J'ai reçu pas mal de vœux à vous transmettre, ce que je fais avec plaisir. Commençons par les femmes (pas nombreuses puisqu'il n'y en a qu'une, et encore...) et les hommes politiques français :
- François Hollande (futur ex-président) : Je vous souhaite que, comme pour moi, 2017 soit une année de renouveau. De nouveaux horizons personnels apparaissent et une nouvelle vie peut commencer !
- Manuel Valls (ex-premier ministre) : Si je suis élu président de la République, j'entends rendre à notre pays sa vie démocratique et pour cela je ferai voter un article 49-1 qui abrogera le sous article-3 et donc interdira toute possibilité de passer outre l'avis du Parlement. Je vous souhaite donc une année 2017 toute en démocratie...
- Bernard Cazeneuve (actuel premier ministre) : Je n'ai pas beaucoup de temps, mais je souhaite une bonne année à tous les Français. Je serai entièrement disponible à partir de début mai et je vous en dirai plus...
- Nicolas Sarkozy (ex-candidat et ex-président) : avec Carla, on vous souhaite quand même une bonne année. Mais c'est pas gagné, quel que soit le candidat que vous désignerez les 23 avril et 7 mai prochains. Un seul aurait pu vous éviter ce qui va arriver... Ce n'est que partie remise !
- François Fillon (ex-premier ministre et candidat) : 2017 sera une grande année ! Surtout si je suis votre président. Meilleurs vœux aux assurés sociaux qui verront leurs remboursements de frais de soins augmenter, et aux fonctionnaires en place et à tous les nouveaux fonctionnaires que j'embaucherai.
- Alain Juppé (ex-premier-ministre et ex-candidat) : Mes bons vœux aux Bordelais pour 2017. Dommage que les autres Français ne pourront profiter de mes compétences ! La prochaine fois, peut-être...
- François Bayrou (ex-candidat) : 80% des Français "centristes" n'auront personne pour qui voter en avril ! Dommage... Je leur souhaite quand même une année pas trop difficile à vivre...
- Marion (dite Marine) Le Pen (candidate) : Je souhaite aux Français qui me rejoindront dans cette année de libération de la France, de bonnes retrouvailles avec des concepts d'antan : le "franc", la "douane", la "peine de mort", la "femme au foyer", le "protectionnisme", la "censure", le "non-remboursement de l'avortement", et tant d'autres qui feront votre joie si vous votez pour moi !
- Jean-Luc Mélenchon (candidat) : Je souhaite que les Français fassent un choix courageux en m'élisant président de la République. Comme les Anglais, les Russes, les Etatsuniens et tant d'autres, il faut voter pour celui qui représentera le peuple et entendra sa voix.
- Arnaud Montebourg (candidat) : Achetons français, votons français, démondialisons français... Bonne année aux Français et notamment à ceux qui voteront pour moi !
- Benoit Hamon (candidat) : A tous ceux qui veulent voter vraiment à gauche, c'est-à-dire pas à l'extrême-gauche, ni à droite de la gauche, il n'y a qu'une seule solution : votez pour moi. Mais, à tous les Français, je souhaite une bonne année !
- Emmanuel Macron (candidat) : Je ne suis ni à droite, ni à gauche, je marche vers l'avant, je suis neuf et jeune, dynamique et créatif... Si vous votez pour moi, vous ne le regretterez pas ! Bonne année à tous !
- Yannick Jadot (candidat Europe-Ecologie-Les Verts) : Je vous souhaite une bonne année, c'est-à-dire marquée par le combat écologique... Je connais les Français et leur ai évité Cécile Duflot, Jean-Vincent Placé et Eva Joly. Profitez-en !
A part les douanes, je vois pas où est le problème... mouarf!
RépondreSupprimerNon seulement les feneux ne sont pas fiables mais ils sont incapables et dangereux! Mais ça, on le savait qu'il se passerait les mêmes catastrophes que dans les années. Ils ont été virés à grand coups de pieds dans l'arrière train!
RépondreSupprimer" Les défections seraient-elle en train de se multiplier dans les villes FN ? / France Inter
Selon un décompte de l’AFP, environ 28% des conseillers municipaux frontistes élus en 2014 ont aujourd'hui démissionné, soit environ 400 élus, sur 1 500 en France.
La palme revient à Cogolin, dans le Var. Dix démissions dans l’équipe du Maire Marc Etienne Lansade, un proche de M Le Pen, parachuté à Cogolin, où Anthony Giraud, militant local du FN, lui a ouvert toutes les portes.
Anthony Giraud raconte "Quand il est arrivé, je me suis jeté dans la campagne. Il a un bon bagou, il arrive à se vendre, il a expliqué qu’il était dans l’immobilier. Pour moi c’était le FN tête haute, mains propres. Et malheureusement, pas un seul conseil municipal sans un projet immobilier, sans projet de vente, parce que Mr Lansade est en train de dilapider le peu de biens communaux que Cogolin possède. Des conseils municipaux où il n’y pas de réunions préparatoires. Tout est ficelé d’avance, il faut voter pour. Tout le monde doit dire amen".
