mercredi 3 juin 2015

Changer la politique (1) : le contexte général


L'abstention croissante, le vote FN de défoulement, l'image dégradée des hommes politiques : autant de signes que quelque chose ne fonctionne plus dans la vie politique française. Et pourtant, la gestion de la cité (sens étymologique du mot "politique") est une obligation pour pouvoir "vivre ensemble". Avant d'analyser les raisons de la désaffection ou du désintérêt des Français pour cette noble tâche de participer à l'administration d'une collectivité publique, rappelons quelques éléments tirés de l'examen de l'Histoire et du contexte mondial actuel :
- les idéologies nées aux 19ème et 20ème siècles ont fait faillite et, en particulier, le socialisme et le communisme. Faut-il en conclure qu'il ne peut plus y avoir d'idéologie ? Cette utopie, en tant que système pour bâtir des sociétés justes et humanistes, s'est dévoyée en totalitarisme (Cuba, URSS, Chine maoïste...). On ne fera plus (?) le bonheur des gens en imposant un système par le haut;
- les crises économiques et surtout financières ont débouché sur des bouleversements politiques faisant place à des régimes autocratiques. Dans le même temps, pour faire face au chômage, les dirigeants pratiquent d'illusoires politiques de restrictions immigratoires, tout en désignant des boucs-émissaires (les étrangers, les Juifs, les Francs-Maçons). Tout cela entraînant haine et repli sur soi;
- le rejet de l'autre tend à gommer les valeurs héritées du siècle des Lumières et de la Révolution : liberté, égalité, fraternité. Ces valeurs de progrès, social notamment, sont combattues par les tenants du repli sur soi. Liberté d'expression, égalité de traitement quelle que soit son origine, fraternité pour vivre en osmose : les tenants de la tolérance ont déjà du mal à défendre ces principes républicains en temps de paix, alors en temps de troubles... Aujourd'hui racisme, antisémitisme et homophobie sont de mise en France, les droits de l'Homme sont souvent bafoués et leurs défenseurs ("les droitsdel'hommiste" dit même un ancien président de la République !) récusés...
- la laïcité bien comprise (et non dévoyée) est également un ferment d'une Société apaisée. La neutralité de l'Etat et l'absence de privilège accordée à une croyance permettent de juguler l'ostracisme. La laïcité est mise à mal par ceux qui pensent qu'elle représente la défense des acquis de l'Histoire chrétienne de la France;
- l'idée européenne est combattue par ceux qui prônent le repli sur soi. Le conservatisme s'oppose au sens de l'Histoire. L'Europe est une nécessité, son existence, un combat de tous les jours... Certes, en période de crise, elle est encore plus combattue alors qu'elle devrait permettre de trouver des solutions collectives aux difficultés communes...
- enfin, l'actualité est anxiogène : la volonté hégémonique de la Russie, de la Chine et des Etats-Unis fait planer l'idée d'une déflagration mondiale (d'où, d'ailleurs, la nécessité d'une Europe forte et unie), la menace islamiste, le réchauffement climatique et ses conséquences prévisibles à long terme, la famine, la pauvreté et les épidémies, autant de dangers qui concourent au sentiment du "chacun pour soi" dont on sait qu'il n'a jamais rien résolu, bien au contraire...

A suivre 
 

44 commentaires:

  1. "La démocratie participative n'est nullement réductible à la « démocratie d'opinion » en cela qu'elle crée les conditions nécessaires au déroulement d'un débat public ouvert et démocratique. Inspiré par des penseurs de la délibération collective tels que Jürgen Habermas et James S. Fishkin, l'impératif délibératif se fonde sur une logique simple : meilleure est la qualité du débat, plus légitimes et efficaces sont les décisions qui en découlent."
    Cela n'a évidemment rien à voir avec les référendums "pensés" par l'extrême droite, toujours proposés au moment des périodes de troubles et qui ne jouent évidemment que sur l'émotion et jamais la raison.

    "Toute la question porte alors sur les conditions d'un bon débat et notamment la qualité de la procédure délibérative pour arriver à ce qu'Habermas appelle « une entente rationnellement motivée », notamment la liberté des participants au débat (ils doivent être « actifs et ouverts », « exempts de toute forme de contrainte ») et du débat lui-même (il doit être public et potentiellement ouvert à tous). Ceci, bien sûr, sans aboutir à une définition excessivement normative du « citoyen idéal » dont l'effet pervers peut-être la disqualification du « citoyen réel ».

    Y arriverons -nous quand même ceux qui se disent, se disaient républicains, qui ont combattu les idées fascisantes , rallient le pire, collaborent, excusent les pensées abominables, les actes anti-républicains? Quand la presse se fait l'écho de propos insupportables, quand l'abstention aux élections oscille en 40 et 60 pour cent?
    Faudra t-il connaître le pire pour réagir?

