus...

    RépondreSupprimer
  7. françois,commence par récupérer les 3 millards que les sénateurs ont mis dans leur cagnotte.ce n'est pas de leur propre argent.c'est celui des contribuables.

    RépondreSupprimer
  8. le premier ministre il y a quelque mois avait déclaré^pas de hausse de tva rassurez vous mr AA c est que le début
    gaz electricité cigarette biere boissons énegissante retraité allez les électeurs passez à la caisse

    RépondreSupprimer
  9. 17h49

    qui est responsable des foyers et des 5 saisons ? n'hesitez pas donnez un nom. J'aurai la conscience tranquille

    RépondreSupprimer
  10. au secours .
    entendu ce soir sur la 2 ,parizot et gallois félicitent hollande ,ayrault et donc la gauche.
    tartine au brie ,l'irresponsable cheftaine du P.S.national pourrait nous dire
    " il y a un loup "

    RépondreSupprimer
  11. 17h49 j'ai omis de dire qu'a pasteur il n'y a pas d'impotants

    RépondreSupprimer
  12. Pour répondre à 16h34 et dire combien ce qu'il écrit est vrai, il faut avoir vêcu la capacité de malfaisance de certains politiques pour avoir appris à ses dépends jusqu'où la haine peut les conduire: Pour être très clair, il en va du fonctionnaire comme du militant: il ferme sa gueule ou il perd ses droits les plus élémentaires.
    Pas question d'étudier un dossier en droit ou en technique financière; pas question de respecter les règles du code des marchés publics.
    Le plus inquiétant demeure quand même que ce système se nourrit d'un mode de fonctionnement accepté par la majorité des fonctionnaires territoriaux dont bien peu répondent aux conditions statutaires. Regardez bien dans les cadres dirigeants combien ont passé le concours d'administrateur territorial ou d'attaché, combien ont suivi la formation pourtant obligatoire qui s'ensuit une fois nommés.
    Indépendamment de la faiblesse de la formation des cadres territoriaux, il faut aussi observer leur "politisation" anormale.
    Alors, dans un tel système reproduit sur au moins une génération, il est évident que le département du Pas de Calais ne dispose pas d'une fonction publique territoriale attachée à des valeurs liées au droit ou à la république, mais plutôt à des valeurs féodales puisque l'essentiel du travail consistera à reproduire le système marqué par des hommes liges et un suzerain. Dans un tel environnement, celui qui tente d'exercer sa fonction en droit est différent et se trouve exclu, non seulement par le politique, mais aussi par ses propres collègues.
    Alors que lui reste-t-il pour être en règle avec sa conscience et éviter l'oppression ? expliquer, démontrer par l'expression anonyme qui le met à l'abri d'ignominies dont sont capables certains élus. Il convient en outre de dire ce qu'est concrêtement l'ignominie de certains élus: c'est leur capacité à empêcher un agent à retrouver du travail dans une autre administration; très clairement c'est le coup de fil qu'il passera à son collègue pour l'inviter à embaucher une autre personne lorsque vous aurez été capable de répondre à un jury d'entretien et que vous aurez été choisi.
    Vivre un tel environnement est durement ressenti surtout quand on sait que le même élu est capable d'embaucher ou de faire embaucher son protégé comme il est tout aussi capable de vous savonner la planche pour empêcher votre embauche par ailleurs.
    Voilà comment fonctionne le système; voilà pourquoi l'accès à la fonction publique territoriale ne s'y fait pas suivant les règles de l'égalité de traitement du citoyen et voilà la raison pour laquelle ce département aura bien du mal à s'en sortir, parce qu'il a évacué toutes ses forces vives pour ne garder que des obligés.

    RépondreSupprimer
  13. Alain Alpern a dit...
    17H50: Sarko avait prévu beaucoup, beaucoup plus...

    oui effectivement taxer les produits importés mais c'est sur il faut faire comme hollande augmenter la tva sur tous les produits c'est mieux pour le pouvoir d'achat des francais... plutôt que de taxer à tout va il ferait mieux de regarder de plus pret la gestion calamiteuse des départements des régions et des communauté de communes qui dilapident à tout va l'argent des contribuables !!!!! là il y a des milliards d'économie à faire...

