Trois témoignages sur la gestion municipale au quotidien du Front national vont se succéder dans les jours qui viennent et éclaireront la réalité de terrain : un roman-photo, un film et un livre-témoignage.
Nous aurons l'occasion d'en reparler dès que nous aurons pris connaissance de ces "documents".
On peut également espérer que le rapport de la Chambre régionale des comptes viendra prochainement compléter les trois "œuvres" précitées...
"Comment le Front national a-t-il répondu aux attentes dans les villes qu’il gère depuis 2014 ? Fruit d’une enquête menée durant deux ans à Hayange, Beaucaire et Hénin-Beaumont, par l’historienne Valérie Igounet et Vincent Jarousseau, photographe, « L’Illusion nationale » apporte un éclairage saisissant, le reflet à l’échelon local de ce que pourrait donner une France gérée par le FN (La Voix du Nord 13/2/2017)
Les Arènes - XXI, 168 pages, 22,90 €.
"Alors c’est vrai, nous sommes porteurs de propos qui sont élogieux à l’égard de la municipalité, on en a conscience. Mais on met quand même des réserves dans le hors texte, qui est essentiel."
"Chez nous" (sortie du film : 22/2)
Télérama 13/2 : "Lucas Belvaux montre comment un parti populiste imaginaire (« le Bloc ») s’implante dans une petite ville du nord de la France : en instrumentalisant une infirmière connue et appréciée de tous, donc candidate locale idéale."
"Vous faites état, dans votre film, d’une conversion collective aux idées du FN dans la vie quotidienne...
Oui, un discours se banalise. Une parole se libère. Les gens glissent, imperceptiblement d’abord, puis franchement, du ressentiment à la peur et à la haine. Le discours dominant et médiatique a considérablement changé en quelques années. Tout à coup, la parole d’Eric Zemmour et celle de Dieudonné se sont répandues à toute vitesse dans l’espace public. Le surmoi collectif a explosé. Les cadres du Front national le savent. Avant, ils se vantaient de dire tout haut ce que l’on n’osait pas dire. Maintenant, ils savent qu’ils n’ont plus qu’à laisser dire, à acquiescer. Le vote FN est devenu le seul exutoire pour crier sa colère, quelle qu’elle soit. C’est un vote pulsionnel. Beaucoup d’électeurs se disent qu’ils ne voteront FN qu’au premier tour, juste pour exprimer leur exaspération. Mais ensuite, le pas est facile à franchir entre le premier et le second tour. La colère, on ne sait jamais quant elle s’arrête."
Le 1er mars sort le livre de Marine Tondelier (conseillère municipale d'opposition à Hénin-Beaumont) : "Nouvelles du Front".
"Un témoignage essentiel qui permet de saisir comment le parti d’extrême-droite administre ses communes. Ses armes principales : humiliations, vexations, intimidations et une stratégie parfaitement huilée pour étendre son pouvoir…"
Entretiens avec des agents municipaux, en place ou partis, qui osent parler...
(Bamboula, ça reste convenable » : un syndicaliste SGP.FO de la police dérape, Le Roux le recadre
RépondreSupprimerLe ministre de l’intérieur « condamne » les propos du syndicaliste Luc Poignant, « qui tendaient à relativiser une insulte à caractère raciste ».)
A ce jour, aucune sanction prise, ni envisagée. '' Y'a bon '' le syndicat FO.
monsieur briois est il responsable , humainement parlant de ses propos ? Je lis sur son blog :"soutiens à l'action de la police " , moi aussi j'ai du respect pour celle ci , mais la , en l'occurrence , soutenir un éventuel viol ( avant décision et enquête ) , est bien raisonnable .Ne pas admettre qu'une colonisation , et tout ce qui s'est passé avec , est un acte inhumain , une spoliation de liberté .Comment avec tous ces discours anti migrants et immigrés peut on avoir le culot de tenir de tels propos .Donc , à vos yeux , monsieur briois , l'invasion par les nazis de notre pays était un bienfait et tous ceux qui critiquent cela sont une honte pour notre pays , voila ce que vous voulez dire me semble t il !
RépondreSupprimerToi bien écri la franse 16:01. Toi travailé laroussse, céssure. Yabon lécour d'ortograf!
SupprimerNul à chier votre commentaire,comme vous 16h01!
SupprimerA 20 h 48 et 20 h 55 , le même , sans doute cet adjoint ayant la face d'un hamster jovial , mais la queue d'un scorpion . Esquiver une réponse en écrivant des niaiseries indique le niveau de votre intelligence !
Supprimera 16h01, savez vous que Jean Jaurès fut pendant une grande partie de sa carrière politique un colonialiste convaincu ? Viendrait-il à l'idée de quiconque de le soupçonner d'avoir participé à un crime contre l'humanité?
Supprimer16:01 et 15:44, le même. Il a pris des leçons, le petit. Il s'est amélioré, le bougre. Il va bientôt pouvoir écrire sans la moindre faute. Prions pour lui.
SupprimerEt"bin" non;1 à zéro pour moi!
SupprimerC'est plus le blog d'un type, c'est celui du fn. Vraiment, ils sont trop forts les gars, au centre du débat, tous les jours. Cest pas étonnant cela dit, vu qu'en face faible est le niveau. Voilà où mène 30 ans de faux socialisme!
RépondreSupprimerIncompréhensible , vous pouvez répétez la question ?
SupprimerEn résumé, aujourd'hui, le socialisme = pipeau. Et tout l'orchestre avec.