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    1. C'est exactement ce que j expliquais à une bande de joyeux adolescents de la cité de la bourgogne lundi soir à Tourcoing, avant qu ils ne mettent le feu à mon vehicule et que je sois exfiltre inextremiste par la police.

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    2. Et ça, ça veut faire croire que ça va faire avancer les débats. 13H17, quel rapport? Ce que vous "décrivez" est une affaire de police... Oui, on sait, les jeunes sont des pourris, c'est ça?

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    3. 13H17? réponse type de l'extrême droite!

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    4. F. Dubet, La galère. Les jeunes en survie, Paris, Fayard, 1987.

      II semble que ce type de violence se développe lorsque la situation de domination n'autorise pas la création d'un conflit et d'une constatation. En effet, nous avions observé que là où existait une forte conscience de classe ouvrière, les jeunes qui étaient pourtant en situation de domination, n'adoptaient pas ce type de conduite. La conscience de classe permet d'abord de résister au stigmate social.... Pour reprendre l'expression de Sartre, ils ne se laissent pas réduire au regard de l'autre. Par ailleurs, la conscience de classe donne un sens à la situation subie ; la domination sociale étant nommée et désignée, le conflit social devient possible;;. Enfin, l'action collective apparaît possible par le biais d'organisations, syndicats qui peuvent mobiliser l'indignation et donner des espoirs.

      Les banlieues rouges sont remplacées par les grands ensembles hétérogènes de banlieues, La conscience de classe ouvrière s'épuise. A sa place, se forme une révolte sans objet, une violence, ce que les jeunes appellent très justement la "rage" et la "haine". ... Elles signifient que les sentiments de domination et d'exclusion ne disposent pas de canaux idéologiques et de moyens institutionnels leur donnant forme. II reste des émotions, des dispositions à la violence sans objet, sans adversaire stable et prévisible, une violence vécue comme un passage à l'acte...

      C'est cette nature de violence, de rage qui commande l'émeute. Et ceci en France comme ailleurs, car les mécanismes de l'émeute présentent de grandes similitudes. Dans tous les cas, l'émeute apparaît au terme d'une série de violences policières, de bavures et de dénis de justices. Elle apparaît aussi dans les quartiers ou dans les situations où les relations entre les jeunes et les policiers ou les vigiles ne sont plus médiatisées par rien. ..Mais l'émeute n'est pas un mouvement social, elle en est même le contraire. Elle est autodestructrice, sa rage se porte contre le quartier lui-même et elle n'a rien à négocier Elle retombe aussi rapidement qu'elle explose, de façon imprévisible. Après coup, elle est considérée comme la seule ressource dont disposent des acteurs exclus et marginalisés ; les élus et les pouvoirs publics cherchent des interlocuteurs dans le quartier et une partie des jeunes acquiert une relative capacité de négociation. L'émeute mêle toutes les violences, la violence "ludique" des plus petits, la défense d'une territoire contre les autres, la violence délinquante des pillages et des vols, la violence de la rage.

      Si l'on voulait vraiment définir un caractère nouveau de la violence juvénile dans la France contemporaine, c'est du côté de cette "rage" qu'il se situe. Nous avions vécu une longue institutionnalisation des conflits sociaux, un long processus d'intégration conflictuelle par le mouvement ouvrier. Ce mécanisme s'est rompu... Alors réapparaît chez les jeunes une vieille violence : celle des classes dangereuses. "

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  2. Croyez vous vraiment, sauf à vouloir vous rassurer, que le vote fn sert toujours de défouloir. Le Pontet n'est il pas un vote d'adhésion.
    les dirigeants pratiquent d'illusoires politiques de restrictions immigratoires, tout en désignant des boucs-émissaires (les étrangers, les Juifs, les Francs-Maçons), vous dites. Quand a commencé cette restriction et qui désigne ces boucs émissaires ?

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    1. - Non le vote FN n'est pas toujours un vote défouloir
      - Les restrictions migratoires ont commencé dans les années 1930. Les boucs-émissaires sont désignés généralement par le pouvoir civil ou le pouvoir religieux et cela remonte à fort longtemps. Tout cela est bien connu, aussi je m'étonne de ces questions...

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    2. Le vote fn est majoritairement un vote défouloir, en temps de crise. Quand à ceux qui adhèrent, no comment.

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    3. Une voix est une voix.

