jeudi 27 juin 2013

Binaissades


A l'occasion de la réception des enseignants, mardi, à l'hôtel de ville, le maire s'est fendu de quelques "binaissades", à  faire rire, sourire, ou même grimacer...

- A la fin du discours de Madame Slaviero, adjointe aux affaires scolaires, le maire, plein de tact, lui adressa un : "Merci, Madame Slaviero, je vois que vous avez fait des progrès dans vos discours"...

- Alors qu'il demandait à la salle, au moment de la remise des médailles, si quelqu'un avait été oublié, un enseignant leva la main et le maire s'enquit : "Votre nom?" Réponse : "Martin". Le maire, qui n'en loupe pas une : "Comme l'âne ?"

- L'inspecteur de circonscription, M. Facon (non, non, pas celui de Courrières) remercie le maire d'avoir prêté une salle pour assurer la formation des enseignants aux tableaux blancs interactifs. Le maire lui répond : "Je vous remercie de m'en avoir informé, car je n'étais pas au courant"... L'inspecteur : "Vous êtes forcément au courant puisque c'est vous qui avez signé la lettre nous accordant la salle". On peut supposer qu'on lui expliqua, ensuite, qu'à Hénin...

15 commentaires:

  1. concernant la delib pour le nombre de conseillers, le groupe majoritaire avait décidé de reporter la délib pour vérification des chiffres et du texte,si le fn maintien son amendement jm bureau demande au maire de ne pas la voter,celui ci prend la parole en disant que la majorité s'abstient sur l'amendement et qu'il retire sa delibération, voila la vérité, le maire n'a pas suivi la décision de son groupe

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "jm bureau demande au maire de ne pas la voter" ! Cela ne veut rien dire..."Ne pas la voter" signifie "abstention" ou "vote contre". Dans ce cas là, le maire n'a trahi personne, puisqu'il a proposé l'abstention...
      Par contre, contrairement à ce que vous écrivez, il a été décidé par les élus majoritaires de voter contre l'amendement. Le maire a proposé, devant les élus, l'abstention parce qu'il ne fait pas la différence entre abstention et vote contre ! Personne, ni le DGS, ni les élus majoritaires ni le FN ne se sont aperçus que l'amendement avait été adopté...
      Cela ne changera probablement rien à la décision de la CAHC... Mais le maire a encore failli et doublement :
      - en se "plantant" sur le vote;
      - en n'étant pas capable de répondre à Briois...

      Supprimer
  2. Y a plus d'un âne qui s'appelle Martin, deviner qui sont les autres...? ou qui est l'autre...?
    c'est celui qui le dit qu'il l'es ....!

    RépondreSupprimer
  3. Mais qu'est-ce qu'il est nul, ce type. Faire des jeux de mots aussi foireux, c'est lamentable !

    RépondreSupprimer
  4. Vous voulez une blague plus drôle encore alors lisez cette article à tomber sur le cul.

    http://fr.news.yahoo.com/des-trafiquants-drogue-font-condamner-la-france-%C3%A0-111551938.html

    La cour des droits des délinquants comme autrefois quand Bernard Tapie a bénéficier des millions d'euros de prejudice morale, dés demain je deviens dealer puisque la justice paient la délinquance !
    VIVE LA FRANCE .

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La France a été condamnée jeudi par la Cour européenne des droits de l'Homme pour avoir présenté trop tardivement à un juge les membres d'un réseau international de trafic de stupéfiants.

      Le Junior, un caboteur soupçonné de se livrer au trafic de drogue, avait été arraisonné par la marine nationale, le 7 février 2008, au large des côtes d'Afrique de l'Ouest et convoyé jusqu'à Brest où l'équipage avait été placé en garde à vue dix-huit jours plus tard.

      Les marins, grecs et sierra-léonais, n'avaient été présentés au juge des libertés et de la détention que 48 heures après leur arrivée en France.

      La juridiction du Conseil de l'Europe souligne que, si elle admet qu'un justiciable ne soit présenté à un juge qu'après deux ou trois jours de garde à vue, il en va autrement quand celle-ci a été précédée de toute autre forme de privation de liberté.