SupprimerPas de partition les socialos!
Supprimer22h23 demande à 18h26 de répéter une question qu'il n'a pas posée. Le niveau s'élève !
Supprimer17 h 07 , le fn aussi , c'est musical , tout trompette : tata , re tata , re tata !!
SupprimerLe ps, c'est la marche funèbre. La fin de tout.
SupprimerTouMou s'est encore précipité? Les bien-pensants à sa suite? Notre troll local pour qui chacun (avec ou sans uniforme) est un facho s'est-il encore ridiculisé? Réponse ci-après.
RépondreSupprimerArticle LePoint
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"Le récit du policier diffère très sensiblement de celui de la victime. Or il concorde avec les images des trois caméras de surveillance de la municipalité. Le Point a pu lire le compte rendu d'exploitation détaillé minute par minute par l'IGPN, la police des polices, qui, au vu de ces images, avait conclu à l'absence d'intentionnalité de la part du policier. Une conclusion qui avait suscité l'indignation. Reste que ce rapport de l'IGPN ne contredit pas l'audition du policier faite moins de deux heures après les faits, ce qui lui aurait laissé peu de temps pour échafauder un scénario concerté avec ses collègues.
Selon le compte rendu : « À 16 h 45 et 15 s, constatons la présence de 4 individus, dont le nommé Théo L., face au studio d'enregistrement le CAP (lieu de l'intervention de la BST, NDLR). À 16 h 46 et 19 s, constatons l'arrivée du véhicule de police sur l'avenue principale. À 16 h 46 et 29 s, constatons qu'un fonctionnaire (de police, NDLR) se dirige pédestrement vers le groupe d'individus. À 16 h 46 et 43 s, constatons que le fonctionnaire dirige le groupe à l'arrière du bâtiment. À 16 h 47 et 35 s, constatons qu'un individu repousse le gardien de la paix. À 16 h 47 et 50 s, constatons que le nommé L (Théo, NDLR) se bat avec les fonctionnaires de police. »
Une chose est sûre : l'intervention de Théo L. intervient quinze secondes après l'arrivée des policiers. Par contre, la police des polices n'a pas réussi à trancher la question de savoir qui a commencé l'altercation. Le rapport poursuit : « À 16 h 47 et 50 s, constatons que le nommé L est emmené au sol. À 16 h 47 et 53 s, constatons que le gardien de la paix utilise le bâton télescopique de défense au niveau des jambes du nommé L et qu'un usage de gaz lacrymogène a été utilisé. A16 h 48 et 38 s, constatons que le nommé L est menotté. À 16 h 49 et 7 s, constatons que le nommé Théo L. se trouve au sol, le gardien de la paix se trouvant debout à côté de lui. Selon les images de la vidéosurveillance, donc, il a suffi d'à peine plus d'une demi-minute pour immobiliser au sol le jeune homme en le frappant « au niveau des jambes ».
Le récit qui se poursuit ne fait pas état de nouveaux coups. « Remarquons qu'un individu porteur d'un col jaune filme la scène. Remarquons que les trois autres gardiens de la paix dispersent le groupe d'individus restant. À 16 h 50 et 59 s, constatons que le nommé Théo L., menotté et relevé, se dirige en compagnie des policiers interpellateurs en direction de l'escalier menant au véhicule. (...) À 16 h 53 et 31 s, constatons que les fonctionnaires descendent les escaliers en compagnie du nommé Théo L. et se dirigent vers le véhicule de police stationné sur le parking. À 16 h 53 et 50 s, les policiers et Théo L. montent dans le véhicule. À 16 h 54, ils quittent les lieux. »
Théo a-t-il été violé ? Selon l'IGPN, le visionnage des images enregistrées par les caméras de la ville ne permet pas de trancher en faveur d'une version ou de l'autre. Les policiers ont porté plainte contre le jeune homme pour « rébellion » et « outrage ». Ils sont mis en examen.
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Qui est dadou un élu de l opposition ou lors là candidat LR ou PCF
RépondreSupprimerLe Maire FN d'HAYANGE en garde à vue et mise en examen dans le cadre de marché public.Tiens,tiens ,ils font la même chose que les autres.Ils ne se sont pas gêner de dénoncer les mêmes pratiques du temps de Dalongeville.
RépondreSupprimerJe vous disais bien que ce n'était qu'une façade il y a quelques jours.
Signé: VOLVERINE
2 charges ont été levées, la troisième concerne des photocopieurs destinés aux écoles communales. Une urgence selon l'élu en question. On est loin de Dalongeville comme vous dites.
SupprimerA 15h26 du 19 Février.
SupprimerVous êtes un "pro FN",car si on additionne toutes les sommes détournées par le FN (RSA indu),on atteint des sommes pharaoniques ( c'est la pyramide inversée pour remplir ses poches plus rapidement).
On ne reproche par aux autres quand on fait la même chose.
Signé VOLVERINE
Les infos données par 15h26 sont dans le journal. C'est vrai que cela est embêtant pour vous, d'ou votre besoin de qualifier les autres de pro qq chose. Pov' vale urine. C'est comme ça que vous faites grandir les fachos. En banalisant. En disant que la moindre remarque ou info n'est qu'oeuvre de fachos, etc. Attention, votre voisin doit être facho. Attention, votre boulanger, le moindre passant dans la rue aussi. Parano va!
SupprimerQuand on additionne les détournements de propos dont vous êtes l'auteur volverine,on peut dire que le résultat est plus que pitoyable.
SupprimerJe crois que RSA ne plait pas!
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