Anthony Guiraud a lâché le maire l’année dernière, suivi depuis par six élus
Comme l’opposition, ils lui reprochent son entourage, notamment un conseiller en urbanisme, cousin d’Isabelle Balkany, ancien directeur de la société d’aménagement de Levallois-Perret au cœur des enquêtes judiciaire sur le système Balkany. Ses méthodes aussi : une concession de plage cédée à une connaissance personnelle. La vente du dernier terrain communal en bord de mer : 13 hectares pour 35 millions d’euros, bétonnage assuré.
On a aussi vu en conseil municipal, la police municipale retirer le micro à un adjoint au maire qui a fait défection. Pascal Cordé explique : "Le FN se trouve à ma place en général. C’est eux les opposants qui prennent le micro, qui dénoncent ! Et je pense que ce n’est jamais arrivé à un élu du Front national qu’un autre parti leur retire le micro, en tous cas de la sorte. Mépris total, complètement trahi. Il a dit ‘moi je viens à Cogolin, avec moi il n'y aura pas de clientélisme, au moins je ne connais personne’ . En fait, il ne fait que du clientélisme. Mais attention, clientélisme de Levallois Perret ! Pas de Cogolin !"
La réponse du maire face à ces défections c’est de dénoncer un procès d’intention, des règlements de compte, un acharnement médiatique! Marc Etienne Lansade est confiant. Il va renflouer Cogolin, refaire aussi le port et baisser les impôts comme il l’a promis. A condition de ne pas perde encore deux élus de sa majorité, il faudrait alors une élection. Ce serait un scénario noir pour Marine Le Pen. Ces municipalités frontistes doivent être exemplaires jusqu’à la présidentielle.
Les nullissimes feneux... potes aux Balkany... suite et fin.
RépondreSupprimer"A Marseille aussi ça bouge chez Stéphane Ravier, maire du 7ème secteur
Presqu’une dizaine de démissions, là encore depuis 2014. Dont Maria Mustachia, qui avait rejoint le FN pour la campagne de Stéphane Ravier. Il l’a ensuite nommée adjointe aux Finances. Au début, elle accède aux documents, aux réunions, elle fait le budget, et puis ça se détériore. Maria Mustachia : "Je me suis aperçue au fil des mois que la situation se dégradait. Les projets n’ont pas été mis en application. La Mairie centrale nous a retiré un demi-million d’euro sur notre budget de fonctionnement car le taux de réalisation était le plus bas de tout Marseille. Rien n’avait été fait ! Je n’étais plus informée des réunions, plus conviée. Nous nous sommes retrouvés avec des dossiers imposés. Des validations de vote imposées. Stéphane Ravier a décidé de prendre tout en main. C’est même plus autoritaire, c’est de la DICTATURE".
Ambiance cabinet noir et dérive autoritaire. Les dissidents marseillais appellent leur ancien mentor "le dictateur nord phocéen". Stéphane Ravier, lui, les qualifie de "chevaliers de l’apocalypse" : "J’ai fait confiance à des gens que je ne connaissais pas nécessairement, qui étaient des militants, qui semblaient être des patriotes –c’est ce qu’ils me disaient- et manifestement, je me suis trompé sur leur loyauté et sur leur sincérité. Ils ne se sont pas intéressés à l’histoire des partis politiques, qui tous exigent une certaine discipline. Je crois qu’ils n’ont pas la culture du parti".
Qu’en est-il des autres villes FN
Ce n’est pas dans les proportions de Marseille ou Cogolin, mais plusieurs défections et eu lieu aussi au Luc et à Béziers, chez Robert Ménard. Et puis à l’autre bout de la France, en Lorraine, où le FN a séduit les milieux ouvriers. Le Maire d’Hayange a aussi lui perdu quatre adjoints sur une affaire de financement de campagne. Parmi eux, Damien Bourgois : "Au début j’étais convaincu, on m’a fait venir, on m’a dit : 'on a besoin de gens comme toi. On va réussir à changer les choses, en mieux'. Et puis ce n'est que longtemps après qu’on comprend que tout ça c’est une grande supercherie. Derrière ça, il n’y a que des gens opportunistes, qui sont là pour se remplir les poches. Parce que j’ai vu comment fonctionnait le Front National à l’intérieur".
Du côté du FN, on ne nie pas ces départs mais on les minimise. Il y a toujours "des déçus, des aigris" dit-on. Ce turn-over ferait partie de la vie d’un parti Il révèle surtout la fébrilité de l’ancrage local dont le FN a fait sa priorité.
Aurélien Colly -Journaliste"
La vérité sur l'imposture FN par la bouche d'un ex feneux, c'est celle là: "on comprend que tout ça c’est une grande supercherie. Derrière ça, il n’y a que des gens opportunistes, qui sont là pour se remplir les poches. Parce que j’ai vu comment fonctionnait le Front National à l’intérieur".
Non la palme à Sallaumines !!!
Supprimer14eme suivant de liste sur la liste FHAINE .
Qui dit mieux?
C'est pas en répondant ou en abondant à tes propres messages que tu vas y arriver.
SupprimerC'est pas en trollant, 17H52, que tu vas réussir à éviter la vérité sur l'imposture FN et la façon dont ça dysfonctionne dans toutes les mairies fachos, comme dans les années 90. De Sallaumines à Hénin même combat contre le Fhaine!
Supprimer06h13 qui parle de troller. Faites ce qu'il dit pas ce qu'il fait!
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