jeudi 25 décembre 2014

Méfiez-vous, ces informations sont fausses !


Le Gorafi : 

- Nicolas Sarkozy, le nouveau président de l'UMP :« Je pense qu’il faut séparer Noëls en deux entités. Nos valeurs nous ont appris qu’il y a un seul Noël et il faut tout faire pour le protéger » a-t-il martelé. Nicolas Sarkozy a ainsi mis en évidence le fait qu’il faut qu’il y ait un Noël hétérosexuel et un Noël homosexuel, bien séparés et reconnaissables. « Les personnes de même sexe doivent fêter cette fin d’année, c’est une position que j’ai toujours défendue ». L’ancien président a poursuivi sa démonstration, souhaitant aussi modifier le nom de Noël pour les homosexuels, estimant là aussi qu’il s’agit de coller à la tradition de la famille française. « Je ne suis pas homophobe, je ne l’ai jamais été, mais Noël appartient à certaines valeurs dont on ne veut pas perdre le sens profond » affirme-t-il.
Le président de l’UMP suggère aussi des noms génériques comme un « Contrat de Fêtes de Fin d’Année » ou une « Journées des Cadeaux », et assure que le Noël homosexuel sera en grande partie identique comme le Noël hétérosexuel

- PARIS – Le scandale de trop pour le président Hollande ? Alors qu’il discutait avec des proches, le chef de l’Etat a promis qu’il allait regarder prochainement la série « Breaking Bad » dans les prochains jours, voire les prochaines semaines. Reportage.
« Je vais regarder cette série, je le promets » a publiquement déclaré François Hollande avant de prendre congé de ses hôtes. Pour beaucoup, ceci s’inscrit dans un cycle de promesses jamais tenues et d’une déception constante de son électorat, et ce depuis deux ans. « On pensait qu’il avait arrêté de faire des promesses intenables et irréalisables » regrettent plusieurs experts. Car pour beaucoup, il est peu probable que le président Hollande réussisse à tenir sa promesse d’ici la fin de son mandat. « Il est très pris. Et cette série demande un certain temps pour s’apprécier. Un temps qu’un président en action n’a clairement pas » commente un autre.

- BREST – Il avait décidé de consacrer sa vie à la politique mais toujours en restant le plus honnête possible. Mais après plus de 45 ans à refuser pots-de-vin et autres tentatives de corruption, il n’a, à ce jour, jamais remporté une seule élection.
C’est dès son plus jeune âge que André Manac’h attrape le virus de la politique. Âgé de 17 ans, il se présente comme représentant des étudiants, mais échoue après avoir refusé un accord secret avec son rival. « J’ai commencé ainsi : ne jamais faire de compromis et ne jamais se compromettre » raconte ce Brestois aujourd’hui âgé de 62 ans. Mais André ne se laisse pas abattre et va tenter de mener son combat politique. Cantonale, départementale, régionale, syndic d’immeuble. Il est de toutes les élections. Il veut montrer qu’on peut réussir en étant totalement honnête, pour casser les clichés et assainir le débat politique.
Mais il va échouer lamentablement, battu par ses adversaires qui se sont arrangés entre eux et ont fait des promesses inconsidérées à leur électorat.

- Une équipe de chercheurs du CNRS vient de dévoiler un rapport d’étude qui devrait faire l’effet d’une bombe. Selon leur recherche qui s’est étalée sur plus de 5 années, aucun individu sur cette planète ne serait épargné par la stupidité. « On a appliqué nos différents tests à des hommes, des femmes, des enfants, des personnes âgées, tous issus des quatre coins du monde et le verdict est le même : ce sont tous des abrutis de près ou de loin » explique Viviane Tran, qui dirige l’équipe du CNRS. Selon elle, ces « gros attardés » seraient à classer en trois catégories en fonction de leur degré de stupidité :
- Les débiles de base, incapables d’articuler une pensée cohérente élémentaire.
- Les « putain de crétins », généralement obstinés et accrochés à leurs points de vue stupides.
- Enfin viennent les abrutis dits « purs », concentré de stupidité.


Tomimag Les infos de l'Est et du Nord 
http://www.tomimag.fr/
Pour les 23 religieuses catholiques du couvent de Sainte-Marie de Pentecôte, le père Noël est arrivé avec un peu d’avance. Un site de commerce en ligne leur a livré par erreur une trentaine de sex toys pour une valeur marchande de plus de 1.200 euros alors que les nonnes n’avaient commandé aucun de ces objets.
Les 23 bonnes sœurs ont ainsi reçu par erreur un colis comprenant des godemichets, des anneaux vibrants, ou bien encore des boules de Geisha.
D’après notre enquête, ce colis était en fait destiné à un entrepôt de marchandises de la région, situé aux alentours de Lesquin (59) dans le Nord. L’erreur proviendrait d’un sous-traitant chargé du traitement des livraisons. « Le colis a été empaqueté avec la mauvaise étiquette et envoyé à une adresse erronée » explique un peu gêné, Jean-Christophe Samin, responsable de la logistique au sein de l’entreprise.
Surprise de l’arrivée du colis au sen du couvent, Soeur Cécile, la mère supérieure, a souhaité obtenir des explications. « J’ai personnellement contacté l’entreprise de livraison et ils m’ont répondu que c’était une erreur et que nous pouvions conserver tout ce qui était arrivé » raconte-t-elle.
-  Le père Damien, comme l’appelait ses paroissiens, officiait depuis plus de trois ans à Tourcoing sans que personne n’ait remarqué qu’il était en réalité… une femme.
Vanessa L. 47 ans, ancienne danseuse de modern-jazz originaire de Roubaix, a décidé de consacrer sa vie à la religion après un parcours chaotique qu’elle peine à évoquer. «J’étais arrivée à un moment décisif de ma vie. Après un décès dans ma famille, j’en voulais à la Terre entière. Agressive, j’avais le diable au corps, j’étais perdue. »  Très croyante, elle leva les yeux au ciel et eut une révélation : elle s’imagina en homme d’église.
En 2011, cette fervente pratiquante réussit à se faire engager comme curé à l’appui d’une fausse identité et d’un faux certificat d’ordination acheté en Thaïlande.
Très à l’aise dès son arrivée à l’église, le père Damien comme elle se faisait appeler, faisait le bonheur de sa paroisse. « Un vrai canon » se souvient une fidèle. Elle gravit rapidement les échelons jusqu’à obtenir le privilège de célébrer la grand-messe dominicale. Tourmenté par des sentiments mélants désir et dédain, Frère Mathieu, son collaborateur et fidèle vicaire, se souvient « Il avait une très jolie soutane et une magnifique voix de castrat, on lui aurait donné le bon dieu sans confession » admet-il.
Selon ses supérieurs directs, le père Damien était un homme pieux qui ne semblait ressentir aucune attirance particulière pour les enfants de chœurs. « Cela aurait du nous mettre la puce à l’oreille, on aurait du se méfier » ajoutent-ils l’air amusés, complices puis gênés.








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