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  3. Pendant que l on balayé la misère du monde sur des trottoirs parisiens, le sénateur EELV Jean François Placé etait filmé à rolland Garros trinquent au champagne avec DSK. Bavo pour l image Mr

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    1. Pendant que ça parle de la France et des pauvres français, JMLP planque son argent en Suisse pour échapper à l'impôt pas assez patriote sans doute et la répudiée goûte au bonheur des terrasses du très chic seizième arrondissement à 100 euros l'apéro amélioré, scolarise sa fille dans un lycée catho très chic très cher, vit dans une grande maison avec piscine. Bravo pour l'image, PDR;

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    3. Toi t'es bien là à 14:30, 14:31, 14:36, 14:44, 15:05, etc...
      Si tu crois que ta sur-présence va changer les choses, ça pas une poutre que t'as dans l’œil mais un arbre, que dis-je, toute la forêt !
      Staline a usé du même procédé. Qu'il ait gagné son combat du temps de son vivant (en éliminant systématiquement toute critique) ok. Mais il l'a perdu au regard de la Morale et de l'Histoire !

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    4. Elle valse à vienne avec des nazis. Bravo pour l'image. PDR

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    5. fn, eelv même combat 14h36

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    6. La gauche caviar

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    7. 10:39 : expliquez nous ce qu'est ce combat identique...

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    8. Remplace Staline par Hitler 16H, 12H44, 13H17, 17H27... Il a aussi perdu au regard de la morale et de l'histoire.
      Si tu crois que ta sur-présence va changer les choses, ça pas une poutre que t'as dans l’œil mais un arbre, que dis-je, toute la forêt !
      Tu mènes un combat contre le front, oui mais tout contre, hein ! Tu te ridiculises un peu plus chaque jour.

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    9. 18:10, quand on a pas d'argument on répète.

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    10. On répète pas , on dit staline ET hitler

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    12. 6h56 : je vous ai posé une question hier à laquelle vous n'avez pas répondu ( (16:39)

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    13. Il n'a pas de réponse. C'est un feneux.

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    14. Ah, l'argument. Bravo 09:48. Et on s'étonne que vos "feneux" augmentent. Avec un tel mépris et aucun programme, c'est pas étonnant.

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    15. Et toi ton programme, on attend toujours....

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    16. Le tien c'est "ohlala, ce sont des méchants féneux". Wouaw !

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    18. Oh oui. En effet, quelles limites dans vos messages 09:48. Limite inquisition même.

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  4. Vous mettez en avant le repli sur soi. Certes, mais un repli imposé par les événements. Les "restrictions immigratoires" sont un fait que je ne nie pas ni n'encourage (comment en vouloir à quelqu'un qui rêve d'Eldorado, fusse-t-il faux), mais il serait bon de prendre conscience sur ce que l'on fait subir à ceux qui vivent déjà ici. Si la seule proposition est de taxer encore plus les pauvres, il ne faut pas s'étonner que ces pauvres n'aient envie de partager leurs miettes avec des pauvres qui leurs sont totalement étrangers. Surtout, lorsqu'une minorité (dont ceux qui font les lois) profite largement du gâteau ! Bref, les gros porcs au ventre plein qui en prime font la leçon à ceux qui ont faim, c'est le parfait chemin vers le fascisme, vers l'abime.

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    1. Et bien taxons les riches, les actionnaires! Qu'attendons nous? Et ce n'est pas l'extrême droite qui le fera!

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    2. 13H53, j'ai lu "Eldorado " de Laurent Gaudé...
      Oui, vous avez raison, leur sort n'est pas enviable mais au moins, ils ne craignent plus pour leur vie.
      Que ferions nous, nous, vous, moi, si nous vivions dans une dictature, dans un pays en guerre, dans un lieu de misère, de crimes de masse, de viols, de famine où l'on risquerait chaque jour notre vie ou celle de nos enfants? Que ferions nous?
      Peut-on penser que ces migrants risquent leur vie sur les bateaux de la mort pour simplement venir " profiter"? Nous profitons bien de leur pétrole et de leurs ressources dans certains de leur pays d'origine...
      Nous devons les accueillir en Europe, c'est un devoir . Sinon, dans quelques années cela sera qualifié , à juste titre, de crime contre l'humanité.

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  5. Pour écarter la tentation du populisme improductif et dangereux, repolitisons le débat européen comme le propose Habermas.

    "POUR UNE RE-RÉGULATION EUROPÉENNE, CONTRE UNE DÉMOCRATIE DE FAÇADE

    Le modèle de société européen déploré par tant de monde repose sur le rapport interne de l’Etat social et de la démocratie. Si la progression permanente, depuis deux décennies, de l’inégalité sociale (une tendance empiriquement prouvée pour les pays industriels), ne se laisse pas inverser, ce rapport se déchirera.

