mercredi 16 février 2011

Un commentaire devenu article...


Je me suis permis de reprendre, ci-après,  un commentaire sous l'article d'hier, signé par le toujours aussi lucide Cimares. Il sera plus visible, ici, car tout le monde ne lit pas les commentaires. J'ai modifié quelques détails pour que cela soit compréhensible pour ceux peu habitués aux arcanes de la politique héninoise...A noter que l'auteur s'adresse directement au blog sur lequel est paru l'article.



"Sur le blog de l'Alliance Républicaine (constituant la majorité municipale), l'article du jour se termine par une interrogation: "pour le plus grand bonheur de qui ?"
Et, bien sûr, l'orientation de l'article vise à ce que chacun réponde: de l'extrême droite !. Comme si, la montée de l'extrémisme était due au discours d'Alain Alpern sur son blog!
Je réponds donc ceci:...Pour le plus grand bonheur de la démocratie !

C'est intéressant de retrouver des articles de fond sur ce blog.
Cela manquait un peu et on constate qu'à n'en plus rédiger, l'habitude s'est perdue au regard de ce que nous avons pu lire il y a quelques années !
Où est l'époque des prises de position fermes ?
A la lecture du sujet du jour, je ressens comme une différence de traitement, comme si le combat de l'AR était terminé avec la mise à genou de l'ancien maire.
La prudence est extrême et l'on ressent l'expression d'un malaise à l'égard du blog d'Alain Alpern, comme si ce qu'il écrivait aujourd'hui pouvait être sujet à caution... Pourtant ses écrits sont étayés de faits et de constatations repris dans des documents objectifs. Il y donne une tonalité tout à fait semblable à celle que l'on pouvait rencontrer sur le blog de l'AR, il y a quelques années.

Et pourtant cette force de conviction a disparu de vos écrits!
Pourquoi ce changement?
Comment se fait-il que vous soyez ainsi devenu timorés alors que l'on vous a connus beaucoup plus mordants? timorés au point de rédiger ce papier en tentant maladroitement un équilibre dont on sent bien qu'il est lui-même déséquilibré en faveur du "système" que vous n'hésitiez pas à mettre en cause il y a encore deux ans.
Est-ce le fait d'avoir été élu qui autorise un tel changement d'analyse et une telle soumission à la culture politique environnante? ou est-ce le prix à payer pour avoir l'onction du pouvoir en place? mais pourquoi donc avoir cherché cette onction puisque vous aviez vous même décrit ses turpitudes?"

Cimares

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