    RépondreSupprimer
  14. page 1
    Avec l’aide d’un expert-comptable, M. Claude Jaillet, France-Soir a donc décidé d’éplucher les 88 pages du rapport d’information du 18 mai 2011 de la « Commission spéciale chargée du contrôle des comptes et de l’évaluation interne sur les comptes du Sénat de l’exercice 2010 ». Et là, nous sommes tombés sur la discrète cagnotte du Sénat, à la page 75.
    Bien cachée
    C’est dans la rubrique comptable « immobilisations financières » que se cache cette cagnotte, valorisée au total à 1,310 milliard d’euros. Trois grands postes principaux y figurent.
    Primo, le portefeuille de titres du Sénat proprement dit. Il totalise la bagatelle de 119,8 millions d’euros en actions et obligations de toutes sortes. En clair, depuis des années, le Sénat joue (habilement) en Bourse. Vous avez dit spéculation ?
    Secundo : les 152,8 millions d’euros de prêts (immobiliers pour la plupart) accordés à taux zéro aux sénateurs et au personnel de cette Assemblée par les deux très riches caisses de retraite du Sénat. Il semble que cet avantage ait été supprimé dernièrement, mais pourquoi ne pas demander à ceux qui ont des prêts en cours de les rembourser en les refinançant auprès d’organismes privés ?
    Tercio : les placements financiers et leurs intérêts venant en couverture des engagements de retraite pour 1,026 milliard d’euros. Ces derniers se répartissent entre 499,5 millions d’euros pour la caisse de retraite des anciens sénateurs et 527 millions d’euros pour la caisse de retraite des ex-employés du Sénat. Or cette caisse demande de l’aide à l’état comme si elle était en déficit. Il en est de même pour la caisse de retraite du personnel du sénat.
    Certains diront que je fais du populisme. Pas du tout. J’aimerais que notre état soit géré correctement.
    Pourquoi est-il si compliqué d’obtenir des informations sur qui gagne quoi, et quels sont les avantages de chacun ? Pourquoi un site internet ne pourrait il pas être créé donnant toutes ces informations, y compris à quelle dépense a servi l’allocation mensuelle informatique de 1 000 euros par sénateur ?
    Il sera intéressant de voir si le Parti Socialiste, qui a maintenant la majorité au sénat, changera tout cela…
    Et que dire des collectivités locales ? Si vous visitez Marseille, allez voir le somptueux Hôtel du Département, construit à partir de 1988 pour un coût de un milliard six cent millions (1 600 000 000) de francs, soit deux cent quarante trois millions neuf cent mille (243 918 427,58) euros, il y a vingt ans !! Cela avait valu à Monsieur Bernardini, Président socialiste de quitter son poste sous la pression du Conseil d’Etat.
    Un article paru dans l’Express du 25 juin 1998 mentionnait :
    «On a commencé à démonter le système Bouches-du-Rhône», confiait, voilà quelques mois, un magistrat de la région. Un système fait de confusion des genres et de détournement d’argent public. Déjà, la chambre a mis au jour des systèmes de retraite illégaux, des avantages ahurissants, des associations bidon… La façon dont a été gérée la construction de l’Hôtel du Département ne fait qu’ajouter à un dossier déjà lourd. Le vendredi 26 juin, jour de la prochaine assemblée du Conseil Général, sera une mauvaise journée pour François Bernardini. La loi l’oblige à lire publiquement les observations de la chambre. Ensuite, peut-être abordera-t-on la question de sa succession. Le vice-président du conseil, Jean-Noël Guérini ? Ce serait difficile, estime un avocat, Guérini étant issu de la commission permanente du Conseil Général, donc d’une structure illégitime née d’une élection illicite. »
    On connaît la suite, et 20 ans plus tard c’est Monsieur Guérini, lui aussi socialiste, qui est mis en examen.
    Pendant ce temps là les impôts locaux augmentent partout ou presque. Il est évident que le suffrage universel n’est pas suffisamment dissuasif pour les barons locaux qui ne sont que peu contrôlés.

    RépondreSupprimer
  15. page 2
    Le nombre de mandats du Président a été réduit à deux, faisons la même chose pour tous les élus. Monsieur Fabius se vantait dernièrement d’en être à 9 mandats consécutifs ! Il est battu par Monsieur Tiberi qui a assuré 10 mandats ! Certains forment même une dynastie parlementaire alignant plusieurs générations de parlementaire dans la même circonscription.
    D’autre part, puisqu’ils ne sont pas capables de réduire les dépenses, imposons des budgets en équilibre. Et tant qu’une communauté locale, incluant les communes, a une dette, ses dépenses ne devraient plus augmenter.
    et surtout que l'on ne m'accuse pas d'anti-parlementarisme.hein madame génisson.alias st catherine d'arras.

    RépondreSupprimer
  16. A 20H59: contrairement à ce que vous pensez, la TVA sociale s'appliquerait à tous les produits, importés ou non. Vous confondez avec autre chose: c'est que les produits français, du fait de la baisse de cotisations sociales, deviendraient plus compétitifs, mais rien ne dit qu'ils le vraiment seraient vis-à-vis des produits étrangers...
    Bref je le répète, le taux de la TVA sociale sarkozienne était beaucoup plus importante que celle que l'on vient de nous pondre...

    Quant aux milliards dilapidés par les collectivités locales, faut-il encore le prouver...Une chose est sûre, les collectivités territoriales ne sont pas en déficit, ce qui n'est pas obligatoirement gage d'une bonne gestion...

    RépondreSupprimer
  17. la hausse de la tva est de 0.4 %
    à cause du nabot-sarko qui a ruiné le pays pendant son mandat avec une hausse de la dette de 70 %,soit 700 millards d'euros.merci qui ???
    hin bin yé bon...

    RépondreSupprimer
  18. oui,anonyme de 20h48
    Ce sont exactement les pratiques utilisées à la CACH: on fait des promesses, on selectionne un homme qui correspond au profil de poste souhaité et on le jette pour faire profiter unpetit copain qui ,certes ,ne presentera pas les qualités requises! mais c est comme cela que ça marche "chez ces gens là"

    RépondreSupprimer
  19. oui 23H23, a la Cahc mais aussi dans la plupart des communes, à la région et au département.
    Pour ce qui concerne la Cahc, on a même vécu des agents cadres qui arrivent, comme cela...et il faut ensuite organiser l'organigramme pour les intégrer; ou bien encore intégrer un autre agent sur un poste clairement défini quand l'agent n'a même pas le grade requis et, en plus, ne dispose d'aucune compétence pour occuper le poste.
    La méthode n'est pas récente, mais elle se poursuit et s'amplifie sans que quiconque ne s'en émeuve... Si,bien sûr, on aura quelques bruits de couloirs, quelques remarques -très douces- des représentants du personnel, mais rien, en définitive qui puisse remettre en cause des comportements inadmissibles dans un état de droit.

    RépondreSupprimer