    Cette dérive vers une scission de la société se combine d’ailleurs à une tendance alarmante, à une paralysie politique croissante, ainsi qu’à un désintérêt prononcé des électeurs appartenant la plupart du temps aux couches les moins favorisées, c’est-à-dire à l’effritement de la représentation égale de l’électorat et du spectre entier de ses intérêts.

    Il n’est nul besoin de partager les prérequis marxistes pour reconnaître dans le déchaînement du capitalisme des marchés financiers l’une des causes décisives de cette évolution – et pour en conclure qu’il nous faut mener à bien une re-régulation du secteur bancaire mondial se donnant toutes les chances de réussir, et avant tout dans un territoire économique ayant au moins le poids et la taille de la zone euro."

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/02/23/repolitisons-le-debat-europeen-par-jurgen-habermas_4366441_3232.html#w8kf0uPYQwyVsauf.99

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    1. Commençons déjà par virer tous les baratineurs et les baratineuses.

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    2. Vous appelez baratineur celui que vous ne comprenez pas, 16:00 ? Evidemment c'est plus facile...

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    3. Non alain, il parlait de le pen et de briois! Les enfumeurs baratineurs.

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    4. Non, il parlait de la bande au mou.

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    5. Ah bon, ils ont des problèmes d'érection aussi en plus de problèmes avec la démocratie?

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    6. Oui, il en a et c'est pour ça qu'il se tape des viocs.

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  6. Je viens de lire les commentaire postés aux alentours de 13-14h aujourd'hui. Et je sui effaré par le niveau. La pyromanie politique incarnée.
    Concernant la cité Bourgogne, il s'agirait d'une agression et 13:17 n'a jamais écrit que les jeunes était TOUS pourris comme vous l'affirmez 14:30. Manipulation 1.
    Plus loin, une autre personne signale la présence de Placé à Roland Garros. Ce à quoi est répondu que la Lepen (tiens, pour changer) aurait fait pire. Donc parce qu'elle aurait fait pire, il ne faut surtout pas parler de l'attitude de ce type. Bref, détournons le sujet. Manipulation 2.
    Et enfin, sur la question du vote fn, il est DE MOINS EN MOINS un vote défouloir. Il est clair qu'il devient de plus en plus un choix (mauvais, oui) mais un choix assumé. Pourquoi ? Parce que les élites traditionnelles et ceux qui les défendent, n'est-ce pas Mary, font n'importe quoi.
    Personnellement, je ne fais pas ce choix, mais je comprend les raison qui poussent les autres électeurs à le faire. Et ce n'est certainement pas vos mensonges, ni vos manipulations..., qui vont les faire revenir dans le "droit" chemin.
    Pyromane de la politique va !

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    1. 15H56 : vous avez oublié de nous dire votre choix, alors que vous écrivez : " les élites traditionnelles et ceux qui les défendent, n'est-ce pas Mary, font n'importe quoi." . Un peu facile, non ? "Les autres ne savent pas, mais moi je sais et je ne vous dirai pas ce que je sais..."

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    2. Prend un tranxène et un bon verre de rhum 15H56. On connait toujours pas son choix. Le parti pas traditionnel du vent ou la collaboration. Il est toujours énervé, là il pète les plombs, quand Mary dénonce "les mensonges et les manipulations" de l'extrême droite pyromane qui arrête pas de foutre de l'huile sur le feu, elle, de dire n'importe quoi, elle l'extrême droite,. Suspect, un pas fn mais...

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    3. Lui ,15H56 il aime les partis pas traditionnels... Plus menteur, manipulateur, toxique que lui , y'a pas!

      "L’enquête sur le micro-parti de Marine Le Pen, et l’agence de communication Riwal, débouche désormais sur l'implication présumée de l'état-major du Front national. Le montant des détournements est estimé à 10 millions d'euros sur le financement des campagnes présidentielle et législatives de 2012. Le trésorier du parti, Wallerand de Saint-Just, a été placé aujourd'hui sous le statut de témoin assisté.

      Marine Le Pen ne pourra plus dire le contraire, le Front national est officiellement mis en cause dans une « affaire » de financement illicite. L’information judiciaire ouverte sur les relations entre le micro-parti de Marine Le Pen – Jeanne –, et l’agence de communication Riwal, dont les principaux responsables ont déjà été mis en examen, débouche désormais sur l'implication présumée de l'état-major du parti..."

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    4. 15:56 n'aime pas LES partis. Point. Et parmi eux celui que tu places au centre de la vie politique pour jouer sur les peurs. Pour préserver les acquis d'une minorité. Plus menteur/manipulateur que 19:51 y a pas !

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