      L'interdiction de détenir une personne hors du contrôle d'un juge est destinée à « permettre de détecter tout mauvais traitement et à réduire au minimum toute atteinte injustifiée à la liberté individuelle », affirme-t-elle.

      La Cour de Strasbourg rappelle au passage qu'elle ne reconnaît pas au procureur de la République à la française les qualités d'indépendance l'autorisant à se prononcer sur la légitimité de la détention.

      Sa jurisprudence sur la question a été établie dans un arrêt du 23 novembre 2010 relatif à la garde à vue de l'avocate France Moulin, amenant le gouvernement français à engager une réforme du statut des magistrats du parquet.

      La France devra verser 5.000 euros au titre du dommage moral à cinq des membres de l'équipage du Junior parmi lesquels trois ont été condamnés en février 2012 à des peines de dix à seize ans de réclusion criminelle.

      Supprimer
    2. le France est coutumier de ce genre de condamnation...
      il n'y a rien a redire et heureusement que ces institutions judiciaire existe...
      de plus y a quelque jours un juge d'instruction a demander qu'un prévenu en détention provisoire soit libérer et on ne peut que s'en féliciter n'en déplaise a tout les frustrés qu'ils n ont jamais mis un pieds dans une prison française, indigne de la république...

      http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/06/27/01016-20130627ARTFIG00423-prison-insalubre-un-detenu-pourrait-etre-libere.php

      Supprimer
    3. France Moulin hum...l'avocate qui, avisée que son client, un gros trafiquant de drogue, avait été mis en garde à vue, en avait averti le reste du réseau ou suis-je dans l'erreur? Je crois aussi me rappeler que nombre de ses confrères avaient exigé que de tels agissements ressortent des droits et devoirs d'un avocat vis-à-vis de la défense lato sensu de ses clients. En bref, qu'on exclue le délit "d'entrave" en faveur des seuls avocats.
      Entrave c'était pourtant un mot gentil (quand on pense aux ravages que font les drogues). Déjà que les paroles prononcées par les avocats en cours d'audience bénéficient d'un régime spécial, très protecteur pour le moins (en gros, ils peuvent insulter et calomnier la partie adverse aussi longtemps que ceci n'indispose pas Monsieur ou Madame le Président et sans pouvoir être inquiétés à ce sujet).

      Par ailleurs, il est très "hype" de demander que cesse "l'archaïsme" consistant à maintenir un lien hiérarchique entre le Ministère et les parquetiers.
      Cà promet - en particulier quand on voit le nombre de classements hallucinants, obligeant les demandeurs à prendre seuls les risques d'une "aventure pénale" : avocat puis procès, après quoi les innocents et les coupables se ressemblent terriblement bien souvent (pas seulement en raison des propos très relativistes sur le sort des victimes tenus par nos CHERS juristes nationaux).
      Déclarer une irresponsabilité de principe en leur faveur, c'est certainement "désengorger les tribunaux", c'est également nier par avance bien des victimes et bien des justiciables. Je regrette que Mme Joly, ex-magistrat, ait soutenu cette vraie mauvaise idée, baba-cool formellement, ravageuse en fait

      Supprimer
    4. Euh... 22:27... tout ça, pourquoi ?

      Supprimer
  5. Rien que pour avoir encore des Binaissades, je voterai pour Eugène en 2014 ! Non, je plaisante ...

    RépondreSupprimer
  6. 17H47 non validé : titre injurieux

    RépondreSupprimer
  7. http://alpernalain.blogspot.fr/2012/04/adevia-de-qui-se-moque-t-on.html
    c'est toujours plein pot pour la pompe à fric
    a qui le tour ?

    RépondreSupprimer
  8. tiens, une Alpernade : il s'agit de Mme SLAVERIO et non SAVERIO !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci, j'ai rectifié et présente mes excuses à Madame Slaverio...

      Supprimer
    2. Surtout que c'est Slaviero !

      Supprimer