jeudi 2 août 2012

Gérard Dalongeville et Jean-Pierre Kucheida : la bataille continue



L'Avenir de l'Artois  jeudi 02.08.2012, 18:23
Décidément, le 11 octobre prochain, le tribunal correctionnel de Béthune résonnera des joutes verbales des avocats d'hommes politiques qui ont défrayé la chronique lors des dernières élections.

D'abord, Jean-Luc Mélenchon, dirigeant du Front de gauche, qui attaque Marine Le Pen, présidente du Front national pour des tracts distribués lors de la campagne des élections législatives. On se souvient d'un tract en particulier où le candidat du Front national était représenté en Adolf Hitler (AA: non, c'était JLM)

Autre procès fixé au 11 octobre : celui qui opposera Gérard Dalongeville, ancien maire d'Hénin-Beaumont à Jean-Pierre Kucheida, maire de Liévin, pour l'avoir qualifié de « malhonnête » dans un tract distribué le 6 juin dernier sur la 12e circonscription. Le fond de l'affaire n'a pas été évoqué lors d'une première audience de ce jeudi 2 août. Le président Brandly a fixé à 1 000 euros, la consignation que devra verser le plaignant.
L'affaire sera certainement mise en délibérée. Dans l'attente de connaître le jugement, Gérard Dalongeville sera de nouveau devant la justice à Dunkerque. En effet, dès le lendemain, le 12 octobre dans la matinée, Gérard Dalongeville se retrouvera face à son ancien avocat, maître Catoire, à qui il reproche, entre autres, une violation du secret d'instruction.

2 commentaires:

  1. merci de nous tenir au courant car les journalistes écrivent ce qu'ils veulent bien

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  2. Quant à Cattoir, il a défendu le Département du Nord dans une affaire où un agent a été injustement révoqué sur des faits non matériellement prouvées (preuves informatiques donc virtuelles). Le tout certainement car il dénonçait le management comportementaliste quasi sectaire du directeur juridique.

    Cattoir a su s'adapter à la défense de l'agent (en donnant à chaque fois des arguments inverses la plupart du temps basés sur aucun élément de preuve) sans être rappelé à l'ordre par la justice administrative qui l'a toujours suivi.

    En conclusion, un agent révoqué pour des soi disants faits de tracts satiriques pendant qu'ailleurs des agants publics ayant dealé ou blessé des collègues à l'arme blanche n'ont jamais été révoqués ou ont vu leur révocation annulée.

    Il se passe des choses bien étranges dans notre Région, dignes de pays exotiques.

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